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| papipoete
4/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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libre
" s'il suffisait d'écrire... " pour clouer le bec à nos peines ? peut-être pas pour les éteindre, mais les réunir et de notre coeur les vider, pour l'avoir moins gros ? ne surtout pas en omettre une, pour songer " ah, je t'avais oubliée toi ! " NB ce billet est joliment écrit et je suis sûr que sa destinataire ne pourrait être que touchée, et vouloir récupérer le moindre confetti, ce petit " je t'aime " là au papier griffonné. les 4 premières lignes sont mes préférées. papipoète |
| Provencao
17/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour natile,
J'ai bien aimé cet acte d'écriture qui fait renaître cette ambiance de l'inattendu, du réel, de l'émotion et de la vérité dans ce chercher et espérer ce qui fait présence et écho. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
| RaMor
17/11/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour,
Votre poème repose sur une diction fluide et un fil narratif clair, ce qui en facilite la lecture. La métrique libre fonctionne, même si certaines ruptures de rythme semblent davantage subir la syntaxe. Les images restent cohérentes, mais assez attendues : mots ouverts, papier froissé, lignes noircies, douceurs volées à la fenêtre. Elles accompagnent l’émotion sans jamais la surprendre. On sent une vraie sincérité, mais peu de prise de risque : la langue reste sage, là où un décalage, une métaphore audacieuse, une tension auraient pu donner plus de relief. Le texte tient, mais il raconte, sans tout à fait créer. cdlt |
| Yakamoz
17/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Non, écrire ne suffit pas pour faire taire la peine, mais poser des mots sur le papier peut panser la douleur, et parfois faire surgir des vers qui touchent et émeuvent autrui.
Merci pour le partage. |
| tome15545
17/11/2025
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Deux ans après, le poème est inchangé, mais certaines réactions, oui.
Peut-être le monde a-t-il changé, peut-être le lecteur a-t-il changé, mais le poème, lui, non. C'est assez étonnant pour un poème qui me paraît toucher à l'éphémère. J'ai le sentiment de lire un carnet intime trop pudique plutôt de recevoir un chant construit pour la réception du lecteur. Je ne comprends pas l'intention derrière ce demi-dévoilement masqué, cet aveu obscurci, cet écran qui ne joue pas aux grands habits mais s'interpose entre la vie et le texte. Dune certaine manière, je ne comprends pas cette hésitation entre le vrai et le beau, ou du moins, je n'en comprends pas l'équilibre. |





