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Poésie néo-classique
Ariumette : Interlude
 Publié le 14/01/08  -  4 commentaires  -  582 caractères  -  53 lectures    Autres textes du même auteur

Lorsque l'on est né en automne...


Interlude



J'aime la douce pluie qui tombe
Sur la courbure de ton cou
Je n'aime pas le soleil qui plombe
Les beaux jours qu'on a chez nous

J'aime le mois de septembre
Qui me rappelle d'où je viens
Je n'aime pas le soleil qui tremble
Peureux de ses lendemains

J'aime aux doigts tes engelures
Qui font frissonner ma peau
Je n'aime pas le soleil, l'azur
Rendant tes mains abricot

J'aime par dessus tout l'hiver
Quand blottie tout contre toi
J'vois pas le soleil qui réveille
La sève des arbres en berne


 
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   nico84   
14/1/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↓
J'aime davantage les deux derniers quatrains, qui ont un rythme et une sonorité que j'aime que les deux premiers quatrains qui ne me disent rien du tout de particulier.

Je comprends l'intention, mais peut être que ces deux vers moins personnels, moins vivants, peut être, j'ai l'impression qui font "décor" alors que les deux autres rendent compte de sensation, de personnes, qui m'attirent et me parlent davantage.

Je suis un peu flou mais je ne m'explique pas encore trés bien cette différence de jugement, la poésie est parfois belle et moins belle sans que l'on ne sache précisément pourquoi.

Bravo pour cette création.

   Anonyme   
16/1/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Pour ma part j'aime une musicalité toute simple qui exprime les choses de la vie.

   jensairien   
17/1/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
un poème très sensible je trouve
"rendant tes mains abricot" est, je trouve dissonant. Pour moi
il y a une syllabe en trop

   Lunastrelle   
24/1/2010
 a aimé ce texte 
Pas ↑
J'ai eu du mal avec les deux premiers quatrains aussi, je saisis aussi ce que tu as voulu faire, malheureusement... Je trouve les mots trop "simples", et le mot plombe par exemple me gêne, au niveau de la sonorité du poème...

Le troisième quatrain j'ai du mal avec le troisième vers, je m'explique: tout au long du poème il n'y a aucune ponctuation, sauf ici, et ça me perturbe un peu... ^^.

Au niveau du rythme les pieds ne sont pas réguliers partout, c'est peut-être aussi pour cela que j'ai du mal à saisir la musicalité que tu as voulu adopter... Je compte, j'essaye de trouver une logique, dans la disposition des vers, pour le nombre de pieds...

Je retiens quand même de jolies images, comme "mains abricot", "la sève des arbres en berne"...

Cordialement


Justine


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