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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : La chimère |
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Onirien Confirmé
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Bonjour Cyrill,
Merci pour vos explications. Je comprends. Mais tout de même, j'ai essayé de comprendre aussi La chimère, pas seulement vos explications à son sujet. Je bloque tous les trois mots. Et j'essaie, hin, n'allez pas croire, avec la certitude ferme que vous avez écrit quelque chose qui a du sens. Avec la meilleure volonté du monde de ma part. Et que vous vous compreniez, cela va de soi mais ne me suffit pas. Mais alors pas du tout. Puisque vous avez choisi de publier, je ne suis plus étrangère à La chimère. J'en suis lectrice. Lectrice perplexe. "L’origami se dissimule aux sombres pliés du poème." Rapprochement entre le poème et l'origami. Le point commun : tous deux sont "pliés" pour prendre forme. Mais pourquoi est-ce que l'origami serait dissimulé dans les plis du poème ? L'origami est une chose, avec une existence matérielle et physique. Si l'un des deux devait être dissimulé, ce serait le poème, qui est fait d'idées, et non de matière ? "Ombre oubliée d’un blême préambule, alchimie du mental et de la molécule, elle est gale qui rampe au travers d’oripeaux." Le "elle" doit être la chimère. Je suppose que vous avez des oxymores ici : ombre du préambule, alors que le préambule n'a pas de réalité physique, et alchimie du mental et de la molécule, à nouveau association d'une réalité physique et d'une réalité idéale. Peut-être que la chimère ne prend forme que par le poète, et par le poète "vivant", un corps (lié à un esprit) qui donne une réalité matérielle aux idées, en couchant des mots dur papier par exemple. La gale, maladie de peau, n'est-ce pas ? Et les oripeaux ? Des vêtements râpés ? Et alors, pourquoi la gale rampe à travers les oripeaux ? Pourquoi pas "sous les oripeaux" ? "D’humble micelle en pur génie du mal, qui lampe l’agonie du détail au sel de ma salive et frémit sous l’émail de ma peau crépuscule, elle est eau vive, alcool de brume." Ici je bloque sur le rythme. Jusque-là, vous aviez des propositions de six syllabes poétiques, on avait plus ou moins des alexandrins blancs, soudain il y a des cahots. La chimère semble connaître une évolution ou une transformation, ou bien se montrer sous plusieurs jours différents : elle peut n'être presque rien et inoffensive, ou terrifiante et destructrice. Lampe l'agonie du détail : le poète souffre dans la recherche de la précision de l'expression afin de nourrir la chimère, qui est une entité indépendante du poète, de type parasite. Email de ma peau crépuscule : non, je ne vois pas. Email : vous utilisez cette acception : "Éclat du contraste entre couleurs vives" ? Mais quelles couleurs vives de la peau ??? Celle qui est marbrée par la gale peut-être ??? Et le crépuscule est la mort qui approche ? Eau-vive, je ne sais pas pourquoi me fait penser à eau de chaux, sûrement faux, de toutes façons je ne vois pas ce que ça fait ici. Alcool de brume, véritable expression de poète, agréablement classique, hmmm, je vous réprimande : l'expression me plaît sans réserve, c'est sûrement le signe qu'elle était trop facile et n'a pas sa place ici. À RETRAVAILLER, CYRILL !!! Je laisse la suite de votre poème reposer et vais en faire de même.
Contribution du : 21/08 18:10:45
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Re : La chimère |
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Merci surtout à toi, Cyrill, et à tous ceux qui continuent de faire exister Oniris comme je l'aime.
