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Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Visiteur 
J'avais oublié à quel point il est émouvant de voir la manigance de mes mots prendre vie au travers de vos regards, de vos ressentis.

Merci déjà pour cela, c'est une chance inouïe de vivre pareille expérience ! Et merci aussi, parce que dans l'immédiat, à vous lire, je ne rêve que de reprendre la plume pour m'éclabousser encore de cette joie reconquise tant le sentiment de retrouver un nid douillet est immense.

Cette prose offerte en partage est le fruit d'une aube d'été à la campagne qui ne ressemblait pas à une aube d'été. Tout n'était que brume et silences suspendus lorsque les yeux toujours dans le flou j'ai ouvert mes persiennes sur le jour balbutiant. Et comme cela m'arrive parfois, c'est dans un état second – la plume connectée directement à l'âme - que les mots ont tenté de s'aligner sur l'effervescence dans laquelle je baignais, me laissant frustrée, comme souvent, de ne pas arriver à la traduire dans sa plénitude.

Il était question de la vie de ces rêves dont je me souviens rarement au sortir des bras de Morphée, et de la dérive des réflexions qui s'invitent fatalement autour, en refaisant le chemin à l'envers, jusqu'au crépuscule où tout commence...

Je reviendrai bientôt pour tenter de vous répondre individuellement, dès que de meilleures conditions pratiques et affectives le permettront. Je suis en plein baby-sitting-boom, une situation légère et plus encline aux chatouillis rieurs qu'aux échappées belles dans une troisième dimension mélancoliconirisante.

En attendant, merci infiniment pour vos retours chaleureux. Ils sont du genre à lustrer mon envie de recommencer à solliciter vos avis sur ma prose. Et pardon, d'être moins présente dans les commentaires alors qu'entre deux purées et couches-culottes je lis tant de belles choses...

À bientôt

Contribution du : 05/08/2021 12:05
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Maître Onirien
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Purées et couches culottes, de bons éléments pour l'inspiration future.
Attention à ne pas mélanger les unes et les autres.

Contribution du : 05/08/2021 14:34
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Visiteur 
Encore une fois, merci à tous mes commentateurs. On ne dira jamais assez combien votre rôle est important. Certes, pour la vie du site, mais surtout, j'ai envie de dire, pour l'auteur commenté, lui apportant recul et lumière sur ses écrits.

Je suis toujours impressionnée par la simplicité apparente avec laquelle vous accordez votre temps pour dispenser conseils et impressions dans une analyse souvent aboutie.

Merci aussi à Oniris, pour l'acceptation de ma prose. C'est toujours une grande fierté d'apparaître dans son prestigieux catalogue. Et merci aux bonnes volontés pour tout le travail accompli en coulisses.

Mes remerciements ne seraient pas complets sans un merci particulier, à vous, lecteurs anonymes, qui êtes passés sous mes gouttes de pluie. Votre nombre m'impressionne bien plus que le nombre de plumes à mon compteur. Compteur auquel je ne comprendrais d'ailleurs jamais rien, étant donné que je m'empêtre souvent avec la seule plume qui s'épuise dans mon encrier... ^^

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Ce qui suit est dédié à mes commentateurs,
mais rien ne vous empêche d'en prendre de la graine, ni d'y puiser l'eau nécessaire pour votre moulin.



Socque
Vous avez apprécié deux parties de mon poème. Les deux qui m'ont particulièrement donné un vrai plaisir à l'écriture. À savoir, le titre et la dernière phrase. Elles sont significatives de ce que j'appelle la plume connectée directement à l'âme, tant j'ai l'impression, lorsque cela se produit, de voir gicler un petit éclat d'encre indépendant de mon bon vouloir. Je crois même que c'est pour ce genre d'expérience que je reprends vaille que coûte la plume.

Après, je ne sais pas ce qu'est pour vous un poème penchant vers le précieux. Pour moi, il serait un poème rempli de mots extra-ordinaires, alors que ce sont des mots de tous les jours qui abreuvent, et ici en particulier, ma langue habituelle.

Ce texte remporte votre estime. C'est déjà beaucoup pour moi, en plus de me le dire.

Merci pour tout cela.



Queribus
Vous avez relevé des qualités qui me tiennent à cœur lorsque j'écris. La musique des mots et leurs images ne sont pas des moindres. Même si je ne calcule jamais rien, elles sont la toile de fond indispensable à la puissante jouissance où je me noie lorsque m'atteint la lame d'écriture que je n'attendais pas. L'une me berce et m'envole haut, tandis que l'autre me baigne les yeux d'étoiles. C'est ainsi que j'atteins le Nirvana.

Merci de m'avoir lue, et merci pour le plaisir que vous m'avez donné en le disant.

