Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie libre
Goelette : À elle
 Publié le 11/03/18  -  30 commentaires  -  668 caractères  -  546 lectures    Autres textes du même auteur

"Vous êtes passé à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous les côtés, il n'y a plus de puits, il n'y a que des mirages." Romain Gary


À elle



Sa douceur neigeait sur nos jours
en flocons de soleil
en perles de sourire 

Dans la clairière de sa voix
notre vie chantonnait
l'insouciance dansait
 
Elle tressait sa lumière
à nos matins échevelés
 
Sa quiétude nous bordait
posant sur nos épaules
un châle en mousselune

Avec des fils multicolores
sa clarté reprisait
les accrocs de l’enfance

Un soir plia son avenir
dans l’odeur blanche des cliniques
 
Sans elle
aucun jardin
hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhne rit à pleines fleurs.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Brume   
18/2/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Bonjour

Les images sont tellement belles ! L'impression d'entendre les pepiement d'un oiseau à la lecture. Vous avez su écrire et décrire la beauté de Elle. Vous avez su écrire et décrire la beauté du bonheur. Et soudain le mot "cliniques" qui arrive comme une douleur vive, un intrus qui gâche tout.

Votre poème n'est pas seulement d'une beauté époustouflante, il est habillé d'amour, de joie de vivre, et aussi de chagrin si joliment exprimé par ces derniers vers. Si touchant. Si émouvant. L'émotion transperce à travers vos vers et se loge dans mon coeur.

Vos mots pour Elle sont infiniment beaux.

- " Elle tressait sa lumière
à nos matins échevelés"

   Mokhtar   
26/2/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Très joli petit poème tout en images évocatrices et en trouvailles poétiques peu banales...
"Flocons de soleil, clairière de sa voix, châle en mousselune, odeur blanche, rit à pleines fleurs..."
Tout en sensibilité, tout en émotion, tout en élégance...
Beaucoup de talent.
Bravo et merci

Mokhtar en EL

   Gouelan   
28/2/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Bonjour,

Flocons, perles... pour la douceur.
tresser, mousselune, repriser, pour la délicatesse.
Et la vie que l'on plie, que l'on range au placard. La porte de l'enfance se referme, pour la tristesse.

C'est tendre, mélancolique et d'une jolie tristesse.

Chaque strophe m'a enchantée. Les mots sont légers, apaisants. Ils créent de magnifiques images. L'ensemble forme un très bel ouvrage, avec ce fil de mots dorés.

   Anonyme   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Tout est doux dans votre poème. La nature intimement associée à "elle" fait de cette femme célébrée par les mots une bienfaitrice. Et l'on passe d'un temps passé béni où "elle" règne à la rupture finale de la disparition évoquée avec pudeur. Les blancs typographiques pour marquer l'absence. Merci pour cette émotion.

   troupi   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Encore une fois Goelette nous enchante avec ses mots, ses images empreintes de douceur et même la finale d'une infinie tristesse est gorgée de poésie.
"Sans elle
aucun jardin
ne rit à pleines fleurs."
éblouissant .

   Luz   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
C'est vraiment exceptionnel, chaque mot, chaque vers...
On le sait, on le ressent à la première lecture ; après on relit et relit encore, étonné, émerveillé par cette poésie.
Rien à ajouter aux commentaires élogieux précédents.
Difficile, voire impossible, de faire plus tendre et plus beau.
Merci.

Luz

   papipoete   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
bonjour Goelette
depuis octobre 2017, quand vous avez poussé la porte d'Oniris, vous nous offrez des bouquets, des compositions magnifiques ! Jusqu'où irez-vous pour nous étonner, nous émerveiller avec vos mots ?
Si la valeur ici se compte en plumes, vous ouvrirez bientôt votre album comparable à la roue d'un paon !
Il est de coutume dans un commentaire argumenté, de citer un vers, un passage, mais c'est présentement impossible, tant depuis " sa douceur " jusqu'à " ne rit à pleines fleurs " ; tout resplendit comme un sapin de Noêl à toute saison !
Si j'osais, je dirais que la 4e strophe est " mohaire, cousu de fils de soie " , c'est si doux, doux ...
" l'odeur blanche des cliniques " ne fait même pas mal, et pourtant ...
Je regarde mon stylo, rangé la tête en haut ; << je sais, tu fais ce que tu peux, mais avoue quand-même qu'à nous-deux, faisons bien peu ! >>

   Anonyme   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
J'ai lu avec une" boule"en moi"forte émotion.Une pure merveille de mots cristallins.J'ai lu tous les commentaires plus beaux les uns que les autres et j'ose m'y associer en toute humilité car ils disent merveilleusement bien les pensées qui s'agitent en moi après cette lecture d'une profondeur sans fond.Un immense MERCI sans oublier tes autres textes et à quand de t'entendre à nouveau ?

