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Beaucoup ↑ |
Lariviere : Fragment du crépuscule (Morceau 35) |
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Fouuuuu. Larivière par chez moi on dirait ceci : "tu m'espante"...
Quel regard, quelle lucidité, quelle critique, sans jamais le moindre jugement... Pourquoi? Ce simple "on" qui fait que tu (le narrateur...) sois parfaitement conscient de ton asservissement aux règles, morale moralisante, et loi du plus clinquant de notre bonne vieille sociét... (14/3/2008) |
Bien ↓ |
myshadows : Cris de douleurs |
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Ghislainha, je te renvois toi et ton commentaire à Giuseppe Ungaretti, poème Tutto ho perduto (J'ai tout perdu), partie Il Dolore (La Douleur) de son oeuvre complète Vita d'un uomo (Vie d'un homme), si tu ne trouve pas en français, je peux éventuellement essayer de te traduire ce poème.
myshadows quant à ton poème, bien sûr c'est terrible, ça... (12/3/2008) |
Bien |
myshadows : My shadows |
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Avec tout le respect que je te dois myshadows, ce poème est celui que j'ai préféré de tous ceux que tu as publiés sur Oniris.
Ma phrase favorite du moment : Complexe d'infériorité doublé d'un complexe de supériorité. (les vrais fans reconnaitront cette phrase, lol).
En fait le narrateur (tu?) nous dit qu'il ne faut pas surtout pas sonder ... (8/3/2008) |
Beaucoup |
Elle : Roméo is bleeding |
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Voilà! Franchement Elle, ce n'était pas gagné ton pari! Prendre un classique comme cela (d'ailleurs c'est de qui exactement, je sais que ce n'est pas Shakespeare mais bon...)
Bref, bravo, ça m'a fait rire jaune ce poème, c'est acide et très contemporain dans l'excellent sens du terme. Dès la première strophe le ton est donné, c'est ma préféré... (8/3/2008) |
Bien ↑ |
Janel : Bonne nuit mon Amour |
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Alors je ne commenterai pas la forme, métrique, rime...etc. Je laisse ce soin au spécialiste.
Pour le fond, ça m'a touchée. Ce vers qui revient à chaque début de strophe est vraiment entêtant.
Une fois de plus c'est un poème triste (il y en a beaucoup sur Oniris, mais peut-on faire autrement...bref) mais qui ne sombre pas dans le pathos. A... (3/3/2008) |
Beaucoup |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 14) |
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Oui, l'obsession "de ce qui est après" et l'oubli du présent. La futilité de nos vies si elles ne sont pas ressenties, vécues en quelques sorte.
"Nous ne pouvons pas mourir" bien sûr puisque que nous ne vivons pas. Seul l'Autre, par sa mémoire nous fera vivre. Parce que l'éternité se loge bien là, dans l'altérité et son regard porté sur nous.... (3/3/2008) |
Un peu |
David : Stagnante |
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Je n'ai pas accroché du tout. Certe c'est bien écrit, ça rime, ça sonne et ça se lit, là n'est pas le problême.
Mais bon, je n'ai pas réussi à voir la poésie dans la flaque d'eau. (j'exagère...). L'élément n'est même pas mis en valeur. J'aurais aimé y lire une réelle personification, une explication de sentiments. Ca m'a fait l'effet d'une co... (3/3/2008) |
Un peu ↓ |
myshadows : Oh ! Grande Sainte Dame ! |
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Au début je me suis dit : "il parle de la mort". Mais le dernier vers... "Que la mort soit notre paradis.", tu (le narrateur?) dis à la mort (qui est personifiée quand même) qu'elle sera votre paradis. A qui alors? Au narrateur et à qui, à la mort ou quelqu'un d'autre...?
Sans porter de jugement, je ne comprendrai jamais comment on peut écrir... (29/2/2008) |
Bien ↑ |
Birdy/Artpentie : Un rêve |
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Très très poétique, j'ai complètement adoré le début avec ces mots balancés au lecteur comme ça. J'adore, ça fait très dialogues de films noirs je trouve. L'ambiance générale aussi d'ailleurs, la fumée, l'espace, les descriptions.
J'ai beaucoup aimé également la troisième strophe, entre l'absurde et le terriblement concret.
En revanche, l... (25/2/2008) |
Beaucoup ↓ |
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 34) |
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Wouaou...
Voici que Larivière est construit, qu'il y a des phrases avec des jolis sujets, des jolis verbes et des jolis compléments? Bon quelque peu bouleversées ces phrases mais quand même. Etrange impression, déçué au début, conquise à la fin.
C'est peut-être un peu plus poétique, plus concret si je puis dire. Tu touche a une valeur com... (25/2/2008) |
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