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Bien |
Pussicat : Le renouveau |
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Le thème du "tout balayer" et de la renaissance sont ici traités tout en heurt, tout en arythmie, m'évoquant un coeur qui bat, bien sûr, et aussi la peur de l'après. Au bout de ce quai d'envol, quoi ? La liberté, la hute, la mort ? Peut-être les trois. (25/7/2015) |
Bien |
papipoete : Que n'ai-je su |
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Desuet, nostalgique, dux et..honnête. J'aime bien ce poème. (24/7/2015) |
Bien |
BrunoGaia : Ruine VI |
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L'importance de ce qui fut, comment on reconstruit en imagination à partir de la trace, du vestige... C'est de cela qu'il est parlé ici, me sembvle-t-il, bien plus que du chien qui rajoute de la trivialité à la nostalgie, mais c'est bien ça, la vie : des ruines qui subissent, et pourtant, oui, d'une certaine façon, elles nous choisissent.
je v... (24/7/2015) |
Beaucoup |
Pimpette : La joie si difficile à dire… |
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La joie simple, la paillette des moments parfaits, et les parfums. Tout y est. La dernière strophe est particulièrement lumineuse. (22/7/2015) |
Beaucoup |
Vincent : Avec des mots |
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Ce pourrait être infiniment triste, cette erreur, cet être dupe. Mais non. Une sorte de paix dans la tristesse. C'est toujours élégant, la tristesse, si on n'y mêle pas l'amertume. Et là, c'est pile. (22/7/2015) |
Beaucoup |
Ioledane : Le grand lustre |
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Après une longue absence, je reviens et découvre ceci. J'aime le chanté de l'octosyllabe, le visuel de ce qu'il évoque, cette ombre au milieu de sors, âme perdue attendant quoi, qui ? Belle variation sur la solitude. (22/7/2015) |
Bien |
Myndie : Les chats |
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Hormis la première strophe un peu lourde, j'ai trouvé que le poème va en s'allégeant, et quelq beaux noms donnés à ces chats de poésie... L'humour n'est pas absent, avec cette "affection distante" donné par un wilberforce "presque sacramentel". Je reviendrai vous lire. (5/6/2015) |
Beaucoup |
godetia : Éloges carnivores |
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J'aime infiniment lire des textes où les limites sont reculées, où les images sont fortes, négatives, puissantes aussi. En écho me reviennent certains passages des "chants de Maldoror", ce "j'ai reçu la vie comme une blessure et je n'ai pas permis au suicide d'en guérir la cicactrice". Ce (ces) corps disséqués jusqu'à l'âme éclatent en mots-raso... (2/6/2015) |
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