Mes remerciements au CE pour la publication de La griffe, aux correcteurices qui n’ont rien retouché il me semble, et aux lecteurs doublés parfois de commentateurs.
Sorte de Black Dalhia à l’envers, puisque la fille envoie le poète au tapis de ses talons aiguilles. Il l’a bien cherché. Le doigt d’honneur ne lui fait pas honneur.

@ Orni, merci pour ton commentaire en EL, ainsi mon poème sort habillé. Je viens de recevoir une commande : La nuit du chasseur, de David Grubb. Hâte de commencer la lecture ! Du Noir et blanc, évidemment !
L’escarpin te botte ? 😃 🙃
Ton petit théâtre est à la même adresse que le mien.

Merci @ Provencao. Je contresigne le mimodrame de mon sceau de dandy aristo-rocambolesque !

Pouet, merci. L’audace de Jean Genet je n’aurais sans doute pas. Léo Ferré me hante. Tu vois juste dans mes intentions : « quel malheur pourrait-il arriver à cet ange ?». Ainsi s’est imaginé le poème.

Merci Myndie. Très belle chanson en effet que tu évoques. Je remarque juste à présent ton édition à propos du V7. Ouf, mais on pourra dire que tu m’as fait ramer et chercher la phonétique. Merci pour les éloges, et surtout la patte cinématographique déjà remarquée, et l’ambiguïté, c’était l’esprit.

Merci Zeste. Léo Ferré aussi pour vous. Difficile de cacher mes inspirations… «Un texte accrocheur», forcément, la griffe.

Merci Al, pour avoir entendu quelque chose à cette aube louche, et engrangé quelques bouts de dico, ça leur fait du bien d'être ouverts de temps en temps.

Merci Lebarde. Vous auriez pu noter, je ne râle pas si c’est argumenté. La simplicité, je l’aime aussi, je l’adore parfois :
«Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme ! » …
J’aime les mots, leur sens et leur musicalité, je prends donc le risque d’être taxé de pédanterie. On est tous l’élite de quelqu’un, me souffle un petit sage sur mon épaule ! Ni plume ni couronne, hein.

Vadim, Merci. Ouch ! Un «cœur en or massif», c’est du lourd, j’espère qu’il bat ! «De prime abord froid», tu as raison et c’est dit autrement plus bas.

Merci Ramana. Comme dit plus haut, il existe de superbes exemples de simplicité alliée à valeur poétique, et j’aime. Esprit d’élitisme je n’ai pas, mais je conçois tout à fait l’impression que le poème peut donner. Vous rustique, allons !

Merci Lari ! Mallarméen c’est vrai. Le «de prime abord froid» de Vadim.
J’aime moi aussi prendre la poésie pour ce qu’elle est, codée par la machine Enigma.
Tu résumes bien : rythme, sémantique et sonorités pour créer des sensations.

Je pense n’oublier personne. Je vous redis merci pour les sensations apportées par vos commentaires, et à la prochaine sous d’autres écritures !

Salut, merci pour le retour.
Ça sentait l'attaque et l'éraflure pas en toc.
Pas trop à côté de la plaque, mon cerveau fait encore plic ploc...

Allez, hein

Ouf, mais on pourra dire que tu m’as fait ramer et chercher la phonétique.

Ah oui, désolée
Il y a des mots comme ça qui m'ont toujours posé problème phonétiquement , comme ici gréement
ou bien à l'écrit, comme ce foutu parallèle , tiens je viens encore de me tromper en l'écrivant
La prochaine fois, aie pitié de mon analphabétisme, utilise des mots moins savants

Pouet, le mien de cerveau fait plutôt tilt.
Mais j'avoue, ça occasionne parfois des courts-circuits.

Ça explique bien des désagréments, Myndie !
J'étais plutôt axé sur l'affaire du :

co-altar ou coltar , Va savoir, Gérard

Ah mais non! Pas le coaltar!
Mon cerveau s'y retrouve tellement souvent qu'il en connait la phonétique

Il bat si fort qu'il aura même de quoi battre pour l'éternité au paradis !

Merci pour ce retour Cyrill.

Une belle soirée à toi.

Le paradis... très peu pour moi Vadim, j'ai un faible pour d'autres ambiances plus enflammées.
Et je suis sûr d'y retrouver quelques connaissances
D'ailleurs Belzébuth achète l'or au poids, à ce qu'on dit !

Ouais. Tu iras de gré ou de force.

Dis-toi que le Malin est seul aux manettes en bas, personne n'a l'air de le comprendre parmi ses adorateurs terriens...

Bref, assez de t'embêter avec mes trucs chrétiens.

Belle soirée à toi Cyrill et à bientôt par ta plume puis la mienne.

@ Papipoete, merci pour votre commentaire.
Comme dit plus haut, j'ai bien vérifié la phonétique de coaltar avant d'y écraser mon rapace :
coaltar \kol.taʁ\ ou \kɔl.taʁ\

Je me suis souvent ramassé sur les dictées de Pivot, cela dit !
Cordialement

Merci Bodelere pour votre commentaire.
J'apprécie au plus haut point ce que vous avez ressenti du poème : «exploration complexe de la féminité, de la poésie et de la destruction», ou encore «testament sur l’art et son rapport à la réalité».
Je n’aurais pas su le dire ainsi et peut-être que c’est trop demander ou prêter à cette scène, mais la réflexion ainsi s’amorce.

Au plaisir