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David
21/6/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Bonjour,
Boyd me semblait être un prénom au début mais se révèle un nom de famille à la fin. C'est d'ailleurs le premier et le dernier mot de la nouvelle, comme l'histoire de cette duplication du Wyoming à travers le temps et l'espace. Le rôle d'Erin est flou : elle est parachutée dans l'histoire comme si elle était venue "piocher" un Boyd, après un certain temps de maturation, pour l'emmener fonder un nouveau Wyoming. Il y a quelque chose du paradoxe de l'oeuf et la poule, pour savoir qui est venu en premier : le Wyoming, ou bien Erin ? C'est un flou artistique qui pourrait faire une saga en cinq tomes ! L'histoire est moins potache que l'humour, et ça fonctionne assez bien. Le format très court me semble un peu expédié quand même, comme s'il y avait eu un temps limité pour l'écriture. |
Luz
21/6/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Un texte intéressant, mais si court... C'est en quelque sorte le premier épisode d'un roman, plutôt qu'une nouvelle. C'est un peu Christophe Colomb qui découvre l'Amérique et va amadouer les sauvages avec quelques pierreries... On imagine la suite.
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Charivari
21/6/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour. J'ai bien ri, les dialogues sont sympa et l'ambiance assez décalée. Attention à la répétition du mot "périple" deux fois en début de récit.
La fin m'a un peu interloqué: le pays des "sans têtes" c'est un espèce de Wyoming parallèle? Pas sûr d'avoir bien compris |
papipoete
30/6/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour Donaldo
Une planète tout au bout du trou du cul du monde, serait l'endroit idéal pour s'établir loin des états unis d'Amérique, ses richesses sous terraines, et sous mer bientôt épuisées. Là, ça devrait être au poil, y a personne...nan, pas tout à fait y a des indigènes mais qui n'ont pas de tête... va falloir qu'y fassent pas chier, si non on les achètera avec des cadeaux... NB se souvenir que ce territoire US, était peuplé de " peaux rouges ", incultes et vivant tous sous une tente, et se peignait des couleurs sur la peau ; des sauvages quoi ! on les avait mis dans notre poche, avec quelque alcool, et verroterie... je souris ( jaune ) en lisant ces aventures, avec Erin Brockovich en clin d'oeil et le Grand Perroxydé en demi teinte. ça cause gras, et pue le bauf à plein nez, de bout en bout " les autoctones vivent simplement, en harmonie avec la nature, sans aucune règle " si, bien sûr mais pas celles des milliardaires, à gros cigare, et p'tites pépés... |
Provencao
30/6/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Donaldo75,
Belles puissances d’imprégnation de l’ambiance, c'est sous l’appui de la sensitivité, que la visibilité devient susceptible non de transposer le réel mais de faire moduler le lien que nous conservons avec ce dernier et par là même de demystifier des possibles ..... Au plaisir de vous lire, Cordialement |