"Citation Tu me réponds : 《À quel point tu as tout vrai ? Ouf, je nuancerais juste la question de la souffrance. Je ne la ressens pas à l’écriture, l’accouchement est une délivrance. C’est douloureux avant, lorsque de l’informe il me faut sortir une forme.》" Bien dit, sortir une forme de l'informe ! Bien sûr, l'écriture libère, mais pour moi, c'est plutôt comme un volcan trop longtemps contenu qui finit par imploser en expulsant sa lave incandescente. Sur le moment ce lâcher de pression est carrément jouissif, pourtant la frustration va revenir ventre à terre, lestée de ce que j'appelle une certaine souffrance. Celle de ne pas avoir réussi à rendre la totalité de ce que la muse m'avait soufflé au moment de l'impulsion et qui continuera de me tourmenter jusqu'à ce que je reprenne la plume... ou que la tourmente finisse par lâcher prise, ou que je lui torde le cou avant. ^^ Quoi qu'il en soit, ta Chimère est pour moi d'une éblouissante limpidité. Tes métaphores suivent pas à pas la montée en puissance rageuse qui précède la délivrance. Il n'y a rien à expliquer. La Poésie ne s'explique pas, elle se ressent. Merci pour ton retour sur commentaires personnalisé. Je connais la somme de "travail" que cela représente et t'en suis d'autant plus reconnaissante. 😎 Cat via smartphone ![]() (ce qui explique que j'ai fait "court" ce soir avec ma réponse. Pas vrai Ornicar ?) ^^
Contribution du : 22/08 01:08:49
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Re : La chimère |
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Maître Onirien
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Le problème, Salima, c'est que vous essayez de décortiquer ce qui ne se décortique pas, de le comprendre de façon terre-à-terre, comme ici : Et alors, pourquoi la gale rampe à travers les oripeaux ? Pourquoi pas "sous les oripeaux ?
Mêler la matière à l'idée, les mettre en relation, est ce qu'il y a de plus réjouissant en poésie. C'est la métaphore, sans les "comme" ni "tel que" de la comparaison. Au lecteur d'en ressentir le bien-fondé, ou de rester perplexe. Nous ne sommes pas dans une démonstration scientifique qui devrait être validée ou non par des pairs. Je ne peux pas faire en sorte que vous voyiez ce que vous ne voyez pas, je ne peux que constater que vous êtes une lectrice perplexe. Ce qui finalement me convient assez. Ainsi en va-t-il de la diversité des sensibilités. Vous avez finalement pu inscrire dans votre propre univers poétique quelques propositions venant du mien, à votre façon logique. Position de lectrice, je la respecte. Je reste quant à moi sur ma position d'auteur (ici, car lecteur je suis à d'autres moments). Et si quelque expression de poète, agréablement classique s'est glissée parmi les incongruités que vous avez relevées, c'est que je ne rejette ni l'agréable ni le classique. Même si par goût personnel je cherche d'autres formes d'expression qui correspondent davantage à mes aspirations poétiques. Ne serait-ce que par ce que vous ressentez comme cahots rythmiques. Il s'est agi, de mon point de vue, de couper le ronron hexasyllabique par de subreptices octosyllabes, ou autres, au risque de déranger quelques lecteurs ou trices. J'espère, sans avoir répondu à vos remarques, vous avoir convaincue de la nécessité de n'y pas répondre. Bien à vous.
Contribution du : 22/08 03:56:27
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Re : La chimère |
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Maître Onirien
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Cat :
Bien sûr, l'écriture libère, mais pour moi, c'est plutôt comme un volcan trop longtemps contenu qui finit par imploser en expulsant sa lave incandescente. Sur le moment ce lâcher de pression est carrément jouissif, pourtant la frustration va revenir ventre à terre, lestée de ce que j'appelle une certaine souffrance. Celle de ne pas avoir réussi à rendre la totalité de ce que la muse m'avait soufflé au moment de l'impulsion et qui continuera de me tourmenter jusqu'à ce que je reprenne la plume... Dire la totalité ! Mais Cat, ce n'est pas possible ni souhaitable. Y aurait plus qu'à rendre son tablier. Toujours garder un petit brandon pour entretenir le feu. Nos ancêtres le savaient, le volcan aussi. Cette petite chose qui tourmente, c'est la vie. C'est inconfortable au possible. Je sais bien que le bonheur et la félicité sont aussi source d'inspiration pour nombre d'entre nous. Qu'il ne faut pas nécessairement souffrir pour être poète. Je ne peux que constater les faits. De là à cultiver la souffrance, non. Mais puisqu'elle est là, autant en faire quelque chose. La Poésie ne s'explique pas, elle se ressent. C'est un peu l'idée. J'ajoute que certains poèmes, d'auteurs connus ou non, ont beau être reconnus par une majorité comme les plus beaux, les plus ... poétiques, les plus les plus... m'en touchent une sans faire bouger l'autre, comme disait en son temps notre Jacquot de président. Il ne s'agit pas d'en contester la valeur, il s'agit d'une différence de sensibilité, ou encore de moments opportuns, de rendez-vous loupés, de smartphone sans réseau, de lunettes inadaptées, de sonotone défectueux, d'implantation des cheveux, de congestion nasale, de névralgies analgésiques ou de montre déréglée. Je m'égare mais je me comprends.... Au plaisir, Cat ![]()
Contribution du : 22/08 04:27:46
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@ Salima : je rajoute que je suis assez interloqué que vous pensiez en termes de sévérité (cf votre première intervention :... ce qui serait pour moi un point de critique sévère ) s'agissant de poésie, domaine qui touche à l'émotion par excellence.
