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Poésie libre
Vincent : La passion
 Publié le 18/07/18  -  18 commentaires  -  744 caractères  -  328 lectures    Autres textes du même auteur

Elle souffle.


La passion



Emportant la raison
jaillissant dans ton âme

elle souffle sur tes mots
s’envolant au lointain

l'orage en ton jardin
balaye les images

et tu ressens ta vie
basculer sur le fil

dans tes veines de feu
les échos se propagent

battant à l'unisson
du choc qui se poursuit

par instants quelque calme
se pose à ta fenêtre

et l'oiselet s'ébroue
devant tes yeux charmés

alors ton cœur aimant
s’attendrit un instant

puis l'éclair déchire
le voile anthracite

la musique s’emballe
et tu te sens vidé

tu n'es que ce pantin tout désarticulé


Le 27-6-2018


 
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   Anonyme   
2/7/2018
 a aimé ce texte 
Pas
Première chose: pourquoi laisser la date? Elle fait partie du texte ou c'est une coquille?

Sinon, j'ai trouvé ça très moyen. C'est bateau, déjà vu et lu, souvent en mieux ailleurs. Ce n'est pa mal écrit, c'est déjà un atout, et il faut s'en servir pour la suite. Mais il faut faire attention à éviter tous ces clichés que je trouve ici: l'oiselet, la musique, la vie qui bascule etc...
La poésie pour être agréable doit sortir des sentiers battus, évoquer des choses, non pas nouvelles, mais autrement. Ou du moins avec force.
Bon courage.

   BlaseSaintLuc   
3/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
C'est un assez beau poème , et qui parle (peut-être) des maux dont soufre le sujet, mais c'est assez brumeux pour que l'on ne devine pas de quel mal il s'agisse , parle t'on de la passion dont c'est le titre ? D'un handicap ? De la folie ? Je n'arrive pas à recoller les vers de ce poème et son titre, quoique le parallèle soit possible, il n'est point évident.
C'est que j'ai du mal à voir la passion derrière certaine phrase, d'où mon trouble.

"l'orage en ton jardin
balaye les images" > l'orage ok , mais balaye les images ?

"puis l'éclair déchire
le voile anthracite" > on parle de passion ou de jalousie ?

dommage la passion se mélange avec d'autres impressions , sans faire la différence .

   Anonyme   
7/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Bonjour,

J'avoue n'avoir bien apprécié que le dernier vers, j'aime beaucoup l'évocation du pantin surtout désarticulé.

Pour l'ensemble du poème, je me suis demandé pourquoi cette mise en page, quel intérêt à cette suite de deux vers ?
ils engendrent pour moi, plus la monotonie plutôt que d'entraîner une progression logique de l'idée.
Les mots de transition :et, alors, puis, sont un peu trop voyants à mes yeux.

En faisant abstraction de la mise en page, le texte prend beaucoup plus de sens et d'intérêt.
Cette passion dévorante dévore par vagues irrégulières pour finir par "désarticuler" le pantin.

Un bon texte par trop bien mis en forme.

Bonne continuation
Éclaircie

   Provencao   
7/7/2018
 a aimé ce texte 
Bien ↑
J'ai bien aimé cette poésie libre oú vous nous invitez dans l'intrigue de l’expérience de l’amour passionnel, avec son caractère lumineux: "tes veines de feu
les échos se propagent"en une étrange fascination et attraction qu’elle suscite malgré son dénouement. Un seul jour, un unique instant est suffisant pour justifier toute une vie. Elle semble être une expérience extrême, produisant des lueurs de transcendance, des scintillements de sens et de plénitude où apparaît la magie et où la vie prend un sens, ne serait-ce que pour un instant....: " Par instant quelque calme
se pose à ta fenêtre

et l'oiselet s'ébroue
devant tes yeux charmés

alors ton cœur aimant
s’attendrit un instant".

Au plasir de vous lire
Cordialement

   papipoete   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
bonjour bipol
la passion fait parti de toi et ça bout, ça jaillit ! un instant, alors que le calme te prend, on entend même un oiseau chanter ... et puis ça repart !
Nb comme des haïku sans le 3e vers, ces paroles fusent sur le papier d'un " pantin tout désarticulé "

   Robot   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
au début, La passion s'exprime avec des mots qui la porte comme l'indique "emportant la raison"ou "l'orage balaye les images" et encore "Les échos dans tes veines de feu". Puis petit à petit la passion qui s'apaise laisse après la fougue un pantin désarticulé.

Je regrette l'adoption du diptyque pour la mise en forme. Il me semble que le regroupement en quatrains aurait eu une certaine logique.

Mais je ne boude pas mon plaisir à la lecture de ce très beau poème.

   Donaldo75   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour bipol,

Je trouve que ce poème a du rythme, du souffle, de l'allant, et que la forme libre lui convient bien.

Que dire de plus ?

Bravo !

Don

   Vanessa   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour,
J'aime beaucoup la présentation que vous nous faites de la passion.
On en lit souvent uniquement les excès, ceux qui font de celui qui la vit, ce pantin désarticulé.
Vous, vous avez intégré une pause qui nous rappelle l'essentiel : la passion, c'est de l'Amour et l'Amour c'est beau et ça fait du bien.
J'aime aussi le rythme que vous avez choisi dans la forme.
Des vers associés deux par deux, un rythme monocorde qui m'a fait penser que l'auteur que vous êtes a écrit ce texte après réflexion sur le sujet et pas dans l'émotion irraisonnée.
Félicitations et merci pour ce beau texte.

