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Science-fiction
Filipo : Regrets et Cie... (5)
 Publié le 12/04/08  -  2 commentaires  -  17329 caractères  -  16 lectures    Autres textes du même auteur

Où Franck Dumont apprend, à ses dépends, que tout le monde ne peut pas être James Bond, même quand on a pour ambition de sauver le monde. "Mon nom est Dumont, Franck Dumont"...


Regrets et Cie... (5)


Résumé des épisodes précédents :

Je m’appelle Franck Dumont et j’ai vécu une expérience hors du commun : la rencontre avec un autre moi-même, vivant en 2034. Mon alter ego m’a emmené faire une petite balade dans l’espace-temps, en septembre 2013, sur le site d’un barrage conçu par notre société. Nous étions sur les lieux au moment précis où l’un des contreforts céda, entraînant la destruction de l’immense barrage et la mort de plus de trente mille personnes.

L’objectif de mon double était d’obtenir mon aide, pour empêcher cette catastrophe de se produire. J’acceptai, me rapprochant de Karina, qui travaillait dans l’équipe chargée des soutènements. Karina et moi, sommes devenus « très proches » ; dès le lendemain, nous nous mîmes en quête de la faille dans le projet, bien décidés à la débusquer. Après des heures de recherches, Karina m’annonça portant qu’elle n’avait pas trouvé la moindre erreur… Je refusai de la croire, évoquant ce que j’avais vu dans le futur. Karina me planta là, pensant que je me fichais d’elle. Je me demandais alors si je n’avais pas tout simplement vécu un délire éthylique !? Comme en réponse à mes doutes, je reçus une seconde visite de Franck 2034, pour m’apporter la preuve que je ne rêvais pas : le résultat du tirage du loto pour le samedi suivant ! Je décidai de compléter deux imprimés pour la prochaine méga cagnotte…


------------------------



Le dimanche passa au rythme nonchalant d’une limace hémiplégique. Cette journée dominicale ne fut pas de tout repos : assailli d’impulsions contradictoires, je passais brutalement d’une sombre résignation à l’espoir le plus fou. Un maelström implacable dévastait mon esprit avec la violence d’un ouragan ; au centre, les évènements de ces derniers jours, s’enroulant dans une spirale folle de causalités improbables.


Je passai toute l’après-midi à écrire, dominé par le besoin impérieux d’objectiver ces spéculations, en les isolant de moi. Couchées sur le papier, dans l’espace plus restreint et contrôlable d’un bloc-notes, ces pensées menaçaient moins de faire imploser ma santé mentale. Je finis par me coucher, fort tard, et bien qu’exténué, je ne trouvai le repos qu’au petit matin.


Lundi, j’arrivai au bureau une bonne demi-heure après tout le monde, mal rasé, la mine blafarde, des valoches pas possibles sous les yeux. Quelques minutes plus tard, je croisai Jean-Luc Fournier à la machine à café.


- Eh ben dis donc… Karina et toi, vous n’avez pas dû arrêter du week-end ! Sacré veinard, va ! me dit-il, avec une bonne claque dans le dos.

- Heu, si tu pouvais juste être un poil plus discret ! lui soufflai-je, vérifiant furtivement que personne n’écoutait aux alentours.

- Ok, pigé. Pas un mot devant elle !

- Merci, ce serait sympa, fis-je, en grimaçant un sourire forcé.


Après un petit moment à touiller en silence nos gobelets, il reprit :


- Au fait, tu voulais me parler de quoi, vendredi soir ?

- De rien, en fait… un truc sans importance, éludai-je, sans le regarder.

- T’es sûr ? C’est pas ce que tu semblais dire au téléphone…


Je pris congé de Jean-Luc, le plus diplomatiquement possible ; eh bien, la semaine s’annonçait longue !


