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Dimou
26/2/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Non d'un boulon...
Ces machines ferrées et criantes de réalisme poétique ont pris vie sous mes yeux, le souvenir est plein de moiteur et de graisse, et quand bien même il se destinerait à vapeur, le gasoil s'absorbe ici comme du petit lait. Le grand Charles ne vous pardonnera pas, y'a rien à pardonner !! Un ouvrage brulant. Dimou en EL |
ALDO
13/3/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour
... bercé par le monstre de douceur... Tout autour du sommeil, de la graisse, de la chair et du rythme ! Et l'enfant-souvenir de bercer à son tour avec des mots, proches d'Alexandrie, et de rendre à la mer, à la mécanique des machines et des hommes, sa pulsation d'enfance. Bravo ! |
papipoete
13/3/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour Marceau
Aller chercher la vie, là où était le travail, en l'ocurrence par delà la mer Méditerranée... après une traversée à bord d'un navire, dont le confort n'était pas le maître-mot, le migrant allait connaître le monde du bruit, de la chaleur, des cadences, de la galère mais, travailler pour se construire des murs, de quoi manger, et un peu rêver... NB après le " cahotique " désordre de cette croisière, entre cris, entre vomi, promiscuité, viendra ce temps où l'on se prend d'amitié, pour sa machine, son usine, le port et les trains qui sifflent. la dernière strophe de graisse a ma préférence, au rythme lourd de ses assonances. |