   Anonyme   
12/3/2018
Bonjour Goelette ! Un texte sans doute inspiré par La promesse de l'aube de Romain Gary...

“Avec l'amour maternel, la vie vous fait, à l'aube, une promesse qu'elle ne tient jamais. !

J'aime Gary, Ajar également, et "leurs" œuvres communes, et parmi celles-ci plus particulièrement Les racines du ciel sans doute pour avoir parcouru le Tchad à la même époque que Morel... mais ceci est une autre histoire...
Je ne me prononcerai pas sur votre poème, les Passionnément (justifiés) y font florès, et c'est très bien ainsi, mais je trouve toutefois que le titre n'est pas à la hauteur même si je le comprends très bien... A elle, un hiatus qui me chagrine beaucoup !

On doit pouvoir trouver plus poétique et surtout plus musical...

Au plaisir...

   wancyrs   
11/3/2018
Salut à vous, Goellette

Je peine à visualiser les images de votre première et deuxième strophe, peut-être à cause de l’hiver que je n’aime pas des masses, et surtout dans la deuxième strophe, la clairière de la voix me semble étrange. Le reste est correct ! Si j’avais a noter ce serait un bien +, mais les autres trouvent exceptionnel, alors je me demande si le problème c’est juste moi !
Bonne continuation à vous !

Wan

   Marite   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Magnifique hommage rendu " A elle" avec ces mots si délicatement agencés. Comme chaque trait de pinceau d'une aquarelle, chaque vers affine le portrait : " Sa douceur ... sa voix ... sa lumière ... sa quiétude ... sa clarté ..." jusqu'à ce vers que je trouve magnifique par ce qu'il évoque : " Un soir plia son avenir "

   Anonyme   
11/3/2018
Bel hommage ! Un dernière vers en cascade très humain. Merci

   Anonyme   
11/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Des images lumineuses pour traduire l'amour que les enfants portent à leur maman.
" Sa voix... sa lumière... sa quiétude... sa clarté ".
Puis, la disparition " dans l’odeur blanche des cliniques ".

Un hommage émouvant.

   Anonyme   
12/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Chère Goelette,
Votre poésie est un charme.
Elle est si légère qu'elle ne touche même pas le papier, même pas du bout des pieds
(ou l'écran plus prosaïque de l'ordi)
elle reste suspendue dans l'air, elle est atome, elle est flocon d'atome,
on n'oserait presque pas la lire de peur de l'abîmer ou l'alourdir
par nos préjugés, nos prêts-à-penser, parfaitement réglés sur notre papier quadrillé à poésie
si légère qu'elle pénètre à travers tout, en hauteur, en profondeur en épaisseur,
par capillarité, comme à travers une bougie de porcelaine pour purifier l'eau
parce que nous avons une enveloppe poreuse, tous, même les plus durs d'entre nous,
même les plus sûrs d'eux-mêmes,

Votre poème "A elle" est une goutte d'huile essentielle de poésie
Je vais l'envoyer à ma mère qui a déjà franchi le pas derrière la clinique il y a 10 ans.

   Damy   
12/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
Je me joins, bien sûr, au concert des louanges concernant la haute valeur poétique de l'expression de la tendresse et de l'amour. Mais, pour ma part, je trouve ce poème d'une insoutenable violence avec ces deux vers brutaux:
"Un soir plia son avenir
dans l’odeur blanche des cliniques"
Mon ressenti à leur lecture est une profonde douleur mêlée à de l'angoisse qui domine les émotions de "candeur" éprouvées dans les strophes précédentes.
Le vers final, découpé en morceaux, est d'une tristesse assez désespérante.
C'est ce contraste qui est beau car très savamment amené.
Je reviendrai piocher l'amour maternel ou la mélancolie, selon la dialectique de mes états d'âme.

PS: je suis d'accord avec Alexandre quant au titre.

