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Chansons et Slams
Orkan : Le dieu de mes parents
 Publié le 29/04/10  -  22 commentaires  -  1857 caractères  -  223 lectures    Autres textes du même auteur

Chanson d'un hédoniste réfractaire aux contraintes du passé.


Le dieu de mes parents



Mais pourquoi, nom de Dieu,
Le dieu de mes parents
Est-il, sacré bon Dieu,
Un dieu si embêtant ?

J’aime boire le vin nouveau
Quand il sort du tonneau,
Et les bonnes bouteilles
Surtout si elles sont vieilles.
Qu’il soit rouge, rose ou blanc,
Ce n’est pas important.
Cela m’est bien égal
Pourvu qu’il me régale.

Mais pourquoi, nom de Dieu,
Le dieu de mes parents
Est-il, sacré bon Dieu,
Un dieu si mal buvant ?

J’aime manger avec goût
Toutes sortes de ragoûts,
Grillades et rôtis
Comblent mon appétit.
Pas de verdure pour moi,
Je suis un vrai Gaulois,
Qu’importe le bétail
Pourvu qu’il me ripaille.

Mais pourquoi, nom de Dieu,
Le dieu de mes parents
Est-il, sacré bon Dieu,
Un dieu si mal bouffant ?

J’aime croquer les filles
Au regard qui pétille,
Aux seins que plus ne puisse,
Aux enivrantes cuisses.
Quelle que soit leur jeunesse,
La rondeur de leurs fesses,
Aucune hésitation
Pourvu qu’il y ait frisson.

Mais pourquoi, nom de Dieu,
Le dieu de mes parents
Est-il, sacré bon Dieu,
Un dieu si mal baisant ?

J’aime penser la nuit,
Loin des gracias Dei,
Aux héros, aux savants,
À ceux qui voient plus grand.
Comme eux, je me méfie
D’un culte sans défi.
Je me fous de son livre
Pourvu que je sois libre.

Mais pourquoi, nom de Dieu,
Le dieu de mes parents
Est-il, sacré bon Dieu,
Un dieu si mal pensant ?

J’aimerais que reviennent
Les croyances anciennes
Avec autant de dieux
Que d’étoiles dans les cieux.
Inventés par les hommes,
Sans serpent et sans pomme,
Sans péché, bien debout,
C’est-à-dire faits pour nous.


 
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   Anonyme   
6/4/2010
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Tout le monde n'est pas Brassens et ce texte en est la preuve. Si je passe sur le refrain bien trop banal et sans force, si je passe sur les classiques de la gauloiserie (nourriture, boisson et femme) qu'est ce qu'il reste? Pas grand chose à vrai dire.

Il n'y a dans ce texte pas la moindre critique constructive sur la religion, rien de plus que la reprise des thèmes classiques dudit Brassens. Mais il manque cette pointe de férocité que le chanteur avit, cette sorte de sarcasme.

Bref, à revoir.

   LeopoldPartisan   
13/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas
Chef un petit verre l'auteur à soif. Ce n'est pas bien méchant ni révolutionnaire est-ce même anticlérical ? Un rien franchouillard à défaut d'être réellement engagé.

Bof bof quoi !

   ANIMAL   
13/4/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bravo, j'adhère à la forme comme au fond. Un bel ode à la vie et aux valeurs humaines. Le bonheur se cache-t-il dans les anciennes croyances ? Si cela pouvait être si simple... mais l'idée est plaisante.

Le style est léger et entraînant, la parole truculente. J'aimerais entendre ce texte en musique, car je me demande sur quel air.

J'aime bien l'ensemble, toutes les strophes ont leur charme et particulièrement la dernière. Revenir au polythéisme, dans ces conditions je suis pour !

   Anonyme   
16/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas ↑
J'aime bien le refrain, même si dans le premier j'aurais plus vu un : Un dieu si emmerdant, plutôt que "Un dieu si embêtant".

"Pourvu qu'il me régale" je n'aime pas trop ce mot : régale, juste là par souci de rime. Je trouve ce verbe pas vraiment approprié concernant le désir d'ivresse.

Dans le deuxième couplet je ne sais pas si "me ripaille" est correct. Je ne crois pas en fait. On dit plus : ripailler que se ripailler. Non ?

Dans le troisième : "Aux seins que plus ne puisse" ne me semble pas plus correct. Même en lisant la suite du couplet, ça ne veut rien dire.
"Quelque soit leur jeunesse" Pas mieux. Et en plus, limite limite.

Pour ce qui est du quatrième, ce que j'ai à dire : Il y a je crois, pas mal de grands scientifiques qui croient en dieu. (J'avais lu ça, à mon grand étonnement d'ailleurs, mais je ne me rappelle plus des noms, dommage). Enfin en même temps pourquoi pas ? Science Vs religion ?
ça c'est un vaste sujet impossible à résumer en si peu de lignes. Beaucoup trop réducteur.