Je ne peux qu'espérer vous laisser moins perplexe une prochaine fois.



Myndie
Ma chère Myndie, une fois de plus nous nous retrouvons sur ces mêmes longueurs d'ondes par où passe notre émotion, et c'est un pur bonheur !

Je crois que ce que j'aime bien, lorsque je partage mes mots (et mon manque de confiance sait combien cela me coûte à chaque fois ! :), c'est les retours que cela engendre. Un peu comme si mes pastels flous avaient besoin d'un trait de charbon pour être appuyés, rectifiés ou révélés sur les contours de ma toile.

Une confidence au passage, tu dis que l'on devine ici les choses plus qu'on ne les perçoit. Eh bien, c'est pareil pour moi : je tente de retranscrire l'infini qui me submerge à chaque fois qu'un crépuscule m'explose le cœur, mais à ma relecture, tout n'est plus que clair-obscur.

Merci de m'avoir encore rejointe sur ce petit poème... et merci de le comparer à une peinture (cf ma réponse à Queribus), et de parler de douceur surtout...




Pouet
Ami Pouet, serais-tu par hasard victime d'un rhume des foins tardif ?
Si c'est le cas, je te recommande quelques jours au bord de l'Océan afin de retrouver au plus vite ce fin odorat qui t'accompagne habituellement. Car vois-tu, nulle fragrance de notre cher M. Bobin dans ma petite bafouille en terre des songes.

Cela aurait pu, surtout les jours où la lecture effrénée de notre poète favori a tendance à inspirer mes muses, mais il y a fort longtemps que je ne me suis laissée aller à le lire à l'ombre sous le chêne... Merci quand même pour le compliment. ^^

J'adore ta superbe image ''Le soleil ploie-t-il lorsque le cœur se fait vitrail ?''

Merci pour ton passage et pour trouver jolie la prose !



Robot
Merci d'avoir saisi d'où émane le texte, de l'avoir ressenti profondément et merci pour le bouquet de compliments qui me font rougir d'aise. ^^

J'aime beaucoup votre interprétation, mais je ne me hasarderais pas à tenter d'expliquer qui, des larmes ou des émotions perdues, réveille qui, tant elles savent être provocantes, chacune à leur tour.

Merci pour tout, et surtout pour votre présence rassurante et toujours bienveillante sous mes mots.

PS : j'ai pris bonne note lorsque vous me soufflez de m'inspirer de la purée et des couches-culottes pour de prochains écrits. Pas certain toutefois que je m'y essaie tant je crains de cafouiller avec la matière. Rooh...:))




Luz
Merci pour vos mots sous ma prose. Après l'attente et le cœur palpitant, voir son texte apprécié est toujours un délicieux moment.

Votre passage est toujours un plaisir...

J'aime beaucoup votre image de l'arbre-poème impossible à écrire. Je l'adopte tout de go, sans renier pour autant le flou qui l'habille à son origine. Car pour moi, je l'avoue, cet arbre symbolise tout ce qui m'échappe sans cesse : les rêves, les mots, l'infini...

Votre perspicacité est grande. Effectivement, la longueur de l'avant-dernière ligne m'a laissée dubitative un certain temps, sans que je puisse me résoudre à la ponctuer. Il fallait que j'imprime ce tempo à ce moment précis, mais votre remarque resème le doute. À revoir peut-être...

Encore merci...




Cristale
Ouf, ma Douce, j'ai pensé un moment que tu ne m'avais point reconnue, me donnant du vous à tout va. Et voilà que je me rends compte que ton vous s'adresse aux ''petite pépites poésiquement posées là'' (c'est toi qui l'as dit, et moi j'en rougis)

Tu me vois ravie de constater qu'il n'y a pas eu de malencontreuse rencontre entre ton iris et une épine malotrue.
Merci pour ta présence réconfortante sous mes mots, et pour ta notation à l'apogée.




Cyrill
Ah, Cyrill, quel bonheur de se trouver en phase avec ses semblables grâce aux mots !

Vous avez tout compris d'entre mes lignes. Merci pour la précision de votre trait de lumière, elle qui m'aide à mieux cerner mes intentions.

Et merci pour votre passage et de vous être donné la peine de vous exprimer.



Recanatese
Quel plaisir de te revoir par ici !

En plus, tu as aimé cet Infini que j'ai tenté maladroitement de serrer dans mon arbre, entre mes rêves et la mélancolie.

Tu es le seul, avec Emilia, quelques lignes plus bas, à avoir relevé la petite réflexion d'intro. Oui, mine de rien, elle a son importance, elle amplifie la pluie qui éclate en sanglots, comme un écho du bruit des gouttes sur la vitre...

Quant au zeugme, si zeugme il y a (tu sais, je n'y entends rien aux figures de style !), je me suis simplement laissée prendre par la force évocatrice de la formule.

