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embellie
17/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Une poésie « contemporaine » d’accord, mais cet adjectif n’impose pas, je crois, que l’on supprime toute ponctuation. Un pavé de vingt vers avec trois virgules et un seul point d’interrogation au milieu, ce n’est pas très agréable à lire. C’est comme manger une soupe sans sel. On ne m’en voudra pas, j’espère, si je vais jusqu’à dire que c’est inélégant, un petit manque de courtoisie envers les lecteurs, car la ponctuation est très importante pour aider à la compréhension d’un texte.
Cela dit, je trouve ce poème très riche de sens, je l’ai très bien compris malgré tout (l’incipit me paraît inutile) grâce à des métaphores bien choisies, et j’en ai apprécié les images poétiques. Un détail : « Une beauté cachée dans le tableau d’une nuit étoilée » est-ce un clin d’œil à la célèbre toile de Van Gogh, ou un hasard d’écriture ? Pour le titre, Inanité, je l’approuve, en partie. Comment ne pas penser que « tout est vain » quand on a le moral dans ses chaussettes ? Mais dès que l’espoir renaît, youpi, la vie est belle ! Merci à l'auteur(e). |
Lebarde
23/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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"Inanité" sans doute, mais qui évoque plaisamment avec une belle poésie, le vide, celui de l'été qui se termine, pourquoi pas, d'une nature qui se fane, d'un amour qui meurt, d'une mort qui s'annonce, des souvenirs qui s'estompent.
Une ambiance à coup sûr, qui aurait pu être mieux mise en valeur par une présentation plus aérée, une ponctuation plus présente ( un seul ?) une attention plus soignée sur la forme et les rimes. J'ai lu sans déplaisir. Merci En EL |
Donaldo75
25/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai bien aimé ce poème de par sa tonalité. J'avoue que l'exergue me semblait afficher une certaine ambition en termes de thèmes à traiter mais je n'ai pas essayé de réconcilier l'ensemble avec la liste proposée. Non, je me suis laissé aller à la lecture, donnant libre cours à mon interprétation spontanée. Pour cette raison et des milliers d'autres, je ne m'essaie pas à une analyse de texte ou un commentaire composé et studieux au profit d'une appréciation de la forme qui donne à la lecture un vrai ton.
Merci pour le partage. Don |
Boutet
5/10/2025
trouve l'écriture
perfectible
et
aime beaucoup
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Une belle réflexion sur l'hiver. Dommage que la ponctuation manque à pas mal d'endroit, notamment les virgules. Ce qui rend la lecture un peu hachée.
Mais l'ensemble est de bonne facture. |
Provencao
5/10/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Bodelere,
"À écouter souvent la voix des érudits Parler d’amour comme ils parlent de la science L’immaculé blanc à l’odeur purifiante Sublime l’âme que je croyais défiante Que cette chair molle retienne de mes pas Le souvenir fondu d’un passage à trépas" J'ai beaucoup aimé ce passage où cet" immaculé blanc" n'est pas l'éclat qu'il s'agit de pressentir mais la force de cette poéticité. Belle émotion dans cette voie de la poéticité, au creux de l'art de la poésie et de son altérité. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
papipoete
7/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour Bodelere
Quel dommage que cette présentation, sous une seule et unique strophe, rendant difficile la lecture ! Mais bon, la poésie est bien là, où les lignes se parent d'un blanc immaculé, mais montrant une nature morne sous son unique couleur. " Sous ce linceul blanchi, l'enfer serait souffrance ? - que n'ai-je point vécu le meilleur de la vie... Sur cette terre, ce grand jardin où je ne vois plus rien, y'aurait-il au-delà ce qui me manque ? NB même si plus rien sur Terre, ne vaut d'être vécu, ( à voir ) le Royaume de Satan ne me fait pas rêver ; en principe on devrait y rencontrer, tous ceux qui en bas firent le mal, de loin ou de près... Ceci est mon interprétation, à lire votre texte fort étonnamment disposé. techniquement, je ne sais si ce poème fut présenté en " contemporain ", ou s'il fut retenu sous cette forme alors qu'il put friser le néo-classique, édit ce jour pour correction sous mon com |
Cyrill
5/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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J’ai apprécié ce poème dès la première lecture, orale, du fait de l’effet d’essoufflement que la parcimonie de ponctuation induit, accentué encore par la présentation d’un seul tenant. Il semble avoir été écrit d'un seul jet, fulgurant et sans rature.
«Pas la moindre haleine» en effet. J’ai l’impression d’une recherche de sens incessante et jamais comblée, toujours échouant, et d’espoirs se heurtant à la réalité du temps qui file et ne laissant que pinottes. Les quelques interrogations rendent cette quête d’idéal poignante. Une quête mystique dont l’échec est sublimé tout de même par des images fortes, le champ lexical de l’hiver à l’honneur pour en signifier et souligner l’ « Inanité ». un texte à la limite de la cohérence, qui brouille les repères rationnels de la logique, mais n’est-ce pas le lot de celui qui cherche sans relâche la raison de son être ? |
Robot
5/10/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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L'absence de ponctuation gêne la diction car on a l'impression qu'il faut s'arrêter à chaque fin de vers comme si chacun portait une idée unique, alors que s'y on y prête attention on s'aperçoit que le sens s'enchaîne parfois d'un vers à l'autre. La ponctuation fait partie du sens. et les rares ponctuations interrogatives sont plus ou moins adéquates.
Par exemple, j'ai tendance à lire ces trois vers enchaînés: "Est-il un bel espoir ? celui d’une beauté Cachée dans le tableau d’une nuit étoilée Pour que je sois comblé devant tant d’évidences." Dommage car le fond mérite qu'on s'y accroche ! |
Bodelere
5/10/2025
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A2L9
5/10/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Je lis toujours un poème sans chercher à comprendre dans un premier temps, sa musique et je relis quatre cinq fois pour le visualiser.
Un maillage dont seule l'araignée en comprend l'utilité et ce vide et pourtant des scènes de vie avec le soleil et aujourd'hui la nuit, ce sentiment d'être prisonnier d'une planète et le nombre d'or est forcément quelque part et ce nombre n'a rien des facultés car il est la faculté de chacun. Un poème s'en va en quête. |