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| Lebarde
29/10/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Réflexions mélancoliques d'une grande douceur, "Lorsque descend le soir, à l’heure des complies," qui trouvent un "écho" céleste et apaisant "Dans l’éther assouvi du repos éternel" et "le silence abyssal ".
J'entre volontiers en contemplation et en résonnance avec ce joli sonnet qui distille une atmosphère romantique délicate et légère, d'une belle élégance poétique. Bravo l'artiste je suis conquis par le pastel subtil de l'écriture. En EL |
| Ornicar
4/11/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime bien
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Ce qui me frappe avant tout dans ce poème, c'est sa richesse.
Richesse du vocabulaire avec des termes hors du temps qui semblent comme ressuscités d'usages tombés en désuétude ("effloraisons, cueillaisons, aphélies"), richesse des rimes qui chez moi flirtent presque avec une sensation d'indigestion ("complies - accomplies" et "effloraisons, saisons, cueillaisons"), richesse des images enfin. Ce n'est pas trop ma tasse de thé à priori mais je trouve ce poème très bien fait. C'est un genre. Intéressante est sa tonalité que je qualifierai de "déiste", faute de mieux pouvoir la nommer. L'idée de l'existence d'un Dieu présidant aux beautés de l'univers se manifeste au travers des vers 1 et 14 qui ouvrent et referment le poème : "l'heure des complies " puis "lécho du verbe originel". Merci pour cette belle contemplation-méditation. |
| Provencao
13/11/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Stuart,
J'ai apprécié cette poésie esthétique qui offre une belle lumière méditative, qui m'anime au plus haut point en ma passion pour la peinture avec cette vision que vous nous offrez qui se fait geste vers le bon sens et la sérénité. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
| Boutet
13/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un beau sonnet vespéral mais que je trouve un brin ronronnant. Les alexandrins manquent quelque peu de cassures même, bien sûr, s'ils respectent leur forme originelle. Et c'est là que des rejets, des césures déplacées des hémistiches prennent toute leur valeur. Beaucoup de des de du commencent les seconds hémistiches. En résumé, un brin de facilité dans la construction.
Mais ce poème se révèle plaisant à lire malgré cela. |
| Robot
13/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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On ne peut plus classique dans sa forme, ce sonnet est enrichi de rimes singulières, saisons / cueillaisons - Eternel / Originel qui rehaussent les vers.
Un thème rebattu que l'écriture parvient à renouveler. Le premier tercet qui nous sort de l'ordinaire est mon préféré. |
| Marceau
13/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Stuart,
j'ai apprécié votre poésie qui se lit à haute voix avec un grand plaisir : sonorités, rythme, images sont au diapason et cela fonctionne très bien. Merci pour ce plaisir de lecture. Une erreur cependant, me semble-t-il, à la fin du 2e quatrain : l'aphélie, en astronomie, qualifie le moment où la Terre est la plus éloignée du soleil et c'est en été (cela tombait le 4 juillet en 2025). À l'approche de l'hiver, la Terre est à son périhélie. Mais, qu'importe, la beauté de votre œuvre supporte aisément ces quelques broutilles de millions de kilomètres d'erreur ... Au plaisir de vous lire à nouveau. |
| papipoete
13/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Stuart
La Toussaint est l'occasion de poser sa plus belle plume, pour rallumer en nous les souvenirs de ceux qui ne nous les content plus...mais levant les yeux aux nues, chaque histoire dans un coin de notre mémoire, nous rappelle du bleu oubliant pour un moment le brouillard perlant à nos paupières. NB le second tercet me plaît particulièrement, avec ce passage - des âmes en allées ( parties ) - des âmes en allées ( dans les allées gravillonnées, ces médaillons ornant une épitaphe ... ) " aphélie " vient garnir la besace de mon vocabulaire, d'un p'tit nouveau Les alexandrins en habit noir, arborent un classique sans faute ! |
| Cristale
13/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime beaucoup
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Bonjour Stuart,
Un ronron languissant comme la flamme sur la bûche du foyer et de jolis mots brodent ce sonnet. "Parfum violet" "notes étoilées" "madaillon fané", "verbe originel", la palette est riche en couleurs. Je pense que la dentelle de cette élégante broderie mériterait un fil plus léger. Entendez en cela que trop de "en" "au" reliant les hémistiches, ainsi qu'à l'intérieur de ceux-ci, a pour effet d'appauvrir le propos et nuit à la fluidité, ainsi que la redondance "des" "dans" "du" sur de nombreux vers. Ce qui m'empêche de noter écriture "aboutie", le classique méritant une attention particulière sur la technique d'écriture entre autres, quant à mon ressenti je note maxi pour la beauté des images. Tout cela est facilement "arrangeable" afin d'alléger l'ensemble lorsque la broderie est sur le métier. J'espère que ma franchise ne vous contrariera pas, je dis ce qui me chafouine un peu, dans le seul but de vous aider parce que je vous sais passionné tout comme je le suis. Bien poétiquement, Cristale |
| RaMor
13/11/2025
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour,
J'ai hésité à commenter. Mais comme j'aime être sincère et exigeant, je n'ai pas résisté à donner mon ressenti. Votre poème est très académique. Ce n’est pas mauvais, c’est juste mortellement convenu : une poésie qui “sait faire”, mais qui ne fait plus rien. Désolé pour ma franchise, mais j'aime la poésie qui se libère, qui ose. Cdlt. |




