Ma foi je vais très bien, c'est gentil de t'inquiéter mais je ne soufflais pas sur les braises, au contraire, je laissais entrevoir à quel point ce ne sont là que cendres qu'il vaut mieux laisser s'envoler dans le vent.

Citation :

J'ai une question quand même :

Qui est cette Nathalie ? Ce nouveau personnage débarque soudain dans le récit et (sauf erreur de ma part), absolument rien ne nous ai dit sur cette personne. Je suis étonné que personne n'ai relevé ce point.

Merci de ton retour

Widjet

Widjet, Toc-art, vous pourriez nous faire la même chose, mais nus et dans la boue ? Juste à titre documentaire, pour voir si c'est divertissant ? (Pas la peine de me dire "c'est pas moi qu'ai commencé : savoir qui a commencé m'intéresse bien moins que de vous voir tout nus dans la boue. Ca doit être une question de réveil du printemps, je sais pas... )

je t'envoie une photo par mp, pattie, histoire que tu arrêtes de rêver !


désolé pour le flood, Perle.

Pattie, je peux fournir le nu. Facile.
Pour la boue, je te laisse piocher quelques textes Oniriens... Pas difficile, non plus.

Widjet
(auteur bête ET méchant)

Widjet,
N’aurais-je pas déjà trop expliqué ?

Relis ce passage, il est dit :
Citation :

Plus clair pour toi ? Pas la peine d’en dire plus, c’est un personnage secondaire, en somme.

Quoiqu’en dise Pattie, non, les garçons, ne vous mettez pas à poil, pas la peine, vraiment, non, ça ira…

@widjet
pour deux soeurs, si l'on en croit les féministes et autres suffragettes adeptes du bartitsu, cela se dit "sororales"

fin de l'intermède

Ce n'est pas pour cette raison que j'interviens ici. Je suis, j'ignore pourquoi, allé voir les commentaires sur les "soeurs" et j'en ai lu de surprenants. Surprenants en ceci qu'ils m'ont donné d'étranges pistes pour lire le polar en général. J'ai vraiment trouvé ce texte remarquable et très peu "ficelles". Les clichés sont de bons clichés, transmettant une émotion reconnaissable ( bonjour, c'est bonjour et peu d'expressions sont plus "cliché", pourtant... ). Je pensais, en lisant certains commentaires, à une prof de français qui me reprochait l'abus du "je" mais n'hésitait pas à encenser Rousseau. Biz ! Non pas que je me prenne pour Rousseau, n'ayant jamais volé de peigne à qui que ce soit. Ce qui m'étonne, c'est de voir un texte vraiment excellent par passages et tout à fait intéressant dans l'ensemble descendu à grands tirs de DCA morne, pouf, pouf.
Je ne connais pas personnellement l'auteur ( teuse ? ), je sais juste qu'elle est bien, vraiment bien, cette nouvelle, pour l'essentiel.

merci Micdec, j'ai appris un truc.

W

Citation :

Oui, bien sûr, c'est un personnage sans importance, mais elle est en début de phrase, ce n'est pas anodin, elle est donc au premier plan de la scène ; de plus, dans la scène en question, elle agit tout de même. Bref, cela suffit à mon sens pour la définir (en une phrase succincte) même en une phrase sur son rôle, sa fonction vis à vis d'un ou des autres personnages.

Ce que j'en dis moi...

Bonsoir Perle.

J'ai lu ton texte, je ne l'ai pas encore commenté, et je t'avoue que j'ai du mal à le faire.

Alors j'ai lu les autres commentaires. Parfois, lire ce que les autres ont pensé du texte peut aider à trouver l'amorce de son propre commentaire.
Or, là, pareil, je me retrouve devant quelque chose de difficile à gérer, je me retrouve dans pas grand chose...

Je vais alors essayer de l'expliquer ici, je pense que ce sera mieux ici que sous ton texte...

J'ai du mal, comme certains, avec l'écriture. Je pense qu'en ce qui me concerne ça tiendrait plus du style que de la narration en soi (narration que je trouve somme toute assez fluide - pas de soucis de longues phrases - mais pas transcendante non plus, un peu trop épurée, un peu trop expéditive...).
Et donc du coup, ça sert trop à rien d'en parler...

Par contre en ce qui concerne l'histoire en soi plusieurs choses m'ont interpellées.

Déjà, la rupture me semble difficilement crédible pour les seuls motifs invoqués. Comme je sais pas qui le disait en com (j'ai pas la mémoire des pseudos) je m'imagine mal mon mec me laisser le quitter parce que je crois qu'il a tué une meuf sans me dire qu'il m'a en fait trompé avec ma soeur. Enfin je veux dire que c'est capilotracté.

Ensuite la relation entre les soeurs me trouble. J'ai un frère dont je suis proche et je pense pas pouvoir lui cacher ce genre d'infos. Enfin pas sur du long terme et pas en ayant su ou remarqué que ça le mettait mal. Je comprends pas comment tes héroïnes arrivent de la sorte à se gâcher la vie... enfin l'une envers l'autre.

Le doute. En fait c'est ce qui me perturbe le plus sur ta nouvelle. C'est que tout est battit sur les doutes. Ceux d'Alice qui juste se bouffe la vie (l'homme idéal on le laisse pas fuir sur un doute), ceux de Jeff (qui laisse Alice dans le doute), ceux de Beb (qui doutait du bien fondé de la relation Alice/Jeff) et les doutes sur le meurtre (de la police, d'Alice,...). J'ai pas compris que tu nous mette pas en fait Alice assassin de la gamine par jalousie. Là j'aurais eu un motif de destruction de la vie de tout ce petit monde, parce qu'il y aurait eu une certitude, un fait qui venait tout gâcher...
Là Alice "gâche" sa vie sur le doute de tromperie de Jeff. Je pige pas qu'elle ait pas tenté de savoir. Surtout si ce pauvre Jeff a subi la délation et l'interrogatoire de police.

Enfin voilà, tu peux peut-être m'aiguiller, parce que ça me perturbe toute ma lecture cette logique psychologique que j'ai du mal à comprendre...

Bonne soirée.