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Poésie contemporaine
Alfin : La conversion [concours]
 Publié le 21/12/19  -  9 commentaires  -  2278 caractères  -  139 lectures    Autres textes du même auteur

« Tant qu’il murmure encore. »
(Jules Supervielle, Le Forçat innocent, 1930)


La conversion [concours]



Ce texte est une participation au concours n°28 : Un vide vertical... de toutes les couleurs
(informations sur ce concours).





Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videUn vide vertical emplit mes souvenirs.
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videLe bel arbre couché pleurait jusqu’à la lie
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videson saoul en mélange de peur et de folie,
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videabandonnant l'espoir et son dernier soupir.

Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videL'oiseau trop querelleur s'envole pour couvrir,
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videloin du grand érable, son horizon de vie,
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videune hêtraie entaille, forêt mélancolie
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videqui jamais en son chef ne pourrait convenir.

Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videLa culpabilité dans mes pensées rougeoie
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videLa tristesse m'étreint, l'évidence me foudroie :
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videl'arbre est un gardien, un foyer ressourçant.

Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videPardonnez ma faute, seuls me restent les pleurs
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videpour brûler ma hache. Mon esprit renaissant
Ce texte est une participation au concours n°28 : Un videva couvrir le monde de toutes les couleurs.


 
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   Lebarde   
6/12/2019
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Je me perds un peu dans le sujet et ses images métaphoriques pompeuses et je reconnais une poésie certaine qui rend la lecture assez plaisante pourtant je ne m’étendrais pas sur le fond qui ne m’accroche pas. Peut être faudrait il que j’y consacre plus de temps et d'attention.
Ce sonnet est présenté en néo-classique et beaucoup trop d’erreurs l’en éloignent:
- pas de majuscules en tête de certains vers?
- vers bancals autour des dodécasyllabes ( v7, v10, v11)
- césures à l’hémistiche incertaines, E non élidés .
- h aspiré non pris en compte « une hêtraie »,
- rlme souvenirs/soupir.

Par ailleurs quelques lourdeurs gênantes : « ma hache », «  monde de « et répétition : couvrir

Appréciation d’ensemble mitigée de ma part, désolé.
En EL

   papipoete   
21/12/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
bonjour concurrent ( e )
Il était là devant moi, dressé fièrement depuis combien de lustres, le bel arbre qui gît au sol, alors que me prend un remord ! Je comprends que cet érable était un des gardiens de la forêt...
NB le thème est un peu abordé, mais le récit m'apparait confus ! Un bûcheron d'aujourd'hui, s'épancherait-il face à son ouvrage mené à bien ?
Sûr que coupé à la hache, un tel travail doit remonter...loin dans le temps !
à la rigueur, un amoureux des oiseaux, se rendant compte qu'il vient d'abattre le perchoir où s'accrochait un nid ( habité ), pourrait verser quelques larmes ?
le 7e vers semble mesurer 13 pieds
le 10e idem
le 11e mesure 11 pieds

   Davide   
21/12/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour,

Cette petite histoire sous forme de sonnet aurait pu être magnifique si l'écriture avait épousé la fluidité de l'évocation. Ici, trop de heurts dans l'écriture - qui plus est dans un sonnet ! - rendent difficile la compréhension du drame qui se joue et entachent le lyrisme immanent.

Dans le détail :
- je ne comprends pas l'usage du passé dans la première strophe et du présent dans les suivantes ;
- "son horizon de vie" est-il un complément circonstanciel de lieu (ce que je crois bien) ou le COD du verbe "couvrir" ? ;
- l'image de "l'hêtraie entaille" est plutôt bien trouvée, mais sa fonction dans la phrase reste floue (j'imagine qu'il s'agit du COD du verbe "couvrir") ;
- je n'ai pas compris le sens du vers 8, avec ce "en son chef".

Malgré la syntaxe cahoteuse, les tercets donnent une belle ampleur au propos : la culpabilisation du narrateur, qui prend conscience de la malveillance son geste, nous offre de bien belles images :

"l'évidence me foudroie"
"seuls me restent les pleurs / pour brûler ma hache"

Cependant, cette tentative de contrition (renaissance idéelle) arrive comme un cheveu sur la soupe :

"Mon esprit renaissant / va couvrir le monde de toutes les couleurs."

Le verbe "couvrir", bel écho au vers 5, est une image pourtant curieuse, dont je comprends l'intention (= panser, soigner, reboisement métaphorique), mais que j'ai bien du mal à me représenter : comment son esprit peut-il couvrir/panser la forêt ?

Le titre est né - sans doute - de la métamorphose qui s'opère dans la conscience du narrateur, un changement de regard. C'est habile, mais j'aurais aimé quelque chose de plus racoleur qu'un mot comme celui-ci, froid et polysémique.

Au fait, pourquoi cette mise en page ?

Pour conclure, l'idée me plaît particulièrement, mais son exposé me déçoit : l'écriture tortueuse (en certains endroits) et les images parfois absconses enlèvent beaucoup de son charme à cette élégie.

