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Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
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De Pyrénées Atlantiques
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Ceux qui suivent le Tour de France ou pratiquent le ski connaissent déjà les Eaux-Bonnes, situées avant Gourette et le col d’Aubisque. Col exigeant que je mets un point d’honneur à gravir chaque année en vélo. La première fois que j’ai traversé ce bourg accroché à flanc de montagne, j’ai été surpris d’y voir des bâtiments majestueux, un splendide casino, de charmantes villas disséminées ici et là, une allée de séquoias géants qui détonne avec la flore locale. Intrigué j’ai interrogé les gens, fait des recherches sur internet pour découvrir que c’était autrefois un lieu prisé de l’impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, qui avait l’habitude d’y prendre les eaux. Il existe en effet, depuis des temps immémoriaux, plusieurs sources minérales aux vertus thérapeutiques.
Ajouté à ça un village limitrophe, Aas, connu pour être un des derniers détenteurs du langage sifflé au monde. Seul moyen de communication en altitude, les bergers échangeaient des informations en sifflant.
Autant de particularités qui ont enflammé mon imagination et m’ont poussé à imaginer cette longue histoire. Il est d’ailleurs très encourageant par rapport au travail fourni, qu’un format long peut rencontrer la même réussite que du court.
Enfin merci à tous les gens dévoués qui ont permis la parution de cette nouvelle et l’ont corrigée.

Pour ceux qui aimeraient plus de renseignements : ICI

Je ne suis pas un maestro en écriture socque, j’entends bien qu’avec un texte aussi long il peut y avoir des passages moins bons que d’autres. En vérité je passe mon temps à reprendre et peaufiner mes écrits, jamais satisfait du résultat. Je te remercie de me pointer ce qui peut être encore amélioré, Oniris communauté d’entraide !
Par rapport à l’absence de « sang versé », j’en fais tellement couler dans mes nouvelles que cette-fois ci j’avais décidé d’être soft, de surprendre plutôt le lecteur en lui faisant croire à des rites sataniques alors que nous sommes dans une dimension animiste.
Depuis le temps que je te connais je me rends compte à quel point nos sources d’inspiration s’éloignent. Tu te complais dans la haute technologie et les fluctuations du champ quantique, je privilégie de plus en plus le patrimoine et les sillons du terroir.

La nouvelle est dans la catégorie réaliste Marite mais aurait pu tout aussi bien s’inscrire dans le fantastique. La plupart de mes récits oscillent entre deux mondes où la frontière du surnaturel n’est jamais loin. Rien ne m’inspire davantage que le réel qui voit subrepticement ses fondations remises en cause.

Êtes-vous blasé à ce point là Asrya pour lancer « rien de neuf sous le soleil » ? Permettez-moi de m’insurger, je vous défie de trouver un récit qui s’approche de près ou de loin au mien. Si vous évoquez la guérison miraculeuse alors qu’on pensait que tout était fini, d’accord, par contre je revendique le côté original du cadre, du contexte. Un guérisseur avec une croix basque tatouée sur la poitrine qui respire l’haleine d’une adolescente pour réaliser son diagnostic, vous n’en rencontrerez pas tous les jours !
Pour « la fin très précipitée », ne pas oublier que le récit totalise plus de 47 000 caractères. Si je voulais caresser l’espoir de récolter un nombre décent de commentaires, je ne pouvais guère faire plus au risque de décourager tout le monde. C’est une nouvelle, pas un roman, qui répond à des règles de concision bien définies.

Merci Cherbi, je vais t’inscrire dans mon fan club car je désespère un jour te déplaire. Plus sérieusement, c’est vrai qu’il existe des auteurs qui ont le don de répondre à nos attentes, à nos goûts précis de lecture. J’en profite pour te dire que j’ai bien lu ta réponse à ta nouvelle Manticore, que j’ai relevé cette phrase que je trouve très juste : « ne sommes-nous pas les pires juges de nous-même et de ce que l’on fait ? » D’où l’importance de soumettre nos œuvres au jugement de regards avisés. Oniris est le lieu parfait pour ça.