En repartant, je tombai nez à nez avec Karina, les bras chargés de dossiers. Je voulus la soulager d’une partie de son fardeau, mais, d’un regard sibérien, elle me stoppa net dans mon élan. Ce seul et unique regard, aussi dissuasif que la perspective d’une ascension himalayenne pour un quinqua asthmatique, me fit oublier subito toutes velléités de rapprochement, à court ou moyen terme.


Dire que les heures passèrent lentement ce lundi-là serait un euphémisme aussi plat que la campagne normande. Par rapport au rush des dernières semaines, j’avais l’impression d’être désœuvré. Autour de moi, mes collègues rangeaient tranquillement leurs dossiers, préparant déjà le projet suivant. L’étude « barrage de la Narbada » était une affaire classée ; tout notre travail irait bientôt s’entasser dans quelques boîtes à archives, au fond d’un local de stockage… avant d’être exhumé en catastrophe, un sombre jour de septembre 2013 !


Il fallait que je fasse quelque chose ! Mais quoi, bon dieu ? Je me sentais piégé, tel le rongeur trop abruti pour trouver la sortie du dédale où on l’aurait balancé de force. La seule solution, c’était réfléchir, réfléchir encore, jusqu’à ce qu’une idée me vienne.


Dans les dernières heures de l’après-midi, cette fameuse idée, étonnamment, finit par germer, comme une pousse improbable au cœur du désert. Mais, de l’idée à sa réalisation, il y avait toute une panoplie d’accrocs possible. J’étais encore loin de pouvoir crier victoire.


ooo000ooo


J’attendis qu’il fasse nuit noire pour mettre mon plan à exécution. Planqué dans ma vieille voiture, une Honda Civic garée à quelques rues de l’immeuble de notre société pour ne pas me faire repérer, je n’en menais pas large. Ce que je m’apprêtais à faire était plutôt risqué et pouvait me coûter ma place, mais je n’avais pas d’autres solutions. Je devais agir rapidement, pour ne pas perdre la possibilité d’accéder aux seuls documents pouvant changer le cours des choses.


Vers vingt-deux heures, je rassemblai ce que je pus de courage et je me pointai devant l’immeuble de verre et d’acier occupé presque en totalité par notre compagnie. Bien que je sois relativement sportif, je n’ai rien d’un agent surentraîné du GIGN ; pas question d’une effraction à la Belmondo ! Dans un élan d’audace quasi inconscient, j’avais subtilisé quelques heures plus tôt le double du passe général dans la guérite de l’agent de sécurité, profitant d’un moment où il était occupé à compter fleurette à la réceptionniste.


D’une main peu assurée, je bataillai avec la serrure, espérant presque m’être trompé de clé pour avoir une bonne raison de déguerpir. Mais, à la quatrième tentative, j’entendis un cliquetis de bon augure et la gâche se libéra, me donnant accès au hall d’accueil. Sitôt dans la place, j’entrai le code pour désactiver l’alarme, puis me dirigeai, un peu nerveux, vers le bureau de Karina.


Je craignais par-dessus tout que le ménage ait déjà été fait sur les serveurs ; pourvu qu’ils n’aient pas tout siphonné vers les disques d’archivages ! J’espérais bien que l’équipe informatique ne dérogerait pas à sa proverbiale nonchalance... Pour la suite, je comptais sur mon intuition et un peu de chance afin de réussir à pénétrer dans le système. C’est en tout cas ce que je voulais croire, un peu comme le gamin partant pour la première fois à la chasse aux œufs de Pâques.


La porte du bureau n’était pas fermée. Allumant ma lampe de poche, j’entrai, repérant rapidement le PC de mon ex-conquête, que je démarrai. Dans le silence pesant de ces lieux déserts, le ronronnement de la bécane avait la discrétion d’une compagnie de majorette un jour de Kermesse… Cela faisait près d’une minute que l’écran éclairait sinistrement la pièce de sa lueur blafarde, quand je me rendis compte que je n’avais même pas pensé à baisser les stores ! Maudissant mon amateurisme, je courus le faire, espérant que personne ne traînait dans les parages. La lumière dans le bureau avait dû être aussi visible que le faisceau guidant les tankers à l’entrée d’un port de marine marchande !