   Anonyme   
22/12/2019
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour,

Je ne suis pas très sensible à ce poème.
Le titre n'est pas vraiment attirant.
L'exergue, de Jules Supervielle, comble cette première impression (liée au titre).
Ensuite le poème en lui-même avec les rimes A.B.B.A présentes dans les deux premiers quatrains et la rime "Ant" ne sont pas à mes yeux de bons atouts pour entraîner le lecteur.
L'enjambement entre les vers deux et trois n'est pas trop "top", manque de naturel, il me semble.
Si l'idée de ce narrateur se repentant d'avoir couper un arbre est claire, je ne la trouve pas très bien mise en valeur.
D'autre part, le dernier hexasyllabe, imposé par la consigne paraît surfait, seulement pour répondre à cette consigne. (alors que l'on imaginerait plutôt la seule couleur verte, pour effacer la faute)
"Les pleurs" qui "brûleraient" ne m'ont pas non plus vraiment convaincue.

Bonne continuation,
Éclaircie

   Vincente   
22/12/2019
 a aimé ce texte 
Pas
Le "vide vertical emplit mes souvenirs", de cette "information", le lecteur attend du narrateur quelque éclaircissement. L'on devine que l'expression imagée va nous dévoiler plus qu'une poésie au flou artistique… Mais je n'ai rien vu qui m'aide à saisir le propos, je suis passé à côté de l'intention poétique. Je pourrais presque dire que je n'ai rien compris, est-ce qu'il me manque une prédisposition qui aurait pu combler ces blancs qui m'apparaissent ça et là (je n'identifie pas le "bel arbre" du début, sauf peut-être en une figure tutélaire ; De même pour "l'oiseau querelleur", est-ce l'enfant… de l'arbre…? ; Quelle est cette faute dans le dernier tercet ? une faute originelle, pour l'appréhender et s'en émouvoir, ne faut-il pas l'apercevoir ??)

Ce "vide vertical" s'ouvre sur un vide insaisissable pour moi. Désolé, mais il reste un "murmure" que peut-être le poème complet de Supervielle éclairerait ; mais alors dans ce cas, pourquoi ne pas l'avoir placé entier dans l'exergue ?

   LylianR   
22/12/2019
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Je pense que l'on dit : Pleurer "tout" son saoul.

Le groupe "en mélange de peur et de folie" est lourd. Il faudrait reformuler le vers pour plus de clarté.

La deuxième strophe a un sens plutôt obscur à cause d'une syntaxe très approximative.

"une hêtraie entaille, forêt mélancolie
qui jamais en son chef ne pourrait convenir." (?)

Le troisième tercet est plus fluide.

Le dernier tercet, assez maladroit, éclaire le lecteur à propos du narrateur : on suppose que c'est un bûcheron ou quelqu'un qui a des remords d'avoir coupé cet arbre.

Globalement, le style est haché et la poésie fait défaut.

   plumette   
24/12/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
Poète bûcheron pris de remord?

Je n'ai pas été emportée, l'utilisation des temps m'a posé un problème.
l'essentiel du poème est au présent tandis que le premier vers évoque les souvenirs du narrateur.

Les rimes en oie sont rares sans doute parce qu'elles ne sont pas très faciles à employer.

et je ne savais pas que les pleurs peuvent brûler !

   Donaldo75   
26/12/2019
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour,

J'ai trouvé du sens à ce poème qui respecte intelligemment les contraintes du concours. Je dirais même que ce sens a influencé ma lecture plus que ne le devrait un commentateur impartial - mais ceci est de la pure théorie car nous sommes avant tout des humains et non des robots dénués d'émotions - et qu'il a relevé ce poème dont la forme est réussie.

Bonne chance pour ce concours.

   Lariviere   
29/12/2019
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour,

J'ai bien aimé sur le fond, l'axe de traitement ; cette culpabilité de l’homme (ou de la femme) conscient de sa bêtise et de son ambivalence... ca me parait être une belle parabole de l’humanité actuelle (surtout en ces périodes de sapins et de magie de noël...), au minimum.

Sur la forme, je trouve malheureusement que c'est un peu confus sur le rendu, et un peu inégal entre les strophes. Je pense particulièrement à la strophe 2 qui rend confus le propos et la poésie (par ses tournures et son choix d'expression). Les enjambements sont parfois difficile (vers 2-3 par ex).

J'ai bien aimé en revanche, la strophe finale pour sa force d'évocation, même si je ne suis pas convaincu là encore par l''enjambement v13-14, un peu raide, un poil trop à mon idée, sans en comprendre réellement l'utilité (même si effectivement il y a l’image de la hache...), à mes yeux et oreilles...

"Pardonnez ma faute, seuls me restent les pleurs
pour brûler ma hache. Mon esprit renaissant
va couvrir le monde de toutes les couleurs."

Mais l'impact est présent sur ce final ^^

Merci pour cette lecture, bonne continuation à l'auteur et bonne chance pour le concours !


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