Deux choses très pertinentes dans votre commentaire Elena : la difficulté, voire l’impossibilité d’avoir un regard objectif sur ce qu’on écrit ; le prétexte d’une histoire pour évoquer des montagnes que j’affectionne. Sur le premier point, nous sommes tellement prisonniers de notre cadre de pensée qu’il est nécessaire d’avoir l’apport de regards extérieurs. Ça va même au niveau visuel. Quand je relis mes nouvelles sur un autre support que mon écran, je détecte plein de fautes !
Et pour cette remarque je ne peux que vous donner raison : « la tranche de vie qui servait de prétexte pour parler du lieu ». Disons plus précisément que l’une ne pouvait exister sans l’autre, et d’ailleurs c’est bien la montagne et ses esprits qui sauvent la petite.

En effet Corto, si je voulais être rigoureux je serais obligé d’envoyer Odile dans un sanatorium et non pas un établissement thermal. Du coup toute l’ossature du récit s’en trouverait remise en cause et je ne pourrais évoquer les Eaux-Bonnes, son environnement, même s’il existait beaucoup de sanatoriums dans les Pyrénées-Atlantiques. J’ai pris délibérément des largesses avec la tuberculose, point faible du récit je l’admets. Je réfléchis à plusieurs solutions pour regagner de la crédibilité : port du masque, transposer le récit ailleurs (du boulot…), trouver une autre infection létale. Un grand merci pour votre commentaire perspicace.

Cette nouvelle n’est pas une contribution à un concours Plumette pour la bonne raison que la limite haute de caractères est en général de 15 000 à 20 000. Il faut penser au jury ! C’est une histoire qui doit ouvrir mon recueil de nouvelles, je t’en ai déjà parlé je crois, basé sur les Pyrénées et le fantastique. De plus j’ai levé un peu le pied sur les concours car ce recueil n’avançait plus, je désespère d’ailleurs le mener à bien un jour.
Moi aussi je suis friand de « ces récits qui nous font voyager dans un passé qui reste accessible à notre mémoire vivante ». La vie de nos grands-parents et arrière-grands-parents, les vestiges qu’on peut encore voir, tout ceci m’intéresse et me font rêver. Vision d’un passé qui semble moins tourmenté, complexe, qu’aujourd’hui. Je réside aussi dans une région, le Béarn, qui possède une forte identité, un patrimoine bien vivant. Ça doit m’influencer, même si je n’en suis pas natif.

Ne vous posez pas autant de questions quand vous commentez une nouvelle Papipoete, dites-vous que l’auteur sera toujours ravi qu’on s’intéresse à lui. Et reconnaissant, car 47 000 caractères il faut se les farcir !
Concernant l’affiche, imaginez ma joie quand je suis tombé dessus. Impossible de trouver autre chose qui collait au plus près de l’histoire, je n’en croyais pas mes yeux. Merci pour l’effort que vous avez fait.

Si j’ai privilégié la rubrique Réalisme/Historique Disciplus, c’est d’une part que le récit s’y rapporte, d’autre part que la catégorie Fantastique/Merveilleux repousse beaucoup de lecteurs qui préfèrent garder les pieds sur terre. Je le sais par expérience.
Je ne suis pas convaincu que l’histoire soit trop longue, qu’il y ait trop de dialogues. Il me fallait du temps pour poser l’intrigue, la développer progressivement jusqu’à son apothéose. Nous sommes dans la ruralité, une autre époque, les gens se parlaient davantage et se précipitaient moins. Je pense plutôt que vous avez éprouvé de la lassitude à parcourir ce long récit, ce que je comprends très bien.