Et le cinquième couplet, pourquoi ce point après "cieux" ?
L'idée du retour au paganisme, pourquoi pas ? Mais quand même un retour à certaines croyances...

Dommage, l'idée de l'hédonisme est bonne mais mal exploitée. Et puis je trouve que ça manque de mordant. Souvent à cause d'une recherche de rimes.
Le rythme ne m'a sinon pas posé de problème à lecture.
Bref, ça ne sent pas la prétention.
Une petite chanson à jouer autour d'un feu de camp quoi !

   Anonyme   
17/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↑
« C’est-à-dire faits pour nous » : Oui ! je l'aurais bien vue au répertoire de Brassens qui ne l'aurait certainement pas reniée.
« Avec autant de dieux
Que d’étoiles dans les cieux. » : aux cieux eut mieux sonné.
« J’aime boire le vin nouveau » : vive le piot, crénom !
Décidément, ce dieu a tous les défauts de la création, pas la chanson.

   belaid63   
1/5/2010
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↓
personne ne t'oblige à y croire
et puis cette révolte est tellement dite, crue que je ne ressent nul poésie
trés peu pour moi

   Anonyme   
30/4/2010
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
Un des vers sur le texte frise la pédophilie...(edit pour W et d'autres? et l'auteur, surtout, je n'accuse en rien l'auteur, je souligne une maladresse de langage tout au plus) peu importe leur jeunesse ne me semble pas très adroit...

Après, il faut voir comment c'est mis en scène, si l'auteur se prend au sérieux, si le slam se veut vraiment sérieusement un plaidoyer pour le retour du plurithéisme?

Amusant, donc... amusant parce que c'est assez spécial... sans péché, genre pas de Tuer est mal... amusant.

Après, on connait ma position sur la religion catholique et ses frustrations et ses incohérences, donc par défaut je devrais adhérer au texte. Qui ne prend pas vraiment de risque (si ce n'est la strophe sur le sexe et encore, c'est ambigu sur le mot jeunesse...)... énonce l'alcool, la nourriture, le sexe et à la fermeture d'esprit par rapport à la science, c'est un tout tit peu réducteur... mais je peux m'aligner derrière l'envie de liberté de culte.
Voilà.

J'aime pas particulièrement, j'ai pas vraiment d'opinion tranchée sur le slam... pourquoi pas?

Merci à l'auteur et bonne continuation.


Edit: merci à l'auteur pour ces précisions.

   Leo   
24/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien
La chanson à boire, le chant de corps de garde, sont des exercices périlleux, mais étonnamment jouissifs lorsqu'ils sont réussis. Ils ne prétendent jamais à l'excellence poétique, mais nom de Dieu, qu'est-ce que ça fait du bien, ces couplets bramés à gorge déployée en joyeuse compagnie !

Alors qu'ils pêchent souvent par une pauvreté linguistique caractérisée, l'auteur, ici, nous amène quelque chose de plus construit, non grossier tout en restant familier.

L'objectif est atteint, les mots portent, il lui faut à présent une musique pour les porter eux-mêmes, et pour nous emporter.

   Marite   
29/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien
Bien aimé le refrain et le dernier couplet est mon préféré. Il y a cependant un vers qui reste obscur pour moi: "Aux seins que plus ne puisse"
Je remarque que dans le titre le mot "dieu" n'est pas écrit avec une majuscule... à juste titre je trouve car ce sont des hommes qui se sont approprié ce mot et l'ont utilisé pour asservir nos parents. Quoique beaucoup d'entre eux composaient habilement avec les contraintes imposées.
Merci Orkan pour ce morceau optimiste qui vient mettre un peu de gaieté dans le quotidien. Je pense qu'avec la musique adéquate, il doit se fredonner facilement.

   widjet   
29/4/2010
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Tiens, j'ai envie de défendre ce petit texte.

Assez d’accord avec les deux précédents commentaires. C’est sympatoche, primesautier et entrainant. Je ne pense pas que l’auteur cherche à égaler Brassens et s’en inspirer, ma foi, n’est pas interdit (au contraire, cela démontre en plus un goût certain).

Voilà, ce n’est pas révolutionnaire au niveau du texte, mais c’est efficace, plaisant et avec une petite musique « pom-pom-pom » (genre deux accords) à la guitare, cela « le ferait » encore plus.
Client donc.