   Gabrielle   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Dans ce poème, l'auteur(e) nous propose de vivre la passion en symbiose avec le ressenti décrit.

Le lecteur se laisse porter.

Très bel exercice.

Au plaisir de vous lire.



G. Michel

   Anonyme   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Des images justes pour traduire ce remue-ménage que provoque la passion, quel qu'en soit l'objet d'ailleurs.

" Emportant la raison " c'est, à mon avis, son impact premier.
" elle souffle ".
" l'orage en ton jardin ".
Avec des moments d'apaisement " par instants quelque calme
se pose à ta fenêtre ".

La chute est fort bien trouvée " et tu te sens vidé
tu n'es que ce pantin tout désarticulé ".

   Vincent   
18/7/2018

   leni   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Passionnément
bipol
où est passé mon commentaire
Je le réécrit
Ce poème est un réunon de ressentis Qui demande de la réflection
Et de la nuance
Le poèmeest lancé
Emportant la raison
jaillissant dans ton âme

elle souffle sur tes mots
s’envolant au lointain



J4aime ta finale parfaitement adaptée BRAVO et Salut Amical LENI
Le reste du poème est basé sur lemême princie SUGGERER plutùot QUDIRE

J'ai beaucoup Apprécié

   lucilius   
18/7/2018
 a aimé ce texte 
Pas
Même si l'écriture n'est pas désagréable, cette suite de 2 vers très simplistes, accumule les clichés. Les introductions par "et, dans, par, et, alors, puis…", les accumulations du participe présent "emportant, jaillissant, s'envolant, battant, aimant…" en si peu de vers, ne valorisent pas l'ensemble. Dans une chanson peut-être ! Et encore !

   jude-anne   
19/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bipol,
J'ai aimé votre poème.
Ce "tu" que vous vous adressez pourrait tout aussi bien s'adresser à mon époux, rongé par un mal dont le nom sonne comme votre pseudo.
La construction de votre texte est merveilleusement bien travaillée et mûrement réfléchie.
Chaque distique ou alexandrin scindé en deux représente bien de quelle manière cette maladie sépare en 2 la vie des personnes qui en sont atteinte.
et cette succession de 11 distiques qui semble interminable ressemble à s'y méprendre aux vagues des courbes de l'humeur.
Pour finir par s'échouer en un alexandrin : "Tu n'est que ce pantin tout désarticulé" c'est fort et tellement vrai.
Le travail, la réflexion et la pudeur de vos mots prouve bien que vous n'avez pas écrit ce texte sous l'emprise de ce que vous appelez si poétiquement "passion".
encore un fois bravo.

   Amandine-L   
21/7/2018
 a aimé ce texte 
Bien
J’ai passé un bon moment de lecture. La forme m’a plu, avec elle, je suis entrée dans l’univers de vos mots et j’ai perçue la passion que rien ne régule. Pour moi, être passionné est plutôt un état positif, qui permet de se sentir vraiment vivant, créatif. La passion, dans votre poème, semble plus forte et dévastatrice ; « déchire », « s’emballe » pour au final n’être qu’un « pantin ». Je préfère la passion qui nourrit plutôt que celle qui « vide » néanmoins votre texte m’a touchée et est pour moi comme un écho poétique d’un vécu intense.

   Jocelyn   
24/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Perso j'ai vraiment aimé le texte. Les mots transportent le ressenti qu'ils communiquent. a un moment en lisant, je n'avais plus besoin de comprendre les mots. je me contentais juste de me laisser guider par la couleur et ça a pour moi été un très bon voyage. merci beaucoup !

   INGOA   
25/7/2018
 a aimé ce texte 
Pas
J'aurais davantage vu ce texte en chanson qu'en poésie libre, étant donné qu'aucune règle de prosodie n'y apparaît. Ensuite, il me semble plus correct de dire jaillit de au lieu de jaillit dans (l'eau jaillit de la fontaine, de la source, le sang jaillit de la veine, cette foule d'où jaillit la haine…). Certaines tournures me paraissent un peu ampoulées(l'orage en ton jardin...).
Le titre ne me paraît pas le plus approprié et l'usage abusif de l'adjectif possessif (ton âme, tes mot, ton jardin, ta vie, tes veines, ta fenêtre, ton cœur) dans un texte aussi court me dérange pour en apprécier la teneur.

   Ombhre   
26/8/2018
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Bonjour Bipol,

un avis mitigé sur ce texte. La décomposition, qui m'a semblée arbitraire, en 11 strophes de deux vers pénalise plus pour moi l'idée qu'elle ne l'avantage. Un découpage plus "libre" m'aurait semblé plus adapté>>
Quelques images que j'ai trouvé faciles, ou dans lesquelles je ne suis pas rentré:
"dans tes veines de feu
les échos se propagent" le feu est trop souvent associé à la passion pour que cette image y apporte quelque chose.
ou:
"et l'oiselet s'ébroue
devant tes yeux charmés

alors ton cœur aimant
s’attendrit un instant" un côté un peu mièvre pour parler de passion.

J'ai par contrer adoré:
"l'orage en ton jardin
balaye les images

et tu ressens ta vie
basculer sur le fil"

La chute, excellente, sauve pour moi ce poème. Sobre, juste, elle résume tout en quelques mots:
"la musique s’emballe
et tu te sens vidé

tu n'es que ce pantin tout désarticulé".

Merci pour le partage.


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