Merci beaucoup Angieblue, tes compliments me font chaud au cœur. C’est vrai que j’ai travaillé dur pour cette nouvelle, je voulais faire quelque chose de long et profond qui entraîne le lecteur, pas du format court vite expédié. Je suis conscient qu’il y a encore des scories que je vais tenter de corriger, grâce à tes précieuses remarques et à celles des autres. Maintenir de la qualité sur 47 000 caractère n’est pas chose aisée, j’admire les auteurs de romans.
Ce n’est pas une nouvelle pour un concours, je te renvoie à ma réponse à Plumette. Au plaisir de te lire, ça fait un moment que tu n’as rien posté...

Contribution du : 07/03/2023 11:27
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
Expert Onirien
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Bonjour Malitorne,

Merci pour le retour et les différentes explications !
Je faisais en effet référence à la guérison miraculeuse ; non pas au cadre et au contexte qui, je le reconnais, permet l'évasion.

Peut-être suis-je un peu blasé oui, trop probablement. Je tâcherai de me surveiller à l'avenir !

Etonnement, les longs textes récoltent tout de même un certain nombre de commentaires ces derniers temps sur le site ; alors ne boudons pas ce plaisir de détailler.
Je l'accorde, la nouvelle était assez longue ainsi ; elle aurait peut-être pu être plus concise en amont (je rejoins l'avis de Disciplus).

Peu importe ceci-dit.

Encore merci pour le retour,
Au plaisir,

Asrya.

Contribution du : 07/03/2023 11:48
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
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Merci du retour Malitorne.

le travail que tu as fourni sur cette nouvelle est perceptible et je suis vraiment heureuse qu'Oniris permette de confronter un tel travail à la sincérité et aux sérieux des commentateurs.

il arrive que nos univers se rencontrent, ça me fait plaisir d'autant ça n'est pas le cas à chaque fois, n'est-ce- pas? Mais cela n'empêche pas de partager!

Contribution du : 07/03/2023 11:53
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
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De Un dimanche à la campagne
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Merci pour votre retour sur commentaires, Malitorne.

Il me permet de vous redire que j'ai bien aimé l'histoire de la montagne et de l'enfant. On ressent très fort votre amour pour les lieux, et les pouvoirs magiques qui s'y opèrent.

Il me permet aussi de revenir sur un point d'ordre général qui, à chaque fois ou presque, me pose un problème ; à savoir celui de la notation, lorsque l'on me demande de juger l'écriture.

Pour moi, il est entendu que sa nature est aboutie du moment qu'elle a franchi le sas de la sélection. Je n'ai encore jamais vu paraître un texte mal tourné, imparfait comme ceux qu'il m'arrive parfois de trouver dans mon EL.

Aussi, ce je qualifie de ''perfectible'', étayé par mon commentaire, ne sont que des broutilles par rapport à la qualité générale d'un texte. Du coup, je me demande ce que l'on me demande de juger ???

Je ne sais pas si je me fais bien comprendre ; si cela peu amener une réponse à mon dilemme ; et surtout si cela a vraiment de l'importance...

Contribution du : 07/03/2023 12:14
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« Venus de l'amnésie oasis mes mots îles, un peu fauves »
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
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Coucou,
Je veux tout savoir. Tu as mis combien de temps pour écrire cette petite merveille ? Tu t'y es pris en plusieurs fois, avec des pauses, où tu t'y es attelé et n'a rien lâché tant que tu n'avais pas terminé ?
J'ai lu que tu étais allé sur place, avais fait des recherches. Je pense que sans cela, ça n'est pas évident. L'imagination seule ne suffit pas.


Moi, je suis une petite fainéante, donc je n'écris jamais plus d'un ou deux textes par an. Et puis, je réalise qu'écrire des nouvelles, c'est vraiment très difficile, je galérais moins quand j'écrivais de la poésie. Je pense aussi que je manque de culture, de connaissances techniques, donc ça me bloque au niveau de l'écriture pour réaliser des descriptions de lieux, de paysages etc...
Enfin, ça n'est vraiment pas simple pour moi.

