Voila, mon premier texte en non-prosopopé. J\'en ai d\'autre comme ca, mais il manque des finitions à certain, et une fin à d\'autres ^^

Sinon, pour la Puce (électronique ?) : les avis convergent pour l'instant.

La mise en forme n'a pas l'air à la hauteur de l'idée hein ?, je le craignait. En effet Ninj', je pense que dans un mois ou plus, je vous proposerai une version remanier du texte.

Vous trouver que les "Ah bon ? Je vais arranger ça" gâche un peu le suspens, que c'est une corde trop grosse. J'aimai bien l'idée de faire sentir doucement l'évolution de la puce, de ses perceptions, et je pensai que ce procédé était assez fin. Erreur apparemment, je tacherai d'être plus subtile.

Les fautes de langue de la puce ont plus à Cyb, ^^ ca fait un bout de temps que je les recueil dans les conversations. J'en ai une petite liste, je me suis dit que ce texte était l'occasion de les utiliser.

Apparemment l'émotion de la puce, qui découvre la réalité d'un prime abord absurde, quise découvre, est plutôt bien rendu sur le moment, mais peut être mal amené.

Sinon, pour ce qui est d'une suite, faut voir, je n'en avais pas l'idée, mais j'y réfléchirai.

Et puis merci pour vous comm, ca aide, et ca fait du bien^^

Oui, j'ai oublié de le mentionner, mais j'ai beaucoup aimé aussi les fausses vraies fautes du programme :)

Pour le reste, j'attends avec impatience une nouvelle version mon cher Oxo :p

Ninj'

Moi itou, et je ne saurais trop insister sur le fait que c'est intrinsèquement un bon texte.

J'ai l'impression que c'est justement parce que l'idée est super bonne qu'on joue aux exigeants ;)

Y a un potentiel de fou dans ce texte, par l'idée et par ta capacité à transmettre l'émotion. On en voudrait juste un peu plus, que tu fouilles encore un peu l'univers de la puce.

Je remarque souvent que les auteurs font des textes courts, dynamiques, nerveux...Je les aime comme ça aussi mais parfois l'idée est tellement bonne que la taille réduite frustre le lecteur qui avait envie de s'immerger plus longtemps dans le texte.

j'ai du mal à comprendre..

l'intention

pas celle du texte, oxoyoz

mais du post

(peut-être suis-je pas bien réveillé)


le café de genevieve ---> pas assez fort

pas d'autre intention que celle de pouvoir discutter du texte sans polluer les commentaires laissés après ce dernier, Emrys :)

exactement. L'espace commentaire est faut pour que les commentationneur (éventuellement évaluationneur) mettent un à un ( et une seul fois je pense) leur ressenti sur le texte. Ce forum permet à l'auteur de s'expliquer, de réagir et de répondre. Le débat, s'il doit en avoir, se déroule normalement ici.

Bon sinon merci aux autres commentationneurs pour leurs commentations sur mon texte.

Merci à Guanaco pour sa dernière remarque. Et oui pour les phrases courtes, j'aime bien ça, je trouve que ca peut donner de la cadence à un texte.

Alors Pissavy, je trouve qu'en général tu es sévère dans tes commentaires, (c'est bien, il en faut des évaluateurs sévères pour compenser avec ceux trop gentil) donc je suis content que tu ais livré ton avis sur le texte.

Je vais répondre. Tu dis : "Apprendre les sentiments à une créature qui en est démunie, un irlandais à fait ça en 1913. Assez banal"

Mon idée de base était celle de la chute. Une personne apprend soudainement qu'elle est un programme (comme Néo qui découvre qu'il est dans la matrice, mais vu du coté des machin), que son existence est le fruit d'un autre, que le monde qui l'entoure n'est qu'un décor (comme dans Truman Show). C'était ca mon idée, la révélation.

Après il fallait faire vivre ce personnage dans ce monde de carton pâte, avant de lui révéler la vérité.

J'ai mon travailler ca que la chute. Voila pourquoi (je pense) Tchollos et d'autres ont trouvé l'amorce pas assez consistante et la fin si brute.

Craignant justement que cette chute soit trop abrupte, je me suis dis qu'il fallait l'annoncer, la faire sentir, petit à petit. (apparemment on la sent trop venir finalement). C'est là que j'ai penser l'apprentissage de la Puce, que l'on devine que l'on est - sans qu'elle le sache - entrain de lui apprendre ... les sentiments.