W

PS : ça doit être tendance ces temps-ci de voir le mal partout (pédophilie). Un peu de légèreté, que diable, c’est presque l’été !

   tibullicarmina   
29/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas
Léger, sautillant, vert, grossier même, ce poème a quelques qualités.
Ce manifeste matérialiste à l'air enjoué, n'a ni la profondeur de "Soleil et Chair", ni la qualité d'une bonne chanson française.
Il y avait mieux à faire. Mais le but de l'auteur n'était sans doute pas d'être profond.

   Anonyme   
29/4/2010
Quelqu'un d'heureux (en ces temps difficiles...),un brin paillard (?). Ca fait du bien de t'entendre dire "zut" à tous les coincés de tous bords et de tous poils. Brassens nous manque, alors vive ta joie de vivre et clame-là haut et fort ! !
Je ne mets jamais d'appréciation( la "note")dans la marge,mais pour toi je donne un très bien .

   pieralun   
29/4/2010
 a aimé ce texte 
Bien
Il aurait fallu faire attention à certains vers décalés de la strophe par leur rythme, et qui, c'est dommage, cassent un peu la musique que l'on imagine en fond: ex: "Que d’étoiles dans les cieux." ou "C’est-à-dire faits pour nous."
Brassens bien sûr !!! Mais cela ne m'empêche pas de bien aimer ce texte (pour ceux qui connaissent bien son œuvre, pas mal de chansons étaient faites de mots et de phrases très basiques, et pas mal également avaient la critique suspendue aux chœurs des corps de garde). De plus, la critique, surtout sur la religion, n'est pas forcément moins efficace lorsqu'elle adopte ce ton "bon enfant", "franchouillard", "rabelaisien". J'aime beaucoup les " si mal..........." pour terminer avec un " si mal pensant " dont le ton plus grave recadre bien la critique.
Plus je le lis, hormis ces quelques fautes de rythmes, plus ce texte (qui ne peut être un poème) me plait, m'amuse.
Pour moi Orkan, un bon premier jet !!!!

   Chene   
29/4/2010
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonsoir

Brassens ? Non, je ne pense pas car il a écrit plus des 3/4 de ses chansons en octosyllabes.

Que dire de cette chanson ? L'idée est plutôt originale, mais le thème et son traitement ne m'ont pas accroché :
Son phrasé et le vocabulaire (un peu simpliste quand même) laissent à désirer dans certains demi-alexandrins déjà cités.

Il n'empêche qu'avec une bonne mélodie, bien rythmée, ça peut être plutôt sympa à chanter et à écouter entre copains. C'est ce que je retiens surtout et ce que je perçois comme intention de l'auteur, plutôt qu'un message "universel".

Bref, des strophes et des refrains sans véritable prétention poétique et c'est dommage.

Au plaisir d'une prochaine lecture

   Anonyme   
29/4/2010
L'idée générale (jouissons, jouissons !) me plaît, bien que pas nouvelle - qu'est-ce qui est nouveau, aujourd'hui ? - mais son exposition me déçoit.
Je lis trop de facilités.
La dernière strophe est très proche d'une chanson de Brassens qui constatait avec amertume : "Et le grand Pan est mort".

   Reggio   
30/4/2010
 a aimé ce texte 
Pas
J'ai juste envie de dire: Bof.

C'est un thème réccurent dans mes lectures qui ici ne se voit pas servi par une écriture trop "facile".
Un mélange de vulgaire et de distingué qui ne me goûte pas.

C'est juste un peu original.

   Orkan   
30/4/2010
Juste deux ou trois précisions aux lecteurs : ceci est une chanson non un slam, une chanson comme certains aiment en pousser en fin de repas bien arrosé et pour faire un pied de nez à tous ceux qui n'aiment pas la joie. Dyonisos, Apollon et quelques autres rendaient les coeurs et les choeurs antiques tolérants et simplement heureux. C'était avant que le péché originel, interdisant la connaissance, ne vienne nous appauvrir. C'est pourquoi, après quelques critiques sur le dieu unique, je termine en espérant le retour de ces dieux qui ont inspiré notre civilisation. Des chansons ou poèmes à venir enrichiront ce thème.

   Cortese   
30/4/2010
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
J'aime bien. Disons que j'ai pris plaisir à lire ce texte sans me poser aucune question sur la forme, vu que j'adhère globalement sur le fond. J'ai trouvé ça plutôt gai, enlevé et bien mené. Je crois que j'apprécie l'écriture, simple et quand même assez poétique, qui fait passer un message clair sans trop de lourdeur. C'est une chose que je ne sais pas faire du tout, alors forcément, ça me bluffe un peu !
Donc je ne dirais pas que c'est facile, non. La poésie est souvent plus grave que légère. Ici, il y a un bon équilibre, des phrases bien senties "Je me fous de son livre Pourvu que je sois libre" et un grande liberté de ton, qui colle avec le thème, et que je trouve rafraîchissante. C'est sûr que ça fait un peu Brassens moderne (en bien moins riche quand même !), et c'est sûrement pour ça que ça m'accroche. Mais ça pourrait être plus approfondi (sur le vocabulaire surtout) et plus imagé.
Rien de choquant ("Quelle que soit leur jeunesse", moi, je l'ai compris à l'inverse d'Estelle, et je me suis dit "tiens, c'est drôle !") ni d'extraordinaire, mais c'est très plaisant.