Grazie mille amico, de ton passage ici, d'avoir aimé, de me l'avoir dit et puis aussi de m'avoir fait découvrir ''L'Infinito'' de Leopardi. Ô, oui, « Naufrager m'est doux en cette mer » (tu as vu, moi aussi je substantivise l'infinif ! ;))




Larivière
Quelle belle surprise, Lari, de te retrouver sous mon petit égarement poétique. La seule prétention en le proposant à Oniris, n'était que de goûter une fois encore aux joies du partage. Défi largement réussi. Et par la même occasion, de conforter la confiance en moi trop souvent déficiente.

Merci d'y avoir trouvé de la douceur. Celle que j'aime semer dans tout ce qui fait ma vie.

Pour répondre à ton espoir de me voir plus souvent en publication, je ne sais pas encore si je vais réitérer l'aventure. Beaucoup trop de choses en moi s'agitent pour cela, qui me procurent un stress démesuré par rapport au simple enjeu initial. Si je te disais que même lorsqu'on me dit qu'on aime, je trouve toujours le point négatif qui finira tôt ou tard par troubler mon bonheur. Mais, chuuut... ne le répète à personne, hein ! ^^

Merci pour ton passage.




Bellini
Vous doutiez-vous à quel point j'espérais votre visite ?

J'en suis honorée, très, et confuse, aussi, de vous voir quitter votre retrait estival exprès pour moi. Cela me touche énormément.

Votre vue sur mon poème m'aurait indiscutablement manquée, tant votre acuité à lire entre mes lignes m'impressionne depuis toujours.

Je vous offre, avec un grand plaisir, l'usage de mon titre, devenu vôtre par la magie du partage. Je suis tellement ravie par votre proposition, et que vous l'ayez compris aussi bien.

De joie, mon panda (ou autre figure, à votre choix ;)) improviserait presque une séguedille, dansant aux castagnettes comme une vraie manola. ^^

Oserai-je vous demander le nom que vous avez donné à l'arbre ?

Je reste convaincue que nos peines sous nos paupières closes, nos crépuscules grandioses, et les brisures de notre ligne d'horizon naissent de la même famille.

Mon merci infini pour tout cela, et plus encore...




Emilia
Que le monde apparaisse autant infini qu'indéfini et insaisissable, n'est plus un secret pour personne et pourtant cela me pose souvent questions.

Vous avez su le relever ici, et aussi vous avez su – comme je l'explique plus haut à Recanatese - relever l'importance de l'exergue.

Merci d'être passée sous mes mots. Grâce à vos remarques, je me rends compte à quel point le lexique s'épanche effectivement vers le sombre qui ne peut s'empêcher d'exulter dans mon jardin secret.



Myo
Merci pour avoir qualifié de ''joli'' le moment, et merci pour le bout de chemin fait ensemble du côté mystérieux de la nuit.

Tout comme j'apprécie votre poésie, je suis touchée par votre passage sous ma prose.


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En conclusion, je trouverai toujours complètement dingue que mes trois petits paragraphes (ce que j'appelle tendrement ma bafouille) écrits un matin balbutiant trouvent autant d'échos, et favorables dans leur majorité, qui plus est...


Merci infiniment à Oniris, qui rend ce petit miracle possible, et à vous tous qui tissez chaque jour son âme.


À toutes et tous

Contribution du : 09/08/2021 16:21
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Maître Onirien
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tu pourras voir Cat, que j'ai posé quelques lignes sous ton poème...
à te lire
papipoète

Contribution du : 09/08/2021 22:47
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Maître Onirien
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Effectivement plus de 700 "lectures"...

Quelques auteurs comme ça font exploser les compteurs, je ne suis pas de ceux-ci, ne dépassant que rarement les 300 lectures, malgré mon génie éclatant.

Eh bien bravo aussi donc pour cette "virtuelle" notoriété !

Quant à mon rhume des foins, mes valises sont presque prêtes!

Dans l'eau, déposer son séant...

Contribution du : 10/08/2021 07:25
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Visiteur 
Bien sûr que je l'ai lu ton commentaire, Papipoète ! Comment aurai-je pu t'oublier dans mes remerciements, si ce n'est mon étourderie au moment du fameux copier/coller de mon traitement de texte à mon forum d'Oniris, ajoutée à une mauvaise relecture une fois l'opération terminée.
J'en suis profondément désolée. Me le pardonneras-tu ?


