Avant tout, je tiens à remercier toutes les équipes qui se sont penchées sur mon poème pour qu'il figure au catalogue d'Oniris, ce dont je suis fière. Merci aussi à tous les commentateurs qui ont pris le temps de laisser une trace de leur lecture.

J'ai trouvé le titre pour les besoins de publication d'Oniris : en fait, il s'agit d'un extrait de mon recueil de poésie intitulé "Le Tambour des lunes" (comme wancyrs y fait référence, en effet).
Le présenter aux lecteurs du site me fait l'immense cadeau d'avoir un "retour de lecteurs".
Je vous suis sincèrement reconnaissante sur ce point commun à vos commentaires, margueritec, agueev, myndie, wancyrs, francis, patro, lulu, robot, purana, RB, diva-luna : votre sensibilité à tous à l'ambiance/la scène, et les jeux de lumières, ce qui me fait le plaisir de constater que le poème touche là où le narrateur voulait le faire.

Nous pourrions discuter des interprétations au poème. Purana le résume très bien dans sa phrase-qui-lui-tourne-en-boucle "C'est la lumière qui change et nous donne un aspect différent".
Mais il y a aussi le "message" de goûter à tous les instants lumineux qui traversent, souvent subrepticement, notre existence.
Wan ton interprétation d'un rapport homme-vin/femme-flamme n'était pas celle que, consciemment, j'ai voulu faire porter par le narrateur... mais... mais le poème est roi, via son lecteur : c'est lui qui porte tous les secrets de toutes les interprétations, le preuve une fois encore !
En tous cas, là où tu es dans le vrai, c'est que, s'il y avait une "morale" au poème comme dans une fable, ce serait bien : "quand vous vous sentez briller, 'ga'dez donc voir juste à côté de vous des fois que la lumière viendrait plutôt d'à côté..."

Je ne saurais dire davantage, et c'est dommage, à chacun de vos commentaires, qui m'ont tous beaucoup touchée.