« Bon dieu, si avec tout ça j’me fait pas prendre, c’est que le responsable de la sécurité mérite un bon coup de pied au cul ! » Je sentais mon cœur tambouriner dans mes tempes, répandant ses giclées d’adrénaline dans tout mon organisme. J’étais en sueur, terrorisé à l’idée d’être découvert. Mais personne ne semblait avoir été alerté par mon intrusion. À peine croyable…


Après avoir soufflé un bon coup, je pris place devant la machine. L’accès, bien sûr, en était verrouillé. C’était le moment de voir la pertinence de mon intuition. Je tapai le nom d’utilisateur de Karina. Puis, après une courte hésitation, je rajoutai le mot de passe le plus probable auquel j’avais pensé, celui lu subrepticement à la dernière page de son carnet noir. Je priai pour que ce soit bien « Antartica ».


C’était bien ça ! Les portes de sa session de travail s’ouvrirent devant moi, accompagnées par la charmante musique de Mr. Gates. Yes ! J’y étais. Pour autant, est-ce que les données étaient toujours bien disponibles ? J’allais bientôt le savoir. Eh oui ! J’avais enfin accès à toutes les infos sur les soutènements du barrage. J’enfichai ma clé USB dans le slot idoine et entrepris de tout copier en bloc ; je ferai le tri plus tard.


La barre de progression frisait les cent pour cent au moment où la lumière jaillit dans la pièce. Je restai figé sur place, comme un coléoptère de collection, empalé sur son aiguille par l’entomologiste. Pris sur le fait, juste au moment de repartir avec le butin en poche !


- Tourne toi, que je vois à qui j’ai affaire ! fit une voix bourrue dans mon dos.

- Écoutez, je suis Franck Dumont et je bosse ici…

- Tourne-toi, j’te dis !


Lentement, je fis face au vigile qui venait de me surprendre ; le type avait tout du croisement improbable entre un déménageur et un primate, et il ne rigolait pas du tout. Tout en me tenant en joue avec un pistolet à grenaille, il décrocha son portable et appela le siège de la société de gardiennage. Sur une impulsion subite, j’en profitai pour glisser une main derrière moi, ôtant à tâtons la clef USB, que je laissai tomber dans le tiroir entrouvert du bureau. J’espérais, sans trop y croire, que le vigile n’avait pas repéré mon manège.


- Qu’est-ce que tu planques dans ton dos ? Montre-moi tes pognes ! gueula-t-il, en s’approchant soudain.

- J’ai rien ! Rien du tout ! lui dis-je, tendant mes paumes ouvertes devant moi.


Je reculai, m’appuyant contre le tiroir qui se referma sans bruit. Le vigile me fit mettre à genou devant lui, mains à plat sur le sol, en attendant l’arrivée des flics. J’étais sous le choc et plutôt effrayé par les conséquences de mon geste.


ooo000ooo


Il était un peu plus d’une heure du matin quand le patron de la boîte arriva au commissariat de quartier, où l’on m’avait conduit. Un des flics de service me fit alors sortir de la cellule d’isolement, où l’on m’avait flanqué après avoir pris ma déposition. Je me faisais tout petit, tandis que le big boss me jaugeait, sans rien dire ; mêlée à la colère, il y avait une lueur d’incompréhension dans son regard. Heureusement pour moi, il n’avait pas l’intention de porter plainte. Ça ne voulait pas dire que j’étais tiré d’affaire…


Le même policier qui m’avait interrogé un peu plus tôt lui présenta un tas effarant de paperasses à signer, puis on me rendit la liberté. Une fois sur le trottoir, devant le commissariat, le boss me jeta, d’une voix cinglante :


- Dumont, dans mon bureau à huit heures. Et ne soyez pas en retard !


