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Poésie en prose
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 52)
 Publié le 12/04/09  -  10 commentaires  -  463 caractères  -  147 lectures    Autres textes du même auteur

Fragment.


Fragment du crépuscule (morceau 52)



Sur le bitume dans la marée, la vie se déroule incomprise.
Les hommes portent des pelles
Dans leur cœur ils sourient.
Le ciel chacal est dans le soleil

Nul ne le voit mais tout le monde le ressent

Et jusque dans les moindres graviers de respiration, il y a sel et cendre, ciel et soleil, vie et mort, gel et dégel,

Enfer et Paradis

Cheminant inachevés dans les os glacés de l’incompréhension…


 
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   FIACRE   
12/4/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Et hoquets fiévreux du non-sens ivre.

   xuanvincent   
12/4/2009
 a aimé ce texte 
Bien
De nouveau plutôt sombre ce poème à l'atmosphère urbaine... mais je l'ai apprécié.

   FredericBruls   
13/4/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Les hommes portent des pelles
Dans leur cœur


Peut-être pour mieux creuser leur propre tombe ?... Un poème qui exprime la dualité de l'homme, enfer et paradis, ange et démon, douleur et joie d'être au monde. C'est du moins mon ressenti à la lecture de ce poème.

   Anonyme   
15/4/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un chacal c'est toujours souriant...

Un fragment qui pourrait paraître léger... hmmmm j'ai un doute profond...

Inachevée vie, incompréhension de la tombe...

ce sont des images, mais les sons sont superbes, la musique, ô la musique de ces quelques mots, jetés ici pas du tout au hasard...

Bitume, incomprise,
sourire chacal
gravier sel cendre... et toute cette phrase !

Merci. Le chemin des os... J'aime (et tout le monde s'en foooouuuuut)

A relire encore !

   David   
16/4/2009
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonjour Larivière,

Il est court pour un fragment, Le "sel" correspond à "l'enfer" et le "degel" au "paradis", peut être celui des eaux glacées...

   nico84   
16/4/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Assez noir, je retrouve ici Lariviére. Trés court mais trés profond. Autant d'images en si peu de mots, c'est ça qui me suprends le plus.

Je serais incapble de dire tout ça en si peu de mots. Et ausis bien. Bravo Lariviére, je te sens de retour !

   Anonyme   
18/5/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Ah l'entame de celui-ci me cause bien.
Je l'aime bien dans son ensemble celui-ci tiens.
Même la simplicito-banalité des mots et oppositions de la fin (assuméé je pense), aller... Ouaip j'aime bien.

Il a une "vie propre" ce fragment à mon sens.
Un poème, tout simplement.

   Garance   
19/5/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
" Et jusque dans les moindres graviers de respiration, il y a sel et cendre, ciel et soleil, vie et mort, gel et dégel, Enfer et Paradis"

Poésie efficace et concise...d'un poète qui n'a que des mots pour éclairer l'énigme de la vie.

   Pat   
24/5/2009

   Anonyme   
2/7/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↑
24/5/2009

Un tit Lari avant d'aller faire dodo...

Le poème commence par incomprise... finit par incompréhension...

J'aime bien cette façon de décrire le mystère de la vie de l'Homme.

J'aime

- Nul ne le voit mais tout le monde le ressent.
- jusque dans les moindres graviers de respiration,

- Cheminant inachevés dans les os glacés de l'incompréhension.

J'aime les oppositions dans l'avant dernière phrase. Sel et cendre j'aime particulièrement.

C'est court, c'est plein d'images... et puis en même temps comparé à tes autres fragments je trouve que ça pêche par défaut de couleurs.
J'ai l'impression vraiment de regarder dans une grotte bien sombre.
Mais j'ai pas besoin de voir la lumière, hein, j'arrive à visualiser les images.

Es


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