L'auteur aurait-il le devoir de tourner 7 fois la mine de son crayon sur la page (métaphore) avant d'écrire, et de prouver qu'il l'a fait à ses lecteurs, sans quoi ceux-ci pourraient sévir ?
Contribution du : 22/08 10:09:44
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Onirien Confirmé
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Ha ha !!! Interloqué ? Mais non, voyons, critique sévère, si j'étais un prof et vous mon élève, et que je vous mette une note épouvantable, vous seriez interloqué, normal. Mais je passe, je lis, je m'intéresse ou non, je commente ou non, je suis sévère ou non dans mes commentaires, et le monde s'en fiche parce que je n'ai d'autre pouvoir que celui des mots et des idées.
Vous par contre, c'est différent, vous avez un pouvoir décisionnel sur Oniris, et les responsabilités qui vont avec, et les privilèges aussi : on peut vous supplier de faire preuve d'indulgence ^^. Moi mon indulgence on s'en fiche. Critique sévère : par là je veux dire : je prends la poésie très au sérieux, je ne voudrais pas qu'on la brade, qu'on se contente de médiocre ni même de bien, qu'on cherche le meilleur, peu importe la forme qu'il prend. Tourner 7 fois, ah non, pas forcément. Il y a des auteurs qui donnent le meilleur d'eux-mêmes dans le premier jet, et toute retouche détruit la grâce et l'équilibre spontanés. Donc pas forcément. Mais peu importe comment l'auteur parvient au meilleur de ce qu'il peut, moi je lis et je commente si j'ai l'impression d'une paresse intellectuelle ou un autre vice épouvantable, je critique sévèrement. (Là, je vous vois venir, vous allez le dire que vous trouvez inacceptable que je parle de vice épouvantable, ^^) Et j'attends la critique sévère, je la recherche même pour mes écrits, et si vous me commentez avec l'intention d'être indulgent, hmmm... peut-être je préférerais ne pas recevoir de commentaire du tout. Mais je vous laisse, vous avez bien défendu votre steak, je reconnais que je suis limitée par ma propre perception et je renonce à tenter de comprendre ou de percer les mystères de votre Chimère. D'ailleurs, à part le fait que je ne comprends pas tout, il y a des éléments que j'y apprécie. Au plaisir !
Contribution du : 22/08 14:59:57
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Re : La chimère |
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Maître Onirien
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Je ne répondrai qu'à cela :
Citation : vous avez un pouvoir décisionnel sur Oniris, et les responsabilités qui vont avec, et les privilèges aussi : on peut vous supplier de faire preuve d'indulgence Ah !? C'est vrai, on peut toujours. Personne encore ne m'a adressé une telle prière (quelle horreur !), et je serais bien mauvais sélecteur si j'y accédais, et donnais un avis conforme à la prière en centrale de sélection. Contre quoi d'abord, j'y accèderais ? Des bombec ? Sincèrement, ce que vous dîtes là n'est rien moins qu'un procès d'intentions, et laisse penser que les sélecteurs sont corrompus ou corruptibles. Pour le reste, la suite me fait penser que vous aimez bien faire causer les gens pour les faire causer, qu'ils défendent leur steak comme vous dites. Je m'en tiendrai donc là.
Contribution du : 22/08 16:13:27
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Re : La chimère |
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Expert Onirien
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"Vous par contre, c'est différent, vous avez un pouvoir décisionnel sur Oniris..."
