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Poésie en prose
Lariviere : Fragment de crépuscule (morceau 4)
 Publié le 29/07/07  -  7 commentaires  -  280 caractères  -  150 lectures    Autres textes du même auteur

Fragment


Fragment de crépuscule (morceau 4)



Providentiel climat
Le chant du grillon creuse les nuits de son possible
Halo survolté d’absolu
Fraîcheur de l’orage, attendrit nos cuirs étirés
Étincelle du continu interrompu
Méninges bruissent ses paisibles feuillets dans les souffles nocturnes…


 
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   nico84   
20/1/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Je reconnais la ton écriture, d'abord une suite de mots, que je ne comprends pas et petit à petit un sens apparait mais je fais un effort énorme pour tout comprendre.

J' aime te lire .... avec modération !

20-01-08 J'aime cette phrase que je trouve paradoxale "Étincelle du continu interrompu" qui évoque un temporaire constance ...

   Pat   
19/12/2007

   Anonyme   
2/7/2010
 a aimé ce texte 
Bien
Bon, ça fait clairement chicitchic dans la guarigue...

J'aime le Halo survolté d'absolu.
Etincelle de continu interrompu.

Un peu comme le moment perpetuel inachevé... j'aime beaucoup.
Mais euh... éheuh! C'est court!

Fragment un rien plus joyeux.à l'image des cuirs attendris, je vais laisser rouler sur mes méninges cette jolie image de feuillets paisibles bruissants...

Merci pour ces fragments (de crépuscule, de vie, de... d'intemporel?)
Es

   FredericBruls   
1/5/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Un éclair bucolique chez Larivière, comme un éclair dans la nuit. Une volonté de reprendre souffle, un orage bienfaiteur pour apaiser l'aridité de nos vies. Court, mais magnétique.

   widjet   
1/7/2009
Contrairement à d'autres pleins d'intériorité, ce fragment est davantage porté vers la nature, vers l'exterieur, quoi ("chant du grillon", "climat", fraicheur de l'orage").

Je crois.

Mais c'est trop court pour susciter autre chose chez moi.

Widjet
(auteur qui fait genre il comprend)

   jaimme   
9/10/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Des mots qui me plaisent, là à l'oreille
Mais je me laisse bercer sans comprendre. Pas bien grave,non?
J'aime bien sans être emballé.

(j'aime pas trop: "Étincelle du continu interrompu")

   jfmoods   
15/8/2018
Un cadre nocturne se dessine.

L'eau, versant son baume bienfaisant, absorbe les aspérités du vécu ("Fraîcheur de l’orage, attendrit nos cuirs étirés").

Deux sens (ouïe : "Le chant du grillon creuse les nuits de son possible", "Méninges bruissent ses paisibles feuillets dans les souffles nocturnes", vue : "Halo survolté d’absolu") marquent de leur empreinte la douceur particulière de ce moment saisi dans sa fugitivité (paradoxe : "Étincelle du continu interrompu")

Le mot le plus important du poème est sans nul doute l'adjectif qualificatif providentiel.

Providentiel [définition de larousse.fr] : "Qui est à la fois heureux et inespéré."

À l'ombre délétère, étouffante, mortifère des fragments répond le surgissement sporadique d'une lumière salvatrice. L'espoir esquisse un pas de danse au milieu des ténèbres.

Merci pour ce partage !


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