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Charivari
22/6/2025
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Bonjour
Désolé de vous communiquer que je n'ai absolument rien compris! Et non seulement je n'ai rien compris mais cela ne m'a pas non plus évoqué quoi que ce soit Una amorce "bételgienne"? J'ai cherché le mot dans le dictionnaire, pas trouvé Les "fritures perpetuelles"? Les phrases sont bancales, avec des problèmes morphosyntaxiques: c'est fait exprès Désolé: ce texte m'échappe |
Provencao
3/7/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Dimou,
Plusieurs lectures pour mieux appréhender votre nouvelle. Sur le toit d'une onde illustre a mon sens une réflexion et une inquiétude de cette préoccupante étrangeté, de l’imponderabilité et de l’imprévisibilité. Ces contours invitent une écriture qui met en relief une philosophie de la gratitude. C'est ainsi que j'ai ressenti et accueilli votre nouvelle. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
Robot
4/7/2025
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Heureusement c'est court. C'est la seule qualité que je trouve à cette proposition. J'imagine qu'un roman de 500 pages de ce style pourrait se sous-titrer "essai sur la résistance du lecteur à l'écriture incompréhensible."
Car c'est celà qui me chagrine: "Que doit comprendre le lecteur" Mais me diras-t-on: "Si l'auteur lui même se comprend n'est-ce pas suffisant ?" Certes ! Si... Je suis rester hermétique à cet hermétisme. |
Lariviere
8/7/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Dimou,
Je ne pense pas avoir compris grand chose mais j'ai bien aimé. J'aurais bien vu ce petit texte en poésie en prose. Donc un cours récit assez désarçonnant, mais pour moi impactant. L'inventivité et l'audace de l'écriture est assez jouissive, à mes yeux et oreilles. A ce stade le sens primaire importe peu. Ca imprime quelque chose de l'ordre de la sensation. C'est tout ce que je demande ! Bonne continuation. |
Laz
9/7/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour,
Je suis partagé entre deux réactions : une première entièrement négative car je n'ai rien, absolument rien compris, et une deuxième positive, à une seconde lecture, quand j'essaie (ce n'est pas si facile) de me laisser bercer par les sensations en dépit du non-sens que je trouve à votre texte. Merci pour le partage d'un texte qui ne laisse pas indifférent. |
Donaldo75
17/7/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ahahahah, intéressant ce texte en vénusien (à moins que ce ne soit du neptunien, je vais consulter ma googlo AI box pour confirmer). J'ai quand même mis mon casque à boulons pour saisir l'intensité de la fragmentation lexicale parce que ce n'est pas du tout venant, on n'est pas en train d'écouter Gwen de Carglass nous expliquer comment un petit bout de caillou peut pourrir la vie de madame Toulemonde. Ce qui est bien, contrairement à pas mal d'écrits de ce type - incluant les miens, parfois, je m'en excuse d'avance mais j'ai passé trop de temps à lire Oui-Oui - c'est que les adjectifs qualificatifs ne surpeuplent pas la page, n'envahissent pas la mer des mots telles de communes méduses sur le littoral charentais. Quant à la quête du sens, sublime forcément sublime aurait dit une grande écrivaine à tête de grenouille, elle dépend de la qualité de l'opiacé absorbé avant la lecture, comme le pratiquaient Edgar Allan Poe ou Charles Baudelaire, de la quantité d'aspirine dans le verre posé sur la petite commode à côté du canapé, de la capacité à couper les cheveux en multiple de deux cents cinquante six et de pleins d'autres facteurs encore plus loin que Bételgeuse.
Je vais m'en remettre une lecture, histoire de commencer ma journée en regardant mes collègues comme des poulpes d'Aldébaran ou des varans de Komodo (clin d'oeil, arf arf). |