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Poésie libre
Alcyon : Les baisers scellés se descellent
 Publié le 08/04/17  -  6 commentaires  -  523 caractères  -  165 lectures    Autres textes du même auteur


Les baisers scellés se descellent



Les baisers scellés se descellent
Les mains nouées se dénouent
La flamme dans les yeux s’éteint
Le chemin se remplit de cailloux

Hier encore
il menait pourtant vers un pays
où le temps abouti
s’allumait d’un sourire

Les mains solitaires
fouillent à nouveau les poches
Les souvenirs cognent dans la tête
comme un bélier

Nous bâtissons tous
dans le secret de nos cœurs
et de nos rêves ensablés
des châteaux avec des pierres blessées


 
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   Brume   
19/3/2017
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour

La première strophe est selon moi très faible de par ses images pas très recherchées suivi d'une grande banalité: "La flamme dans les yeux s'eteint", "Le chemin se remplit de cailloux".

Je ne ressens aucune émotion à la lecture de votre poème. Cela est dû au fait que je ne le trouve pas très abouti, chaque vers, chaque strophes manquent de développement.

Exemple dans la 2nde strophe quel était ce temps abouti qui s'allumait d'un sourire? Qui avait-il d'extraordinaire?

Et la 3eme strophe, que sont ces souvenirs qui cognent dans la tête?

Au niveau du rythme je n'ai rien à reprocher, c'est fluide, musical. Il y a une belle tonalité.

   papipoete   
19/3/2017
 a aimé ce texte 
Bien
libre
L'amour nait d'un pacte scellé dans la première pierre, qui hélas un jour se fêlera .
NB les 3 premières strophes sont le reflet du chemin de la vie à deux, mais le dernier vers " plombe " le poème qui laisse alors penser que l'amour s'édifie sur un mur branlant .
J'aurais laissé entendre que " cela peut s'écrouler " après un divorce, un décès ?
papipoète

   troupi   
20/3/2017
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Le dernier quatrain mériterait à lui seul un prix de désenchantement à supposer qu'il existe. Il se suffit d'ailleurs à lui-même en tant que micro poème. Les trois quatrains qui précèdent ne servent qu'à le présenter. Dans l'ensemble j'ai assez aimé.

   silvieta   
22/3/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Un poème lisible et relativement compréhensible qui gagne à être relu car il dit assez finement les illusions perdues.

J'ai particulièrement apprécié la beauté des images ensablées de la dernière strophe et me demande si elle n'a pas emprunté son inspiration à ma nouvelle, cet aspect me rend cette strophe d'autant plus attrayante tout en me faisant un peu regimber. De plus le style y est encore plus magique que dans les strophes précédentes. C'est pour les tournures de phrases de cette strophe (une réussite ) que je hausse mon appréciation.

   Anonyme   
8/4/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Il est des amours qui durent, d'autres qui trébuchent ou qui séteignent , pour des raisons diverses.
Le sujet est traité ici sobrement, mais je n'y ai pas ressenti d'émotion véritable.
Le premier quatrain ne m'a pa séduit.

Par contre je trouve le dernier intéressant.

   Anonyme   
9/4/2017
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
Je commencerai par souligner cette strophe aux mots percutants :

" Nous bâtissons tous
dans le secret de nos cœurs
et de nos rêves ensablés
des châteaux avec des pierres blessées"

Comme c'est magistralement dit, des mots simples mais époustouflants, criants de vérité. Ils éveillent pleinement des émotions.

Je me suis plu à vous lire bien attentivement trouvant au fil de mes lectures, un ressenti troublant révèle l'émotion de ce qui nous fait et nous défait sans ménagement.

Bien décrit dans ce phrasé :

"La flamme dans les yeux s'éteint
Le chemin se remplit de cailloux"

Puis là encore :

" Les mains solitaires
fouillent à nouveau les poches
Les souvenirs cognent dans la tête
comme un bélier "

Le bruit obsédant des souvenirs, harcèle et martèle avec puissance, sans répit, par ce "bélier" essayant d'enfoncer la porte que l'on cherche à tenir fermer, pour mieux les ignorer.

J'ai beaucoup aimé le fond, les mots bien rythmés, bien posés font oublier le même manque de ponctuation.


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