Quelques mots pour remercier vivement Oniris et le C.E d’avoir accepté la publication de "L'aveu" et exprimer toute ma reconnaissance aux nombreux commentateurs qui m’ont fait l’honneur de leurs appréciations.

Bonjour Papipoète,
Je connais votre goût pour les octosyllabes lors, chaque fois que j’emploie ce rythme, je pense à vous. Rêver du désir sans possession quand il s’agit des éléments de la nature qui approchent l’être aimé, ce n’est pas vraiment de la jalousie, mais l’envie de s’y fondre pour offrir sa part de tendresse.
Un grand merci à vous.

Bonjour Embellie,
La répétition de « J’envie » ne vous a pas gênée et j’en suis ravie. Je voulais ce petit poème chantant tel une ritournelle ♪ ♫ ♩ et comme vous le soulignez : « déclaration d’amour pleine de douceur, de tendresse », vous ajoutez : « pleine de poésie », et me voilà comblée.
Merci beaucoup chère poétesse.

Bonjour Lebarde,
Quel joli cadeau que vos deux quatrains en écho à mon poème !

« J'envie et le calme et le bruit
Ta douce voix à mon oreille
Qui me souffle jusqu'à minuit
Des mots d'amour... une merveille.

J'envie et la rime et les vers,
La musique de ton poème.
La fleur piquée à ton revers
Donnant l'air mutin et bohème.

Un aveu de votre part où vous me dites « aimer assez le thème et l'écriture toute simple de ce joli poème sans esbrouffe, ».
Je suis contente que vous n’ayez pas reconnu l’auteur(e) en espace lecture, c’est bien de pouvoir encore surprendre ses lecteurs après tant d’années de présence et d’échanges d’écritures.
Mille mercis cher poète.

Bonjour Volontaire,
« à l’image du mouvement perpétuel de la nature », voilà une jolie formule qui résume parfaitement le propos du poème. Ne vous inquiétez pas en ce qui concerne la maîtrise du classique, ce n’est qu’un détail de maniaque comme moi, je me débrouille avec mais l’essentiel est ce que ressent le lecteur, la technique qu’emploie l’auteur/e c’est son problème, tant pis pour lui/elle
Vous auriez aimé un peu plus de précision sur la description des saisons et des éléments, ainsi qu’un aveu d’amour un peu moins dans la constance, oui j’aurais pu et je tiendrai compte de vos observations.
Un grand merci à vous.

Bonjour Mokhtar,
Quelques réserves que j’accepte et comprends : « trop de et,et,et...des accumulations qui me brident dans la progression du texte. » D’accord, j’en tiens compte. Ce poème n’est qu’une petite bulle de pensées qui flottaient dans l’air, je devais être paresseuse et languissante le jour où je l’ai écrit ^^.
Merci beaucoup pour ce gentil et joli bouquet de fleurs bleues.❀

Bonjour Provencao,
Le plaisir de vous lire l’est pour moi ici encore aujourd’hui. La délicatesse est un aveu et vous avez raison. On ne peux pas toujours tout dire, les mots sont là pour franchir cet espace infime entre la pensée et la parole. Je sais que vous, vous le faites très bien et si poétiquement.
Vous m’avouez avoir été captivée et charmée par ce poème, vous m’en voyez ravie !
Merci beaucoup chère poétesse.

Bonjour Monderiant,
Vous avez entendu ce poème « comme une chanson douce à la Verlaine » ♫ , vous ne pouviez pas me faire plus plaisir. Je suis touchée par la délicatesse de votre commentaire et je rougis à vous lire : « Un petit bijou de poésie française »
Mille mercis à vous.

Bonjour Boutet,
Les « et » devant chemin et chêne ont disparu, métrique oblige, vous l’avez justement bien compris en tant que maître ès classique. Nature et amour sont étroitement liés, que serions-nous sans l’un ni l’autre, sans l’un avec l’autre, une question que je me pose souvent.
Un grand merci pour votre aimable commentaire.

Bonjour A2L9,
Je n’ai pas cité l’automne… Un saison qui mérite tout un poème mais qui m’entraîne dans la mélancolie, allez savoir pourquoi.
Petit cadeau pour vous : Les sanglots longs de l'automne...
« se sentir minuscule mais être là tout de même au final », voilà un joli résumé du thème de mon poème dont vous avez apprécié le « jeu de saisons, des éléments, de lumières ». J’aime beaucoup votre regard poétique sur mes mots.
Merci beaucoup pour vos appréciations.

Bonjour Ramana, « Un petit poème sans prétention, gentillet » et c’est gentiment dit. Oui, les « e » dits muets sont assez bruyants pour qu’on les ligote avec une élision ㋡, c’est que pour l’instant (un instant qui dure longtemps vu que je suis têtue comme une bretonne basque auvergnate), je préfère rester en classique pour garder une certaine homogénéité dans mes écrits. Promis ! Je ne touche à rien puisque vous trouvez que « c’est très zouli comme ça ».
Merki beaucoup Ramana.

Bonjour Myndie,
« les élans lyriques des grands romantiques » . Waouh ! D’accord je suis romantique, mais pas aussi grande que « nos maîstres » ㋡ (1m62, je n’atteins pas le plafond pour les rattraper...)
Tu évoques l’aspect « leitmotiv » et c’est bien l’intention d’écriture, une sorte de ritournelle. Le tournis que ressentent les amoureux en manque de l’autre.
Oui, je crois que tout le monde a compris, même moi, c’est pour dire. N’est pas mal armé qui veut (j’plaisante!).
Merci de ta présence.

Bonjour Laurent-Paul,
Il n’est jamais trop tard pour avoir le plaisir de recevoir un lecteur qui prend de son temps pour déposer un nouveau commentaire, d’autant plus quand il est étayé comme l’est le vôtre.
Un « poème faussement simple » : j’adore votre regard tellement vrai. Vous avez aimé le rythme créé par l’anaphore, la douceur des rimes, la nature et le passage du temps qui s’entrelacent.
Un jolie toile en couleur que vos mots sur ce petit poème sentimental.
Un grand merci à vous.


✍:
Etourdie incurable de naissance, veuillez me pardonner si j'ai commis quelques fautes d'inattention.
Quoi qu'il en soit, je suis toujours aussi heureuse de lire chacun de vous et je renouvelle mes remerciements pour l'attention que vous portez à mes publications depuis tant d'années.

Soyez fous, soyez heureux et surtout prenez soin de vous et de ceux qui vous sont chers. ღ

Cristale

Merci de votre retour chère poétesse.

Belle et douce journée.
Véronik