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Poésie libre
ristretto : carré deux - rang douze
 Publié le 09/09/08  -  8 commentaires  -  435 caractères  -  59 lectures    Autres textes du même auteur

entre deux mondes


carré deux - rang douze



première visite
un dédale, labyrinthe,
carré deux rang douze

                                    lit de graviers blancs
                                    ta tombe n'a pas de nom
                                    - où es tu ?


dans le soleil couchant,
tout est flou, en silence
fin du mois d'août, fin de vacances
fin d'après midi


août 2008


 
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   Anonyme   
9/9/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
J'aime beaucoup le contraste entre l'évocation froide d'un cimetière. militaire?

Une visite sur la tombe de Brassens?
Je ne sais pas si elle porte où pas un nom...

Et la dernière strophe plus chaude.

Une écriture tres stylisée, je trouve. Peut-être un rien court...

Edition: merci Maëlle je comprends mieux le côté court et apprécie d'autant plus ce poème que sa longueur est une contrainte...

Quoique je n'en sois pas certain. J'aime bcp les trous qui permettent à chacun de se faire son histoire.

Merci beaucoup, j'ai trouvé cette lecture tres agréable

   Maëlle   
9/9/2008
 a aimé ce texte 
Bien
Travail autour du Haïku, mais avec un jeu d’assemblage qui rends le poème à la fois simple et poignant. Cette image de l’alignement de tombes évoquée avec légèreté est très réussie.

   FABIO   
9/9/2008
 a aimé ce texte 
Un peu
La personnellement ça ne m'évoque rien , j'ai beau lire et relire je ne comprends pas le sens.La description d'un cimetière en quelques lignes, bien écrites toutefois mais bon non ,mais désolé.

   David   
10/9/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Ristretto,

Intrigant, intense et serein à la fois, grand poème souterrain, bravo !

   ANCELLY   
25/10/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Je comprends d'autant mieux... Ayant moi-même commis un hommage à un cimetière nouveau-né...
J'ai bien aimé
Ancelly

   nico84   
7/5/2009
 a aimé ce texte 
Un peu
Ce poéme ne me parle pas du tout. Faudra m'en expliquer le sens et ce qui aurait pu me faire comprendre la chose. Je suis dans le flou total.

Edit : Aprés explication trés personnel et fort. Sur le fond j'aime mais la forme me parait trop hermétique, on ne peut comprendre seul.

Je passe de faible à moyen.

   Anonyme   
6/5/2009
 a aimé ce texte 
Beaucoup
A Prague, nous avons cherché la tombe de Kafka, en vain... Trop de number, trop de sentiments, trop de sentiers, sans parcours de santé... Sa tombe: une fleur re fânée, le bourgeon est un leurre...

La mort n'existe pas. La preuve: pas de témoin.


Quand on pense que Pablo a "volé" son nom à Neruda... Jan existe-t-il?

Me semble-t-il, il est au carré 21; NON, en fête, je m'étrangle avec ses guirlandes. JOYEUX NOEL

   colibam   
6/5/2009
 a aimé ce texte 
Un peu
Mmh. Pas tout saisi, Haïku ou pas.

Etant resté de marbre à sa lecture, je resterai muet comme une tombe.


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