Oui et... non, Salima. En petite part seulement. Cyrill, n'est pas seul à agir au sein du CE. La décision de publication est toujours collégiale. Ne perdons pas de vue ce point essentiel de notre fonctionnement. Et moi aussi, je trouve que cette petite remarque s'apparente à un procès d'intention, non seulement à l'égard de Cyrill, mais de nous tous, et de tous ceux qui contribuent au bon fonctionnement d' Oniris. Dommage. ![]()
Contribution du : 22/08 18:29:11
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Re : La chimère |
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Onirien Confirmé
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Ah non, c'était pas un procès d'intention, c'était pour rire. Ça m'amuse pas mal. Et ce "procès d'intention" est assez grossier de ma part pour ne pas être pris au sérieux par vos parts. Et ça ne peut pas être un procès d'intention parce que je ne vous ai accusé de rien. J'ai dit que mes commentaires n'ont pas de valeur, les vôtres si, parce que vous faites partie du comité. Je peux me permettre le caprice de ne pas aimer, vous non. Je peux être partiale, vous non.
Bon, j'ai quand même compris que je peux influencer les plumes d'une œuvre, voilà pourquoi je n'ai pas joué à évaluer votre œuvre, Cyrill. J'ai juste joué sur votre fil, à tâcher de comprendre. Faut-il mettre une cravate et se guider pour venir parler ? Faut-il peser chaque mot comme en échanges diplomatiques ? Ornicar, Cyrill, c'est grave ce que vous faites. Je ne vous ai pas accusés de corruption, j'ai dit qu'on pouvait vous supplier de faire preuve de clémence, ou un truc dans le genre. J'ai pas dit que vous alliez en faire preuve, au grand jamais !!! Je sais bien que vous êtes impitoyables. (Pardon, c'était encore pour rire, mais que reste-t-il donc que le rire, quand le reste est parti ?) De toutes façons, pour mettre les choses au clair, Cyrill je vous apprécie. Et j'ai écrit Sabah grâce à vous et pour vous. Ça crée des liens, je vous suis redevable. Je voulais juste comprendre votre Chimère. Comment voulez-vous que je progresse si je n'essaie pas de comprendre ce que je ne comprends pas. Le coup du steak, je vous le concède, c'était une irrévérence. Vous m'excusez ? S'il-vous-plaît, excusez-moi. Ça m'ennuierait que vous restiez fâché (parce qu'en l'état actuel de votre dernier message, vous me paraissez très fâché). Pour mettre d'autres choses au clair, je suis très contente qu'Oniris existe, qu'il soit dirigé, que je ne fasse pas partie de ceux qui y ont une responsabilité "fixe", et vous devez bien le savoir tous les deux puisque j'ai déjà remercié Oniris dans un fil où vous êtes intervenus tous les deux et peut-être dans deux autres fils encore où vous n'êtes pas intervenus. Ça n'empêche pas qu'en tant que membre j'ai moi aussi mes obligations que je prends au sérieux, mais les miennes sont plus souples que les vôtres, et ça m'arrange bien. Donc je n'envie pas votre position, parce que je suis ravie de ne pas avoir vos responsabilités, et vous n'enviez pas la mienne, parce que vous seriez libres de quitter vos fonctions si vous vouliez, et je suis ravie que vous soyez là, en fonction, sinon je ne pourrais pas être là, en membre. Il est évident que les responsables et les membres simples sont complémentaires, c'est si évident que c'est ridicule de l'écrire, et je vous crois, Cyrill et Ornicar, assez mûrs et souverains pour ne pas prendre la mouche sur une plaisanterie sans conséquence. Maintenant, passons aux choses sérieuses. Si je voulais vous corrompre, Cyrill, j'essayerai pas les bonbecs, mais j'essaierais quand même la bouffe. Mettons... J'ai un sonnet en EL, si vous me le faites passer, je vous invite à dîner, je vous propose salade de pissenlit et chèvrefeuille, petite soupe de poisson, lapin à la moutarde et frites au vinaigre, plateau de fromage, tarte aux fruits de saison et fruits secs. Ornicar, si vous vous laissez corrompre, vous êtes le bienvenu, apportez donc Madame, que j'aie une aimable compagne avec qui discuter.
Contribution du : 22/08 20:08:16
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Re : La chimère |
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Maître Onirien
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Je pensais ne pas répondre, mais il s'agit de mon fil et je suis garant de sa bonne tenue.
Aussi, Salima, je vous demanderai de cesser vos minauderies qui s’apparentent à des tentatives de manipulation. Je n'y suis pas sensible, et elles n'ont pas leur place ici, sinon qu'elles servent à vous dédouaner de vos interventions précédentes. Assumez, vous avez un niveau d'expression suffisant pour ne pas tomber dans le ridicule.
Contribution du : 23/08 06:06:14
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