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Damy
27/3/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai assez de mal à m'y retrouver entre les tropiques, la Kabylie (ou du moins les berbères) et Dubrovnik; entre le stylo et la cigarette; entre les filles de petites vertus et le préposé.
Néanmoins une grande émotion se dégage à la lecture de "Dépression suivie d'un anticyclone" qui tue la liberté que vous regrettez d'avoir mal aimée ou mal utilisée: "combien je t'ai mal aimée combien je t'ai malmenée". Dans ce désordre allant de "l'équinoxe mauve" à la cigarette du condamné il y a le regret et sa confession imprégnant le texte douloureux et mon empathie. |
papipoete
13/4/2018
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bonjour Leopold
Je t'avoue tout de suite que je ne sais pas, quand et où situer ce récit dont les vers n'évoquent pas une bluette, avec prince et mignonne au bois joli ! je saisis la violence qui peut être celle " d'ailleurs ", avec camions de condamnés, et celle de chez nous, presque banale d'un monstre tuant par " accident " une fillette un soir de noce ... Je ne peux objectivement donner une appréciation à un écrit pour moi abscons, mais connaissant la plume de l'auteur ( la fille à la gabardine ), cela ne peut pas être un texte mauvais ! |
Anonyme
14/4/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour,
Une très belle plume que la vôtre. Le texte est bien travaillé dans le sens où les images sont très évocatrices et les tournures recherchées. Les vers sont précis et le traitement du sujet plutôt atypique et surprenant, dans le bon sens du terme. BRH_CORP |
Robot
14/4/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Dans ce texte que j'ai lu plusieurs fois, je me suis appliqué à séparer les strophes afin de trouver ce qui pouvait les relier.
Ce qui en fait l'unité me semble-t-il c'est le sentiment du narrateur de n'avoir pas agi ou d'avoir agi à contre sens. Une sorte de complaisance dans le remords qui l'incite à battre sa coulpe en oubliant peut-être que si l'individu peut sauver le monde, ce ne sera jamais en demeurant seul. Oui, j'ai l'impression que l'on nous présente ici l'idée que la liberté ce serait la solitude de celui qui croît la détenir en intériorisant une culpabilité collective comme si elle lui était personnelle. C'est un point de vue qui m'apparaît tout à fait dans de ce texte dont la structure ainsi que les métaphores donnent à la poésie une force expressive assez singulière. |
Anonyme
22/4/2018
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Ce n'est jamais très facile de comprendre en son entier ce que le "je", exprime, nous ne sommes pas dans la "tête de l'auteur".
Je me suis senti un peu perdu dès le départ, et peu à peu cela se complique au fil des mots, du fait de la diversité des informations proposées. Celles-ci entrecoupées par les états-d'âme du "je". Plusieurs lectures me laissent un peu perplexe, je dois reconnaître que ce texte m'a tenu à distance. |