Puis il tourna les talons et me planta là. C’était plutôt mal barré !


Après une nuit aussi courte que la précédente, mais plus difficile encore, je me présentai à huit heures moins cinq devant la secrétaire du patron, une vieille fille rêche et guindée qui annonça mon arrivée par l’intercom, d’une voix monocorde parfaitement dénuée d’émotions.


Mes traits étaient toujours aussi marqués par le manque de sommeil, mais cette fois j’étais rasé de frais et j’avais revêtu un costume trois-pièces. Je devais cependant faire peine à voir ; le visage de la vieille peau reflétait plus la pitié condescendante que la désapprobation. Nous n’échangeâmes pas un mot durant tout le temps que dura l’attente ; elle savait aussi bien que moi pourquoi j’étais là. Je ne me faisais pas d’illusions : avant la fin de la matinée, toute la boîte serait au courant.


La porte d’en face s’ouvrit et le boss passa la tête par l’embrasure ; d’un bref coup de menton, il me signifia d’entrer. Je bafouillai confusément des salutations auxquelles il ne se donna pas la peine de répondre, n’ayant que faire de mes ronds de jambe. En le suivant dans la pièce, j’eus la surprise de voir Karina, installée dans un des sièges face à son imposant bureau. Je m’assis sur le fauteuil à côté d’elle, avec aussi peu d’entrain que s’il s’était agi d’une planche à clous. Elle ne me jeta pas un regard.


- Dumont, j’ai un point à éclaircir avant même qu’on ne parle de votre exploit de cette nuit. Je n’irai pas par quatre chemins : on m’a dit que quelqu’un s’était connecté sur le poste de Karina ce week-end. Vous êtes au courant, n’est-ce pas ?

- Heu… oui, tout à fait, lui répondis-je platement.

- J’espère bien. Karina m’a confirmé que vous étiez tous les deux dans son bureau samedi. Elle m’a aussi raconté tout votre cirque. C’est du délire, Dumont ! Je devrais vous faire virer immédiatement !

- J’en… j’en suis conscient, monsieur le dir…

- Fermez-la, j’ai pas fini ! À présent, je VEUX savoir qui vous a raconté toutes ces conneries !


Bon dieu de bois ! Qu'est-ce que j’allais bien pouvoir lui dire, là ?


Je ne pouvais pas lui parler de ma rencontre avec mon double, c’était impossible. Il aurait cru que je le prenais pour un sombre imbécile, ou bien que j’avais totalement perdu les pédales, ce qui était pire. Comment envisager une seule seconde de confier la conception d’ouvrages d’arts ou de superstructures à un malade mental ? Si je parlais de tout ça, j’étais certain d’être viré ! Je ne pouvais pas courir ce risque.


Et puis, j’imaginais déjà les collègues en train de tourner en dérision mes prétendus talents « parapsychologiques », me prenant pour un affabulateur ou pour un dingue. Je n’oserai plus jamais remettre les pieds dans la boîte, si tant est que je ne me retrouve pas à pointer au chômage !


Il ne me restait donc plus qu’une seule solution, dire exactement ce qu’on attendait de moi. Les mots que j’allais prononcer seraient terribles et peut-être ne sauveraient-ils même pas ma tête, mais je n’avais guère d’autres choix.


- Ahem… eh bien… j’ai inventé toute cette histoire, dans le seul but de séduire Karina. Ensuite, je… je me suis retrouvé pris au piège de mes propres affabulations. Je lui ai alors parlé d’un soi-disant informateur, pour essayer de la convaincre, coassai-je sans oser regarder ma prétendue victime.


Le patron hochait la tête, au fur et à mesure de ma « confession », hésitant entre les deux sentiments qu’elle lui inspirait : l’incrédulité et le dégoût. Je guettais avec appréhension la réaction de Karina. Les yeux rougis par la colère et la honte, les mâchoires soudées, elle faisait un effort surhumain pour endiguer ses émotions. Cependant, elle ne put retenir une larme, qui perla le long de ses cils délicats. Cette larme reflétait le gris du ciel ; puis elle s’étala sur sa joue, comme une dague de cristal, poignardant mon cœur supposé insensible.