J'ai longtemps réfléchie sur ce que l'on allait lui apprendre justement. Et comme je voulais montrer au finale les sentiment qu'elle éprouverai à l'annonce de la vérité, j'ai choisie qu'on lui apprendrai les sentiments.

Puis l'idée de la scène qui se répète presque à l'identique, c'était pour souligner le décor figé dans lequel le personnage évolue sans s'en rendre compte ("Le serveur pose délicatement deux cocktails sur la table et s’en va.")

Donc, Pissavy, Apprendre les sentiments à une créature qui en est démunie, c'est peut être banal, mais ce n'était pas l'objet de ma nouvelle.

Cela dit j'ai était plus ou moins surpris que beaucoup trouve l'idée intéressante, car je ne la trouvais pas neuve. Comme je le disais à Ama, je pense que le thème a été traité par la littérature et le cinéma (ne serait ce que dans les 2 exemples ci-dessus) en long et en large depuis pas mal d'année.

Pissavy dit aussi : "L'histoire démarre trop lentement. on s'ennuie. "

Je trouve la remarque intéressante. Le problème c'est que je n'ai pas la même vue (en tant qu'auteur) que vous (au sens large : lecteurs) du texte. Pour moi il y a une phase de présentation, et une chute. Pas d'histoire à proprement dit.

une fille prend un verre avec un ami tout les jours. un jour il ne vient pas et quelqu'un lui annonce qu'il est mort, qu'elle est un programme informatique, et qu'il l'avait créé. point.

C'est vraiment une histoire ca ? Va falloir que je travaille, mais je ne sais pas vraiment encore quoi, pour le début de l'histoire soit mieux.

Enfin, Pissavy écrit :"le fait de distiller des indices de cette façon tue le rythme"

Là j'ai du mal à répondre, je voudrais s'il vous plait l'avis d'autre oniriens sur ce point.

Voila, les commentaires durs, ca pincent le coeur la première fois qu'on les voit, mais a posteriori, ca donne a réfléchir. Merci

Le seul truc qui m'a dérangé dans les indices, était cette répétition du

"ah ça n'est pas encore au point, je vais l'arranger".

D'une c'est trop gros comme on l'a dit, et de deux, c'est toujours pareil. C'est cette répétition de l'idée, de la scène, qui fatigue un peu le rythme, je pense.

A mon humble avis oxo, tu n'as pas forcément besoin d'être aussi restrictif, que ce soit sur le lieu où la situation qui se répètent. Certes, ça permet d'en noter plus simplement les évolutions, mais je te sais assez rusé et intelligent pour nous faire prendre conscience de ces changements avec plus de finesse, et plus de diversité. Ca permettrait d'égarer un peu ton lecteur, en piquant sa curiosité sans trop lui en révéler. Alors effectivement, ça engendrerait de développer tout ça, pour que la nouvelle ne se limite pas qu'à un dialogue, mais ce serait peut être plus intéressant.
On n'a pas besoin que marc nous indique à l'avance ce qu'il faut remarquer lors de la prochaine rencontre : si c'est bien amené et décrit intelligemment, on le remarquera tout seul.

Enfin, sur la question de l'originalité, ça n'est pas tant ton thème -la révélation- qui est original. En effet, dans des oeuvres comme Matrix, IA, the Truman Show et bien d'autres, ce sujet a été largement abordé. Ce que je trouvais plus intéressant, était qu'ici, on assiste, sans le savoir, à l'apprentissage de l'IA. A sa programmation.
C'est le réel intérêt de ton texte selon moi, et c'est cet aspect -plus que l'intro et la chute à mon sens- qui mériterait d'être travaillé plus subtilement.

Pour reprendre ton exemple, dans Matrix la révélation (tout n'est qu'un monde virtuel) n'est crédible que parceque Néo (et le reste) est présenté au spectateur comme quelqu'un de normal, de parfaitement humain, dans un monde réel. Et si on se prend un baffe au moment de la révélation, c'est justement parceque le film s'est evertué à nous faire croire que c'était vrai. Même chose pour le Truman Show. Si la matrice n'était pas plus réaliste que ta Puce, le film aurait surement eu beaucoup moins d'impact :)

J'espère t'avoir aidé,

Ninj'