Merci, vraiment, Goelette.

   emilia   
12/3/2018
Très bel hommage pour celle qui n’est plus, qui répandait sur ses enfants ses « flocons de soleil » et ses « perles de sourire », faisait chanter leur vie, danser leur insouciance, en offrant sa lumière et sa tendresse dont elle les bordait et reprisait leurs accrocs… ; la vie d’avant cette brutale disparition pour laquelle il a suffi d’ « un soir / dans l’odeur blanche des cliniques », où l’auteure exprime avec pudeur et délicatesse cette absence douloureuse qui prive désormais le jardin de son soleil, d’un « rire à pleines fleurs », une si jolie métaphore pour traduire efficacement le chagrin et le manque… ; merci à vous pour ce partage si sensible qui ne peut que toucher profondément les cœurs émotifs…

   Ombhre   
13/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Touchant. Magnifique.
Ces deux petits mots résument mon ressenti. J'ai adoré votre poème, tout en douceur et en amour, en belles images et en tendresse.

J'ai apprécié tout particulièrement:

Sa quiétude nous bordait
posant sur nos épaules
un châle en mousselune

Avec des fils multicolores
sa clarté reprisait
les accrocs de l’enfance

Quelles belles images que "châle en mousselune" et "les accrocs de l'enfance"

Tout est réussi dans ce poème, les images comme la chute, le déroulé soyeux, la brutalité soudaine du mot clinique qui tranche, la tristesse partagée des jardins qui ne rient plus à pleines fleurs.

Bravo !

Merci pour cette très belle lecture.
Ombhre.

   jfmoods   
14/3/2018
La construction en vers pairs (2, 4, 6 et 8 pieds) donne un aspect équilibré à ce poème en 3 parties conçu comme l'hommage à une femme aimée, probablement une mère (titre : "À elle").

Au fil des vers 1 à 14, l'imparfait habille un portrait délicat, lumineux, enveloppant, porté par la vue, l'ouïe et le toucher (allégories : "Sa douceur neigeait", "notre vie chantonnait", "l'insouciance dansait", "Elle tressait sa lumière / à nos matins échevelés", "Sa quiétude nous bordait", "sa clarté reprisait / les accrocs de l’enfance", métaphores : "en perles de sourire", "la clairière de sa voix", oxymore : "en flocons de soleil", groupe nominal : "des fils multicolores", participiale assortie d'un néologisme : "posant sur nos épaules un châle en mousselune"). On ne sait trop si on doit lire le vers 9 en 6 ou 8 syllabes tant cette "quiétude" semble imposer une articulation optimale.

Les vers 15 et 16, au passé simple, marquent, par l'écrasement violent de la perspective (allégorie : "Un soir plia son avenir"), l'effacement programmé de la relation au monde (synesthésie : "l’odeur blanche des cliniques").

La fin du poème, en paliers, figure l'enfoncement, la perte progressive d'une lumière nourrissante. La personnification, au présent d'énonciation ("ne rit"), confère au propos, catégorique ("sans", "aucun"), un aspect particulièrement poignant que le rythme ascendant (2, 4, 6) accentue encore.

Merci pour ce partage !

   Cristale   
13/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
À la fine dentellière des mots, je ne puis qu'adresser mes compliments.
Ce poème est un pastel de douceur aux couleurs de l'amour maternel, peut-être grand-maternel que même la mort ne peut faire oublier.
J'ai l'impression qu'une fée, une muse, est sortie de l’Éther pour se poser sur votre épaule et caresser vos cheveux en vous regardant écrire.
Magnifique !

   Pouet   
13/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bjr,

Goelette est sans conteste une très bonne recrue pour Oniris, le démontrant poèmes après poèmes.

Chaque image fait sens de façon superbe.

Je n'ai rien à ajouter de particulier, si ce n'est peut-être le titre qui n'est pas très mélodieux et un peu "banal" mais c'est un détail.

De la très très bonne poésie, bravo.

   Melusine   
13/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
Bonjour,


Dans ce châle en mousselune, nous sommes avec vous, à la fois, bercés et étreints de nostalgie.

Tous ces mots, choisis avec soin, ont une puissance extraordinaire.

Merci pour votre présence ici.

   Goelette   
14/3/2018
Mes remerciements postés ce jour pour votre émouvant accueil du poème " à Elle"


http://www.oniris.be/modules/newbb/viewforum.php?forum=6

... en espérant avoir réussi à copier le bon lien :-)

