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Lebarde
13/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Une façon bien plaisante de rappeler que Jongkind, peintre Hollandais impressionniste a trouvé l'inspiration dans les paysages de Flandres ...et d'ailleurs, qu'il savait à merveille animer de scènes de la vie et de la nature, avant, (c'est vous qui le dites) de poser "ses pinceaux au cœur du Dauphiné."
J'aime bien ce sonnet classique sans ambition et emphase excessive mais de belle facture. Merci à vous et bravo. En EL |
Cyrill
23/10/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bjr Lapsus.
Ce poème a de la classe. Ça tient à l’injonction de départ, quand je me sens le paysan apostrophé, ça tient aussi au passé simple à la rime : leva, rêva. J’imagine ce peintre bohème poser son chevalet sur le quai à Grenoble qui porte maintenant son nom, j’y suis. Voyage aux quatre coins de la planète aussi bien qu’hommage, en un portrait détaillé par touches impressionnistes. De l’élégance dans le verbe, presque déconcertant de simplicité. Ça vient probablement des godillots. Bravo ! |
Provencao
23/10/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Lapsus,
Véritablement sous le charme de votre poésie. "Foin de Delft ou Paris, la lumière est intime À qui sait cheminer pour célébrer l'infime En posant ses pinceaux au cœur du Dauphiné." Ce maître intime dont vous parlez savait sentir, goûter, ressentir et peindre ce que la contemplation et l'extase lui renvoyaient comme divine particularité. C'est justement cette particularité qui séduit cette belle émotion, au-delà des émotions artistiquement appréciées, se lit une belle émotion poétique. J'ai beaucoup aimé ce médium des arts. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
Laurent-Paul
23/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
j'ai doublement apprécié ce poème : pour sa simplicité où le travail et la technique ne servent pas à l'esbrouffe mais à faire naître l'émotion ("célébrer l'infime" : que dire de mieux ?), but de la poésie me semble-t'il ; j'aime aussi votre poème car je ne connaissais pas ce peintre et je crois que je vais passer une intéressante journée de découverte grâce à vous ! Par ailleurs, vous avez même réussi à me faire aimer des strophes remplies de verbes à l'infinitif, chose qui d'habitude arrête aussitôt ma lecture ! Bravo ! |
Marceau
23/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Lapsus,
très séduit par la belle musicalité de votre poème. J'avoue ne pas avoir bien saisi le sens de "Pour un marin de terre à laquelle il rêva !", mais cette pointe de mystère est un plus, impressionniste, en somme. Au plaisir de vous lire à nouveau. |
papipoete
23/10/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Lapsus
Oyé braves gens, oyé qui devant moi s'avance ! Je m'en vais vous dessiner les images d'un pays lointain, que votre beau pays m'inspire au coeur de votre Dauphiné. Vous pouvez vous asseoir là, près de moi autour de mon chevalet... NB pourquoi faire compliqué, lorsque des couleurs, des pinceaux en main nous peignent une aquarelle bien délicate ? Quelques mots savants par ci par là, dont on devine aisément le sens ; " vous voulez voyager loin d'ici ? fermez les yeux, et lorsque j'ai fini mon tableau, à mon signe ouvrez-les ! nous serons de l'autre côté de la Terre ! " Nous voyons très bien ce peintre, chaussé de godillots usés, son pliant sous le bras... Nous ne lisons pas un chef-d'oeuvre, mais un sonnet fort humble, mais dont les vers nous attendrissent ; le 8e vers me fait penser au Facteur Cheval, qui voyagea sur tous les continents, sans jamais sortir de sa Drôme ! le premier quatrain sans hésitation, est mon passage préféré. les alexandrins au classique sans faute, sont bien musicaux à la parade. |
Robot
23/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un beau sonnet classique trés visuel, tout en paysages animés par la présence du peintre.
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Stuart
23/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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On pense, en vous lisant, au très beau tableau reproduisant, en aval de la vieille ville de Grenoble, le bord de l'Isère aujourd'hui nommé "quai Jongkind". (Avec en arrière plan, le Moucherotte, citadelle du Vercors.)
Jongkind fréquenta le château de Pupetière, où Lamartine visitait son ami De Virieu, habita La Côte-Saint- André, (où naquit Berlioz), avant que de mourir à Saint Egrève, au pied de la Chartreuse... " En posant ses pinceaux au cœur du Dauphiné." Le dernier vers de ce poème vient émouvoir agréablement mon âme de vieux dauphinois d'adoption, tout en évoquant une vie entièrement tournée vers la part de rêve que renferme la réalité. Un bien beau sonnet ma foi !!! |