   Anonyme   
2/5/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Voici une petite chansonette très majoritairement sous-notée à mes yeux.

Pour ma part, j'ai plutôt aimé, c'est léger, rafraichissant, drôle, et ça ne fait de mal à personne, au contraire ! J'ai adoré le "C’est-à-dire faits pour nous.".

Pour le reste, je fais miens les commentaires de Leo, Marite et Widjet.

Bonne continuation !

   wancyrs   
4/5/2010
 a aimé ce texte 
Vraiment pas ↑
Je n'ai pas compris pourquoi les expressions "nom de dieu" prenaient un "d" majuscule. Je me demande aussi s'il est nécessaire de blasphemer ainsi, pour une gloire ephemère...

   PHIL   
5/5/2010
 a aimé ce texte 
Bien
Au risque de ne pas entonner le refrain d'une majorité, ce texte a eu l'avantage de m'amuser, ce qui en soit est plus que méritant.Je ne vois aucune atteinte à Dieu, avec une majuscule, puisque c'est la forme correcte, mais avec le Dieu de nos dogmes qui au demeurant il est vrai est assez "chiant".Quand à la forme, au style, au vocabulaire, il correspond bien au sujet qui se voulait je pense avant tout d'une réelle simplicité.

   PostBlue   
8/5/2010
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
J'ai aimé mais, à la lecture des autres commentaires, je ne peux m'empêcher de dire que comparer ceci à du Brassens est une grossière erreur qui ne reflète peut-être pas l'intention de l'auteur : je ne compare pas les autres textes à mes lectures plus classiques, et ne donne pas aux oniriens la prétention de vouloir atteindre les "grands". Question d' "amateur". Je m'explique :

Je prends ce texte comme une "chansonnette" sans prétention, à beugler entre potes en début de murge ou presque, quand les idées sont à peu près claires pour se rappeler des paroles d'une chanson finalement aussi longue, et le refrain scandé accompagné du tambourinement des choppes sur la table ou le comptoir. Oui, ce chant m'évoque et ce dans un registre plus "populaire" encore que le Brassens sur lequel se casser les dents. Et c'est pour cela que j'estime que ce chant-ci est "bon" et que je peux de cette sorte l'apprécier. Voilà pour mon ressenti agréable, de dire "c'est franchement sympathique".

J'ai malgré tout un bémol à ce ressenti ; pour que mon impression soit "parfaite", j'aurais préféré un vocabulaire un brin moins châtié, plus vulgaire, ripailleur, grossier. Qui dégomme plus dans le tas à coup de verre et de degré d'alcoolémie. Comme l'a dit si bien Reggio, c'est trop entre distingué et vulgaire, et donc, finalement, trop "correct".

Sur le fond, ça ne se mouille pas, il est vrai. Pas méchant, pas anar, pas revendicateur, léger, finalement gentil. J'aurais vu un "s'il vous plaît" à la fin que je n'aurais pas été étonné (et à ce propos, je trouve le "réfractaire" de l'accroche presque trop engagé). C'est dommage, et rejoint mon point précédent.

L'hédonisme ? Non, je ne vois pas - je n'y retrouve pas cet "art" sur lequel j'ai pu faire recherches et recherches, qui est certes recherche du plaisir, mais aussi évitement du déplaisir qui en ce sens, ne s'applique pas au texte (dans son côté mollement vindicatif).

La chanson brasse dans un registre vu vu vu et revu (que dis-je, entendu), mais finalement, à quoi bon ? J'en bois sans soif, de ce vin là, fût-il éventé.

Du reste, je n'ai pas la "musique en tête", mais le rythme m'entraîne assez bien (quoique de tout, finalement, c'est le refrain qui m'ait posé le plus de problèmes dans une recherche de mesure), avec une mention toute spéciale pour le "C'est-à-dire faits pour nous" que j'ai entonné avec délectation.

Je ne peux m'empêcher d'être d'accord avec la remarque de wancyrs : la majuscule à "dieu" est à mon avis une erreur de sens, ne rejoignant ni ne servant le propos.

Je voudrais dire "malgré tout fendard" si je n'avais peur que ce soit mal pris. Je me suis bien amusé, pour une chanson à boire et me définissant un espace de compréhension.

Au plaisir.


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