J'ai bien aimé, la cadence, le message, cette impression du temps qui cesse lorsqu'une personne aimée part et ce désir fou de l'avoir encore même mourant..même parfois absent.

Qu'il était heureux le temps où on était tous réunis. La nostalgie de cette ambiance et un manque que tu as décrit, bravo à toi !

joli poème, bien rythmé, douce musique et ce balancement lancinant entre mort et vie, chats et souris, et le temps qui va sur son cheval
de bien belles images

je suis tombé sur les mauvais d'abord. Mais celui-là me parle nettement mieux.
Ben ouais (bis)
Ce qui est à noter c'est que ce sont les maladresses qui en font la beauté.
Mais ce n'est que mon avis.
Qu'en pensez-vous oniriens?
arf

Je suis très mitigé sur l'émotion qui émane de cet écrit.

Pourquoi ces références sans cesse dans vos écrits aux chats, c'est curieux, je relève ces deux phrases que je trouve décalé par rapport au reste de l'écrit :

" L’époque où les chats venaient, dansant "
" L’époque où les souris venaient, riant "

Que de répétitions dans ce texte, " l'époque (3), la mort (2) dans la même strophe, ces glorieux temps, ce merveilleux temps, mon père était vivant, mon père était toujours vivant".

Je n'ai pas réussi à accrocher, votre texte n'est pas assez élaboré, les tournures ne sont pas toujours adroites " La mort lui donna le coup de couteau " ; " Quand sur son cheval il allait, le temps ".

La forme serait à retravailler pour mieux mettre en évidence l'idée voulue.