   Vincendix   
16/3/2018
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Goelette,
Je vibre moins sur ce texte que sur vos précédents pour plusieurs raisons. Tout d’abord le titre avec un hiatus qui, à mon avis, gâche le tableau, « Pour Elle » aurait été plus judicieux.
Ensuite, malgré une réelle densité, j’estime ce texte trop court pour un tel sujet.
Je trouve tout de même du plaisir à le lire et je retiens particulièrement les trois dernières phrases, émouvantes et poétiques.
Vincent

   aldenor   
17/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Souvent je trouve artificiels les effets de mise en ligne, mais ici la fin en escalier laisse une très belle impression de départ.
L’écriture est d’une grande délicatesse. Je ne sais pas quel en est le secret, dans le choix des mots ou dans les images ; un peu des deux probablement, de la vraie « mousselune »...
J’aime moins dans la 1ere strophe, la double image en flocons / en perles, surtout que neiger en perles ne m’évoque rien de spécifique.
« Un soir plia son avenir
dans l’odeur blanche des cliniques » : si joliment trouvé « l’odeur blanche », mais ces deux vers me paraissent superflus et inutilement explicatifs.

   Lulu   
18/3/2018
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Goelette,

Ce poème dit bien la perte d'un être proche qui a compté, et en ce sens, touche la lectrice que je suis, mais l'écriture d'ensemble ne m'a pas vraiment saisie tout au long du texte, et ce, dès la première strophe au cours de laquelle j'ai peiné, à la première lecture, à approcher les images. Cela est sûrement dû à l'emploi du verbe "neiger", dans "Sa douceur neigeait sur nos jours"... Il semble que la neige, ici, soit douceur, quand elle revêt, pour moi, a priori, l'idée du froid et, donc, quelque chose d'hostile.

Cela dit, les "flocons de soleil" assoient l'idée de douceur, et posent cette signification, mais s'y ajoutent les "perles de sourire" et, si l'image est là plus claire, elle n'en demeure pas une image qui nécessite un effort pour se la représenter visuellement en plus des "flocons de soleil". Pour moi, ce début de poème est donc complexe, puisqu'il m'a arrêtée avant de poursuivre plus sereinement...

Cependant, ensuite, j'ai trouvé le poème plus fluide et, du coup, plus beau. On peut aisément se représenter "la clairière de sa voix" où la "vie chantait / l'insouciance dansait". Les images suivantes sont, par ailleurs, très belles, comme le fait qu'"elle tressait sa lumière"...

Tout ce qui se rapporte à l'être disparu me semble être un bel hommage, comme cette reprise des "accrocs de l'enfance".

Si l'ensemble se tient, poétiquement parlant, bien sûr, je trouve dommage cette chute des trois derniers vers qui me semblent moins poétiques "Sans elle / aucun jardin / ne rit à pleine fleurs". Le texte perd ici un peu de sa force, je trouve, du fait, je crois, et à mon humble avis, de l'emploi de "aucun". La sonorité du mot avec le son "ke" me semble durcir l'ensemble, même si la volonté de les dissocier en les inscrivant en décalage sur la page était de les mettre en valeur. Peut-être que "nul jardin" aurait été plus doux à mon oreille, mais cela est si subjectif.

Bonne continuation.

   Lylah   
18/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour Goelette,

J'arrive un peu tard pour joindre ma voix à tant d'éloges, mais excès de biens ne nuit pas !

J'ai donc été cueillie par la douceur fluide de ces vers, ponctués de très belles images :

"Elle tressait sa lumière
à nos matins échevelés"
ou encore

"sa clarté reprisait
les accrocs de l’enfance"

et par la fin, toute en pudeur et qui en dit si long en si peu de lignes... Un bijou.

J'ai été moins séduite par le châle en "mousselune", j'ignore pourquoi...

Quoi qu'il en soit, votre plume m'invite toujours à de très beaux voyages en poésie.

Merci !

   MioModus   
19/3/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
Douce caresse posée sur la page aux voiles des lunes...

   Amandine-L   
25/3/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
De belles images qui laissent entrevoir une dame aimée et aimante, paisible ou joyeuse couturière… Merci Goelette pour ce partage.

   Papillon26   
5/4/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
Bonjour Goelette,

Que c'est beau, tendre, doux et tellement émouvant.
Vous nous offrez une si belle Image de cette "Elle" !

Que de mots magnifiques peints pas petites touches, on sent la chaleur et la douceur de votre châle de mousse lune.

Les accrocs de l'enfance reprisés par sa clarté... quelle chance d'avoir eu une telle personne auprès de soi.

Et le soir qui plie son absence, on sent la perte de cet être cher, si douloureuse, injuste et irremplaçable.

Merci pour ces quelques mots si bien écrits !

   Gabrielle   
19/5/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un très beau poème qui aborde avec finesse un sujet délicat à traiter.

Merci à vous pour ce partage.

Bien à vous.



G. Michel


Oniris Copyright © 2007-2023