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| Provencao
5/9/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Bodelere,
J'ai beaucoup aimé ce vide amer, ce deuil de l'esprit...et ce remède des maux qui n'accepte pas uniquement de guerir cette souffrance, de tergiverser, de feinter avec les maux , pour en émousser la croyance et l'émotion que nous en avons. Un formidable devoir de conscience. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
| Laurent-Paul
5/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour,
j'ai bien aimé votre poème, musical et mélancolique comme j'aime. Cependant, je trouve certaines formulations alambiquées ou convenues (amour éternel qui jamais ne trépasse par exemple) ou étrange : "chaire lasse" (chair ou chaire ?). Bref, je pense que votre texte mériterait sans doute d'être retravaillé, élagué, pour être plus abouti, plus simple à appréhender afin qu'il soit encore plus percutant et musical, comme cette formule que j'apprécie beaucoup : "Embue le saint miroir puis le reflet s'efface". |
| Boutet
7/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime beaucoup
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Dommage que ces 3 thèmes : Naïveté, désillusion et sagesse ne soient pas divisés en 3 strophes, mais bon c'est le choix de l'auteur. Celà ne m'empêche pas d'apprécier le fond de ce petit poème, finalement empli de sagesse et d'optimisme en toute fin.
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| papipoete
8/9/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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bonjour Bodelere
Ah, mes jours heureux ! Si j'avais su que la vie se chargerait, jour après jour, de s'assoir dessus et sauter de joie...et le beau tableau idyllique se transforme en un affreux cloaque, lorsque le Diable dépêche sur Terre tyrans, amants, salauds de toute espèce. On peut faire fi de tout cela, et le prendre comme un signe du Très Haut, se sentir comme Jackie Kennedy, appelée en quelques sorte ; mais tout cela est une autre histoire ! NB " hélas ! la vérité...et me blessent, est le passage que je préfère ! mais les dernières lignes me laissent dubitatif. |
| Vadim
8/9/2025
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Bodelere
L'incipit nous accueille déjà plein d'esprit, invite à la lecture. Il est joli bravo. L'on commence à l'enfance "De mes jours heureux où le monde m'était doux", je vois ça comme ça, mais un enfant peu naïf, car le "ruisseau" lui paraissait déjà "tarissable". Le cheminement vers cette sagesse est semé d'embuches ; dur dur hein ? Le Poète y laisse des plumes mais il atteint la pureté, le "moi" profond. Je sais pas trop quoi dire, je trouve ce poème musical, avare en envolées dirais-je, et pourtant déclenchant chez moi une émotion vive, un texte bien ponctué par ailleurs, bref, une merveille à mes yeux. Un vrai coup de coeur pour moi. Belle soirée à vous. Au plaisir. |
| Bodelere
18/9/2025
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Precision sur le mot "chaire" évoqué par Laurent-Paul
http://mobile.oniris.be/forum/le-saint-miroir-t32604s0.html |
| Cyrill
28/9/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Bodelere.
La force du poème tient surtout à sa présentation serrée qui ne permet pas de respiration. Ni de choix au locuteur, semble-t-il, qui regarde son existence passée et celle à venir comme imprimées par des forces supérieures à l’œuvre. L’acceptation de la destinée, des souffrances traversées au cours de la quête d’une vie, est totale dans la mesure où elle apporte un supplément de sagesse. Le « saint miroir » permet un regard tourné à la fois vers l’intérieur et le révolu. La mélancolie se dissout dans le tain pour atteindre à une sorte de disposition extatique. Un bémol cependant : je regrette fort l’explication de texte en exergue, qui serait mieux venue je pense en discussion sur publication. Vous mettez le lecteur sur des rails d’interprétation, au lieu de le laisser libre de sa lecture. Merci pour le partage. |




