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Poésie néo-classique
juliaetoile : Et tu te demandes...
 Publié le 18/10/08  -  4 commentaires  -  686 caractères  -  68 lectures    Autres textes du même auteur

Et tu te demandes...


Et tu te demandes...



Comme la pluie dans le paysage
Les larmes coulent sur ton visage
Comme le hurlement des loups dans la nuit
Tu pleures devant ce petit corps sans vie

Et tu te demandes comment continuer ton chemin
Sans qu'il soit là pour te prendre la main
Comment arriver à avancer
Alors qu'il ne peut plus te guider

Et tu demandes comment arriver à aimer
Sans qu'il soit là pour te l'enseigner
Comment te réveiller chaque matin
Alors qu'il n'y a plus de lendemain

Comme le soleil après la pluie
Un jour tu reviendras à la vie
Comme tous ceux se réapprenant à vivre
Tu seras à nouveau heureux et libre


 
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   FABIO   
18/10/2008
 a aimé ce texte 
Bien
Une grande sensibilité, c'est simple sans mots barbares et phrases étincelantes, le cœur laisse parler la plume d'une manière élégante pour aborder un sujet grave.
Toutefois quelques répétition : pluie vivre vie
Mais rien qui ne m'ai empêché d'apprécier.

   Lavy   
28/10/2008
 a aimé ce texte 
Bien
les 3 premiers para sont trop forts trop beaux trop transparents trop subtils... Mais tu es optimiste et c'est bon mais moi j'aimerais mieux si tu avais continu sur un le même ton triste pessimiste...
mais en général c'erst joli et simple courage.

   Anonyme   
4/1/2017
 a aimé ce texte 
Un peu
"Et tu te demandes ..." en effet quand survient l'impensable, il faut beaucoup de temps pour "réapprendre", à retrouver le cours d'une vie plus apaisée.

Le cheminement de votre écrit est bien conduit, je regrette un peu le fait d'avoir trop répété, "comme - 4 fois ; comment - 4 fois", j'en comprends l'effet, m!ais celui-ci se révèle néfaste et révèle ainsi d'autres répétitions "pluie, vie".

C'est un texte touchant mais qu'il faudrait retravailler, pour mettre en valeur davantage l'idée émise.

   Lotier   
13/12/2022
C'est le poème du deuil, quatre strophes, quatre étapes ? Peu importe, le narrateur se distancie de lui-même en utilisant le « tu » pour le « je ». La distance pour mieux se retrouver, le retrouver.
Peu à peu la souffrance s'identifie à l'absence d'amour et comme l'amour est toujours là, la souffrance diminue, mais ne disparaît pas, car il y a toujours de la souffrance même dans l'amour.
Enfin la liberté de vivre avec, le bonheur d'être à côté…
Le poème ouvre des portes, sans doute pour ceux qui les ont déjà franchies…


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