Contribution du : 07/03/2023 13:09
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
Maître Onirien
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Bonjour Malitorne et merci pour le retour sur commentaires. Assez souvent je les lis tous et ça me donne d'autres perspectives de perception des écrits publiés. Récit fantastique pour des esprits cartésiens certes mais je le considère toujours comme pouvant être réaliste. Traitée efficacement de façon fort peu académique sous d'autres latitudes au sujet de malaises pour lesquels les médecins conventionnels, constatant l'inefficacité des médicaments prescrits, ne voyaient qu'une solution : changer de climat et rentrer en Europe, il m'est impossible de nier l'existence de domaines peu accessibles aux perceptions ordinaires ... Une expérience enrichissante au niveau humain.

Contribution du : 07/03/2023 13:49
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J'aimerais être esprit pour traverser l'espace et modeler le temps, à jamais, à l'infini.
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
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J’espère que vous ne l’avez pas mal pris Asrya, simplement je suis très attaché à l’originalité de mes textes. Ne disposant pas d’une plume exceptionnelle, j’essaie de compenser par le scénario, la conduite de bout en bout d'une histoire.

Oui, la diversité des univers créatifs c'est toute la richesse d'Oniris Plumette. Parfois ça ne plait pas, normal, mais grande serait l'erreur de s'arrêter à un texte.

C’est sûr qu’un texte qui a passé la sélection répond au minimum syndical Elena. Le reste, à nous de juger, et là nous avons notre importance. Il y a des textes très bien rédigés mais chiant à mourir, libre à nous alors de l’exprimer.

Tu te sous-estimes Angieblue, c’est bien toi qui a écrit « La maison au volets rouges » ? Il me semble qu’elle répond à tous les critères d’une nouvelle réussie vu le nombre de commentaires élogieux. C’est sûr que ça demande du travail, de la persévérance, mais quand on aime ce que l’on fait ça ne compte pas. Il m’a fallu un mois environ pour écrire celle-ci et j’avais la chance de bien connaître les lieux.

Est-ce votre séjour en Afrique Marite, mais j’ai l’impression que les médecines parallèles ne vous font pas peur ? Au risque de vous décevoir et malgré mon texte qui y fait référence, je n’y crois pas beaucoup. Je pense que ce sont souvent des effets de persuasion de type placebo. Davantage que la magie, je pense que le psychisme a des ressources insoupçonnées.

Contribution du : 07/03/2023 16:19
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
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Hey hey, "La maison aux volets rouges", c'est un peu comme toi avec ton texte actuel, je connaissais un peu les lieux et j'avais lu un bouquin extraordinaire sur les légendes bretonnes, un vrai trésor pour l'inspiration lorsque l'on aime le fantastique.

Conclusion, il faut voyager ou hyper se documenter si l'on veut imaginer une histoire dans un décor que l'on ne connaît absolument pas.

En tout cas, merci de m'encourager, j'en ai tellement besoin.

Contribution du : 07/03/2023 17:44
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
Maître Onirien
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Oui Malitorne c'est bien lors de mon très long séjour, non touristique ou humanitaire, au coeur de l'Afrique Centrale que j'ai pu modifier et non abandonner mes "perceptions" cartésiennes mais j'étais très bien accompagnée ... c'est peut-être pour cela. Comme vous le dites, le psychisme a des ressources insoupçonnées et je pense que nous n'en maîtrisons pas tous les aspects.

Contribution du : 07/03/2023 20:54
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Re : Les Eaux-Bonnes : entre réalisme et fantastique
Expert Onirien
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Quand j'ai lu les premières lignes, j'ai immédiatement pensé à toi. Cependant, l'anonymat étant de mise, je n'était sûr de rien. Si tu veux me déplaire, un bon conseil : écris comme un cochon et, en plus, en me hérissant le poil sur un sujet qui me tient à cœur. Mais je pense que tu te trompes sur un point : ce ne sont pas les auteurs qui ont le don de répondre à nos attentes, ce sont leurs textes qui nous chavirent, ou pas.

Salutation et au plaisir d'échanger à nouveau, Malitorne.

Contribution du : 07/03/2023 21:59
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