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épilogue au Journal de bord
Maître Onirien
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Je remercie vivement le CE pour avoir publié ce poème, les lecteurs et ceux d’entre eux qui ont laissé un commentaire.
Voilà des années que des bribes de ce poème traînent dans mes archives, sans que je sache le finaliser. Est-ce à force de rester coincé dans mon immobilité sans mer à mon horizon ? je l’ai remis sur la planche ( de surf ), enfin.
Le poème est ici :

http://www.oniris.be/poesie/cyrill-journal-de-bord-12274.html

La métaphore liquide et filée entre l’eau/sang que vous avez jugée appropriée s’est imposée à moi pour décrire ce que la mélancolie fait au corps empêché, au moins autant qu’à l’esprit. Je suis content que ce poème ai été compris. Ce n'est pas toujours le cas, étant volontiers hermétique, mais de temps en temps ça fait du bien cette non ambiguïté qui va de l'auteur au lecteur et retour garanti sans supplément.

Mis à part Geigei, l’écriture, dans sa forme, a convaincu. J’admets volontiers que vassal/vaisseau sonne calembour. Loin de moi cette idée, je ne m’en étais pas aperçu. Et si je devais reprendre ce poème je trouverais sans doute un autre terme que vassal. Quand à la sirène, elle est convoquée plus habituellement pour sa voix, moins souvent pour la voie qu’elle amorce ici.

Jeanphi, de la mer à la daube il n’y a qu’une brassée que tu franchis avec facétie. Tu regrettes quelques formules capillotractées, mais les capillaires ne seraient-ils pas à un cheveu de rompre dans cette tractation ? Technicité est néanmoins au rendez-vous selon toi.

Don, je ne compte plus les bitures que tu t’es pris avec la profusion d’image de mes œuvres. Je reconnais un penchant à la saturation dans mes écrits, je ne pense pas pouvoir me refaire ! et c'est sans doute un handicap de ne savoir faire avec moins.

Socque, la bouilloire vous a évoqué la corne de brume : cette idée ne m’était pas venue avant de vous lire. Du coup avec elle vous enrichissez mon poème ! Je crois en revanche que si j’avais fait des trébuchets rythmiques tout au long du texte il y aurait eu saturation.

Miguel, ravi de la tonalité élégiaque que tu as ressenti.

Myndie, sobriété et retenue, dis-tu. Je n’aime pas trop les épanchements à grand renfort de superlatifs. Le plus souvent ils affaiblissent l’émotion qu’on souhaite transmettre.

Marite, la même chose qu’un étage au dessus. Paix et sérénité mon plu dans un contexte un peu dépressif tout de même. Les uns n’empêchent sans doute pas l’autre. La paix s’atteint par l’écriture.

Jemabi, l’explorateur en moi est bien timide, je me contente de voyage intra corporels pour explorer mes empêchements. À la lourdeur de la carcasse répond l’imaginaire, qui lui ne se lasse pas d’explorer.

Pouet, trous d’air, mal fermetures, des interstices qui me plaisent. C’est par là que s’insinuent les images. Ça me fait penser à la ‘maladie bleue’, qui ne concerne pas les princes de sang mais consiste en une mal fermeture entre ventricule et oreillette, dans le cœur, aux conséquences désastreuses quand elle n’est pas soignée. Une idée … trop tard pour ce poème !

Eskisse, tu évoques la dérision mélancolique et c’est le mot. Et l’écriture comme consolation devant la défaite, ou du moins l’incapacité à. Tout à fait ça !

Merci encore à tous pour vous commentaires et remarques, toujours édifiantes. À vous lire dans vos œuvres et ailleurs,


Contribution du : 30/04/2023 11:39
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Re : épilogue au Journal de bord
Maître Onirien
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Merci Papipoete pour votre passage.
En retard ? Que non pas, y'a pas d'heure pour passer et à ce compte-là c'est moi qui suis en avance pour faire mes remerciements.
J'ai dit trop tôt que c'était une poésie limpide, vous coulez cette affirmation péremptoire en disant ne pas comprendre certaines images.
Vous savez, les images, ça va ça vient et on adhère ou pas.
Chacun son intériorité et ce n'est jamais facile de la partager.
C'est à ça que sert la poésie, alors tant mieux si déjà quelques unes... et puis si vous trouvez l'idée bonne c'est un bon point pour moi.
A vous relire sous une forme ou l'autre,


Contribution du : 30/04/2023 15:29
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Re : épilogue au Journal de bord
Maître Onirien
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Merci Eki pour votre commentaire et la haute appréciation. Quelle bonne surprise que l'exhumation d'un poème !
J'ai en effet bien souvent l'humeur et la métaphore marine mais nous sommes nombreux dans ce cas. Je crois bien que votre dernier poème ne déroge pas à cette règle !


Contribution du : 21/08/2023 04:20
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