Mes remerciements les plus mérités et manifestes aux organisateurs d'Oniris , d'avoir accepté d'inclure ma poésie "  La partition endormie" à  son illustre catalogue, ainsi qu’aux lecteurs et à Dimou, Boutet, Papipoete,  Lebarde, Vincent, Cristale et jfmoods, pour leurs retours.

La poésie est une orfèvrerie subjective et chaque inflexion à sa voix...

C'est une poésie que j'ai composé il y a une vingtaine d'année après un passage dans ma vie quelque peu délicat...

L'accent qui me semblait  important à mettre en exergue était cette illusion du privé qui fléchit  la place à l'illusion de l’inanimé.

Cette idée d’inanimé,  soupçonne  que je note un " M"  pour ce murmure, avec cet imprévisible secret même de l’expression, de la naturalité du passage de ce noble silence...


Merci à vous ami(e)s poètes, poétesses de nous faire partager sensibilité, finesse et talent.

Bonjour Provencao.

Je n'ai pas osé commenter "la partition endormie", car si je l'ai trouvée délicieusement poétique, je n'en ai pas saisi le sens. Je ne sais pas, ou peu, jouer de la musique comme vous ( vous m'évoquez Erik Satie).

D'une manière générale, je pense que l'on apprécie d'autant plus un poème que l'on connait la biographie de l'auteur. Si je n'avais pas pris connaissance de la vie tourmentée de Baudelaire, je crois bien que j'aurais mis un "perfectible, n'aime pas" à La charogne.😏

Bien sûr, je respecte votre noble silence. Votre univers poétique est ailleurs que dans le sens commun.

La poésie est une orfèvrerie subjective et chaque inflexion à sa voix...

Bien cordialement