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Poésie néo-classique
beran : Quand la femme devint femme
 Publié le 24/12/07  -  2 commentaires  -  741 caractères  -  35 lectures    Autres textes du même auteur

On est juste différentes dans un sens... C'est celui qui nous mûrit quand un homme nous sourit...

(PS : La splendeur qui les poursuit)
(NB : Des mœurs aux conflits)


Quand la femme devint femme



Elle reçut du tout puissant
La force du néant.
Elle obtint de son charme
Une promesse de liberté.
Elle puisa de la lune
La grandeur de son âme.

Elle fut tête et cœur
Aux pieds de son seigneur.
Elle paya pour son dû
De sa propre chair.
Elle s'endormit repue
D'amour et de haine.

Elle courut à la guerre
Aux cris de douleur.
Elle conçut du calvaire
Une enfant de la peur.
Elle apprit que de rien
Naît l'essence du bien.

Ce fut la guerrière,
Qui de sa chair,
Engendra l'enfant
Sortie du néant
Et qui, brisant ses chaînes,
Se proclama reine
Le long des courants
Qui se vêtirent de son sang.


 
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   Anonyme   
24/12/2007
Sur la forme pas grand chose, si ce n'est que le dernier vers ne respecte pas l'alternance des "ELLE" ... du désir !

Sur le fond, je trouvé plus provocateur de dire que si dieu existe alors il est au moins féminin sinon plus !

   Anonyme   
30/12/2007
 a aimé ce texte 
Bien
La forme si maîtrisée c'est pas mon truc et je me garderai donc d'en dire quoi que ce soit. En revanche, il y a ce que je ressens : je ressens la magie de ce poème, comme un tournoiement...


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