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| plumette
26/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Bien écrit !
ils étaient 2 dans la Porsche ce jour là ou est-ce une invention de l'auteur pour donner un petit peu d'épaisseur à ce récit? ce que j'ai apprécié sur ce sujet qui , à priori, ne m'intéresse pas malgré le mythe: que l'auteur fasse entendre la voix de james Dean juste avant la collision fatale en transcrivant sa griserie de la vitesse. Mais je ne serai pas allée vers ce texte s'il n'avait pas été le seul dans mon espace lecture! |
| Cyrill
26/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un dépoussiérage de légende dans un style – oserai-je ? – percutant, démarrage sur les chapeaux de roues. Et c'est l'américaine qui gagne sur l’allemande, l'allégorie pèse lourd dans le contexte d’après-guerre.
Le récit est on ne peut plus documenté, comme me l’apprennent mes quelques virées sur le net. C’est peut-être même sa seule faiblesse, les références pèsent parfois un peu lourd dans la narration. Cela mis à part c’est incisif, et concis. Il y a une sacrée nervosité dans l’écriture. Mais la fureur de vivre se décline aussi en envolées et débrayages quasi poétiques. Merci pour la lecture, un plaisir ! |
| Donaldo75
26/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai bien aimé cette nouvelle dont le pitch m'est apparu progressivement, sur la base de quelques indices semés ça et là. Et finalement c'est ce réalisme derrière le mythe qui rend le texte décalé, un peu comme dans une scène de cinéma dont disparaitraient tous les enjolivements, le maquillage, les filtres, la décoration en carton pâte, pour ne retenir que les mots, ceux des vrais personnages. Le parti pris stylistique se comprend et colle plutôt bien avec le mode narratif. La lecture en est agréable quand on sait de qui il s'agit au final, un rebel sans cause comme titrait l'un de ses films. Je ne suis pas persuadé que la magie opère de la même manière voire pas du tout quand cette référence est absente de l'esprit du lecteur. C'est un peu comme un "private joke" de Steven Tyler, ça risque de ne faire d'effet que sur des "happy fews" et laisser sur la route le commun des mortels. Paix à son âme.
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| papipoete
8/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Lapsus
Le jour où James Dean est entré dans la légende, en roulant " pour voir " ce que sa nouvelle lubie, pouvait provoquer comme sensations...mais une priorité à droite grillée, ne lui laissa pas l'occasion d'en parler. NB du début à la fin du récit, le cadre est dressé avec la ligne de cette fameuse Porsche 550 spider, et son bruit de moteur qui jusqu'à nos jours fait toujours retourner, le quidam sur son passage. On se dirige un peu vrombissant, vers le funeste carrefour, mais ça devrait aller jusqu'au circuit, où là on va ouvrir en grand... boum ! Je trouve le dénouement de l'histoire, particulièrement bien amené ; - jeté comme un lourd galet dans une flaque du temps ( excellent ! ) |
| Lapsus
16/10/2025
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Remerciements et commentaires ici ; http://www.oniris.be/forum/a-propos-de-little-bastard-t32651s0.html#forumpost484516
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| Charivari
17/10/2025
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Salut Lapsus.
J'ai vraiment apprécié le style, on est dans l'ambiance cliquante avec de vraies formules, qui percutent vraiment, parce que chargé de sens. On y est tout à fait, "on the road again"... Je retiens "écrasante monotonie, oh cette soif de vitesse !", vraiment evocateur. En plus j'apprends quelque chose sur la mort de James Dean, parce que je croyais qu'il s'était suicidé. bonne continuation |




