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Cristale
28/5/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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À la fois douce et ferme, la voix de la Terre exprime sa souffrance face aux catastrophes environnementales causées par l’Homme. Elle n’est pas sans lui rappeler son rôle de passager temporaire.
J’aime beaucoup la métaphore de l'horloge, ce temps qui tourne et l'urgence d'agir avant qu'il ne soit trop tard. Mais n’est-il pas déjà trop tard ? L’écriture fait un peu « rédaction » mais la lecture est agréable. Je ne saurais faire que moins bien. Bonne chance pour le concours. |
Charivari
15/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un texte bref mais bien écrit, poétique et tourmenté. Le sujet n'est pas extrêmement original, ni le point de vue adopté. J'avoue avoir du mal à saisir qui est le narrateur à cause du terme "Dieu" utilisé au milieu du récit: il y aurait donc la terre et au-delà de la terre, une divinité en colère? C'était peut-être à creuser un peu plus, ce concept.
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Robot
15/6/2025
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L'écriture de cette brève est correcte sans sortir vraiment du conventionnel. Une conclusion peut-être un peu trop visiblement moraliste.
Un bon texte que j'ai parcouru sans déplaisir. |
Provencao
15/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Douleurs de la terre joliment édulcorées. Belle construction en votre texte. Bonne chance pour le concours. Au plaisir de vous lire , Cordialement |
BlaseSaintLuc
15/6/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Encore une main invisible, comme si la création ne pouvez être sans créateur, la vérité, c'est que l'univers est un chaos et que nous somme fruit de ce chaos.
"Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme." Lavoisier d'une voix avisée nous le dit. Et que dire du texte ? Donc "je" sans doute "le temps" qui n'aurait pas d'existence lui même, s'il n'avait pas un sujet pour qui exister... Ce n'est personne d'autre que l'homme lui-même qui pleure sur son propre compte, il s'invente même des dieux pour mieux les expiées, pitoyables créatures qui faute de se trouver un créateur, met le feu à sa demeure, après toi, le déluge d'un univers sans son rébus ! |