Déjà la petite chose qui m'a gêné, une ponctuation en pointillé, tantôt présente, tantôt absente. Il faut se décider.

De même peut-être faudrait-il enlever quelques "Et"

J'aurais peut-être aussi détaché un peu le texte lorsqu'il commence par cette phrase "Je suis, qui suis-je", pour lui donner un peu plus de profondeur.

" Je suis, qui suis-je , " interrogation complexe que tout un chacun se pose, je suis "Moi", cela prend du temps avant de pouvoir y répondre. Nous sommes faits d'incertitudes, de doutes, ici vous en avez fait une ébauche, nous avons parfois en nous une mélancolie profonde, nous nous égarons " je perds le goût de la vie", pour mieux nous retrouver.

Bonjour,

j'ai bien aimé ce texte pour ses questions simples et sa forme simple.

Cela dit, au lieu de "Je suis des paroles perdues, / Des larmes coulées / Et des cris étouffés", j'aurais plutôt vu des singuliers à la suite de "Je suis" pour "Je suis une parole perdue / Une larme coulée / Et un cri étouffé. Le pluriel est étrange, en effet après la singularité du Je.

Bonne continuation.

Très intéressant… enfin je veux dire très fort, très profond, jusqu’au tréfonds de l’âme, donc très humain…je le garde avec moi et le porte….

bonjour meryem05 , ( dame, monsieur ? )
Voici donc votre première parution, dans laquelle j'espère que tout est imaginaire ?
Plus rien ne m'intéresse, ni le bon ni le mauvais, ni la pluie ni le soleil ne m'importent . Je ne suis plus le maître de ma personne, la joie et la peur m'ont fui . Je ne suis qu'une fleurette sans éclat, qu'un pas écrasera ne ses donnant pas la peine de me contourner !
Je me verrais bien ( comme tant d'autres ) avoir écrit ce texte en Juin 2016, sous la pluie et la froidure d'un Automne en début d'année ?
Si tel est votre cas, que vienne à poindre le soleil, et vos rimes alors se feront rayonnantes !
NB " je suis, qui suis-je " aurait gagné en intensité à être délié des diverses lignes l'entourant .

" Je suis, qui suis-je ? " Question fondamentale que se pose tout être.
La seule réponse que l'on puisse donner c'est celle issue d'une analyse de soi, et encore... Sommes-nous le plus objectif possible lorsqu'il s'agit de nous-même ?

Chacun a sa façon de se considérer et traverser sa vie.

Bonjour

La question est très intéressante voire fondamentale.
J ai aimé certaines réflexions :

Je suis, qui suis-je ?
Je suis un néant
Un mirage
Un rêve
Dissipée comme des nuages
Je suis des paroles perdues,
Des larmes coulées
Et des cris étouffés.

Et la vie ne m’est
Qu’un serpent se lovant
Et qui remonte et qui descend

Par contre, je trouve certains vers un peu durs à la lecture :

Ni les lumières me plaisent
Ni la nuit

Il Manque le "ne " de la négation non ?
De bonnes idées mais peut être un manque de poésie dans les mots : trop de lourdeurs (je suis, qui suis je ? Est un peu lourd )

A vous relire.

J'ai aimé le poème jusqu'au vers 16. La fin me paraît un peu négligée. Dans ce style de texte, il me semble que c'est un peu comme pour les sonnets, le vers final doit être une forme d'apothéose, le sommet du texte.
Les négations inversées sont fâcheuses car pouvant laisser entendre le contraire du propos.
Comme pour beaucoup de poème libre, la ponctuation aléatoire manque de logique.
Reste que le traitement du thème est assez intéressant.