Et voilà, je n’étais plus qu’un odieux manipulateur, sans vergogne ni amour-propre ! Bien que gêné d’assister à l’humiliation que subissait Karina, le directeur poursuivit son petit interrogatoire :


- Cela ne m’explique pas votre intrusion de cette nuit. Qu’est-ce que vous foutiez dans son bureau, bon sang ? s’écria-t-il, d’une voix enflée par l’indignation.


« Merde, il ne lâche pas prise facilement ! » Bien qu’au bord de la nausée, il fallait que je continue, que je persiste dans l’ignominie, m’enfonçant encore davantage, afin de rester cohérent avec l’horrible aveu que j’avais été contraint de faire.


- Je cherchais une solution pour arranger les choses entre nous. Pour qu’elle me fasse à nouveau confiance, il fallait qu’elle trouve au moins une erreur sur ce contrefort. Et donc, je… je m’apprêtais à faire une petite modification dans un des fichiers. Je n’avais pas le choix, vous comprenez ?


À ces mots, son front s’empourpra. Comment un « salopard » tel que moi osait faire appel à sa compréhension ? Lui aussi faisait de gros efforts, mais pour contenir sa rage. Sinon, il m’aurait étranglé sur place, je le voyais clairement dans ses yeux.


- Vous êtes infâme, Dumont ! Je ne sais pas ce qui me retient de vous coller mon poing sur la tronche ! hurlait-il à présent à mon endroit.


Je ne répondis pas, de peur qu’il mette sa menace à exécution. Au contraire, j’adoptai une attitude de soumission claire et nette, en baissant piteusement les yeux devant lui. Un geste universel dans les groupes sociaux hiérarchisés que forment toutes les espèces animales évoluées, dont la nôtre ; le signe que le vaincu accepte sa défaite, abdiquant toutes prétentions face au vainqueur. Ce qui a en général l’avantage de calmer l’agressivité du dominant et d’épargner la vie à celui qui vient de se faire mater.


Comme prévu, le boss se reprit un peu, avant de terminer l’entretien d’une phrase cinglante.


- Vous avez commis une faute lourde, Dumont, et vous le savez. Votre attitude est inqualifiable, votre lâcheté m’écœure, vous n’êtes plus digne de faire partie de cette maison. En attendant de décider si je vous vire, vous êtes suspendu pour un mois. Sans salaire.

- Mais...

- Foutez-moi le camp de suite, je ne veux plus vous voir ! éructa-t-il, d’un ton sans appel.


C’est presque en rampant que je sortis de son bureau, la tête sur le point d’éclater, le cœur broyé à l’idée de ce que Karina devait penser de moi. Le remède n’avait-il pas été pire que le mal ? J’en étais presque au point de me le demander…


À Suivre…



 
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   strega   
13/4/2008
 a aimé ce texte 
Bien
Waou... Quelle plongée dans le terriblement banal finalement. Ce Franck, à qui personne ne présageait un quelconque avenir différent du commun des mortels, le voilà prit dans une histoire incroyablement passionante.

J'ai vraiment beaucoup aimé cet épisode, le passage dans le bureau est très bien décrit, simplement mais efficacement. J'ai eu peur avec lui, et je ne te parle même pas du passage où il se fait choper... :)

J'ai vraiment hâte de lire la suite. Si l'épisode précédent était presque obligé (je personifie pardon) de poser un peu le tout, là on est plus que jamais dans l'action.

Sinon, bravo pour la première phrase, j'en rit encore.

Bravo pour l'ensemble d'ailleurs. J'attend la suite !!!

   Menvussa   
25/4/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Là, il a merdé le Dumont... reste à savoir ce que cela va donner.


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