Qu'à cela ne tienne, c'est l'occasion de t'offrir un post rien que pour toi, pour tes gentils mots sous mon poème.
J'en profite pour doubler ma ration de Parce que tu le vaux bien ! ^^



Pouet,
à propos de la ''notoriété'' virtuelle, Bellini l'expliquait très bien, je ne me souviens plus dans quel forum. Selon lui, et je suis assez d'accord avec son analyse, ce n'est pas seulement le texte publié qui affole le compteur, c'est aussi la lecture des commentaires. Un phénomène tout ce qu'il y a de plus normal, puisque nous sommes tous plus ou moins curieux de connaître l'avis des voisins sur un texte qui nous a plu, non ? ^^

Je souhaite à ton séant, toute la fraîcheur qu'il te plaira de lui procurer une fois sorti de ta valise, assit dans l'eau salée.



Contribution du : 12/08/2021 08:01
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Maître Onirien
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Oui Cat, sauf que l'explication donnée par Bellini peut par essence s'appliquer à toutes les publications non ? Celles qui ont 100 lectures, comme celles qui en ont 1000... Donc cela ne fait pas vraiment avancer le schimilibili.... non plus vraisemblablement des petits lutins rémunérés en champignons qui font rire cliquent jour et nuit sur le texte pour lequel ils sont payés...
Mais je suis bien d'accord qu'une partie des lectures sont en réalité des consultations de commentaires des petits camarades voire des "éditions" de son propre com'.

Merci, l'appel de l'océan se fait plus proche à mon oreille...

Contribution du : 12/08/2021 09:59
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Maître Onirien
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D'ailleurs, l'appel des embruns nacrés, les fragrances iodées et les mouettes rieuses... sont désormais si proches que je laisse ici ma dernière intervention du mois d'août.

En vous souhaitant à tous de beaux moments poétiques par ici, je m'en vais m'enrichir de la prose des bigorneaux.


Contribution du : 12/08/2021 15:31
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Maître Onirien
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De Ici et là
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@Cat


que dire de plus ?


...et juste préciser à Pouet que les bigorneaux ne font pas que de la prose mais aussi des vers...comment croyez-vous que j'ai appris la versification ? Et oui, en écoutant le chant lyrique des bigorneaux.

Bonnes vacances

Contribution du : 12/08/2021 19:09
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Re : Du bruit de vos ressentis sur mes gouttes intimes naît l'infini merci
Visiteur 
Ouf, voilà le mystère enfin résolu ! Merci Pouet.

Et merci aux petits lutins, mais maintenant il faut arrêter, hein ! Mon éditeur me souffle qu'il n'a pratiquement plus de petits champignons rieurs. Il garde le peu qui lui reste pour son usage perso, sachant que les ventes de mon dernier recueil ne suffiront pas à les payer.

Sinon, je suis nulle en chiffres, mais il me semble que le schimilibili n'est pas près d'être résolu, sachant que 100 x 100 égaleront toujours moins que 100 x 1000. Non ?

Pff... j'arrête de gamberger, il fait décidément trop chaud...

NB : pour ceux qui prendraient tout ce qui précède à la lettre, n'ayant aucune ambition de publier quoi que ce soit, ''mon'' éditeur et purement fictif, créé de toutes pièces pour les besoins du scénario que Pouet , l'océan en point de mire, m'a gentiment soufflé.

Pouet, il reste une place sous le parasol ?



@ Cristale &. Pour les , on verra cet hiver. Le risque de les voir fondre est trop grand. ^^
Tu resteras pour toujours ma bigornette préférée




@ Davide
Retrouver ta sensibilité poétique dans ton commentaire, particulièrement dans ce ''secret insaisissable...'' qu'il te ''semble effleurer du bout des doigts...'', me laisse aux anges, tant j'adore partager cette sensation d'insaisissable.

Quant à ''l'envi'' plutôt que ''l'envie'', parce qu'il ne s'agit pas ici de jalousie ou d’œil malveillant, mais bien d'émulation.
L'usage du singulier, c'est par provocation. J'ai remarqué avoir souvent besoin d'elle lorsque je ''poème''. Besoin de pousser les mots dans leurs retranchements insoupçonnés, afin qu'ils libèrent toutes les pistes et les portes possibles, en profitant de cette belle langue de Molière, si riche de ses subtiles complexités.

Ici, avec ''le fardeau de la nuit'' on peut imaginer mille choses qui stimulent l'idée du défi. On pourrait tout aussi bien lire ''les pensées de la nuit'', mais il me manquerait quand même le poids du ''fardeau''. ^^

En fait, comme j'écris d'instinct, je ne sais rien de tout ça au moment de l'écriture. Je ne fais que le subodorer. Et je crois bien que si j'aime autant recueillir vos avis, c'est qu'ils me donnent généreusement matière à réflexions pour creuser ce qui me taraude vraiment au fond.

Merci donc à toi d'être passé sous mes mots.


Cat

Contribution du : 14/08/2021 10:44
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