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Poésie contemporaine
Cox : Promenade cosmique
 Publié le 02/08/14  -  14 commentaires  -  2919 caractères  -  161 lectures    Autres textes du même auteur

Poème en quatrains et alexandrins.


Promenade cosmique



À l’heure délicate où la Lune amoureuse
Caresse doucement des ombres improbables,
Tissant son entrelacs de lumières joueuses,
Il contemplait le ciel et ses lueurs de sable

Assis à sa fenêtre sous les mille yeux de glace,
Il vit soudain frémir ce grand rêve d’azur
Comme une vague immense emplissant tout l’espace
Qui engloutit le Monde en son écume obscure.

Les cieux, comme percés d’un chagrin inconnu,
Laissaient fondre, furieux, leurs flots fantasmatiques
Vers l’étroite mansarde et ses pauvres murs nus,
Sitôt pulvérisés dans l’élan frénétique.

Il fut alors saisi par l’étau de vapeur
Qui vint l’envelopper de feux pourpres et noirs
Qui dansaient tout autour de globes enchanteurs
Crépitant d’Infini, de mystère et d’Histoire.

Il glissait sans effort sur des gouffres sublimes
Bercé de vents astraux et d’extase mystique,
Perdu dans les splendeurs d’inaccessibles cimes,
Enivré des visions de secrets fantastiques.

Suivant la course ailée de comètes d’argent,
Il plongea en plein cœur de vastes nébuleuses
Dont les flux opiacés qu’il buvait en nageant
Vinrent emplir son corps et son âme rêveuse.

Ses veines bouillonnaient du parfum d’absolu
Et du feu rugissant de mille soleils bleus
Que charriait le chaos de son sang dissolu,
Chargé du souffle lourd des astres fabuleux.

Ce grondement furieux vint enfler ses entrailles
Jusqu’à les éclater, comme on ouvre les yeux.
Son esprit délivré glissa par cette faille
Pour se mêler enfin au cœur du Merveilleux.

D’Aldébaran la rouge à l’alme Bételgeuse
Il vogua doucement dans ces flots oniriques.
Il vit l’Aigle et Orion, constellations brumeuses,
Vibrant à l’unisson du grand rythme cosmique.

Il arriva enfin au cœur noir palpitant,
Cimetière absolu où se tord la lumière,
Où l’Infini se meurt quand il a fait son temps,
Ô crevasse sans fond emplie d’obscurs mystères.

Alors le voyageur s’engouffra sans attendre
Dans la suprême porte aux lueurs de ténèbres
Délaissant à jamais le vieux monde de cendres
L’ayant depuis toujours bercé d’ennui funèbre.

Et comme il s’absorbait dans le gouffre insondable,
De formidables voix ne cessaient de frémir
Et faisaient craquer l’air de noms imprononçables
Qui évoquaient le son d’une âme qu’on déchire.

Il s’abîma encor dans ce chaos parfait,
Bercé de ces espoirs qui dépassent l’humain ;
Contempler la Beauté, percer chaque secret
Et s’en aller crever l’œil borgne du Divin.

Quant aux Rêves sans nom qu’il contempla là-bas,
Croyez-vous que ces vers sauraient vous les décrire ?
Mais regardez la Lune en ses premiers ébats,
Et peut-être les cieux viendront vous Les offrir…


 
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   margueritec   
11/7/2014
 a aimé ce texte 
Passionnément
Dans un premier temps, j'ai été rebutée par la longueur de votre poème. J'aime les textes courts, voire très courts.

MAIS

Quelle envolée cosmique !!!! J'adhère et je vous suis.

J'ai été bouleversée par vos images dès la première strophe ("le ciel et ses lueurs de sable ", " engloutit le Monde en son écume obscure.", "Les cieux, comme percés d’un chagrin inconnu,"). Je ne peux pas tout citer car chaque strophe loge de vrais petits bijoux fort ouvragés.

Quelle puissance pour exprimer un voyage onirique à la conquête de la Beauté, de l'absolu, pour chanter la toute puissance du poète voyageur, du poète initié :

- Bercé de ces espoirs qui dépassent l’humain ;
- Contempler la Beauté, percer chaque secret
- Et s’en aller crever l’œil borgne du Divin. (trop beau)

Vous nous laissez même quelque espoir dans votre strophe finale qui magnifiquement rejoint la première strophe : vous nous invitez, comme le "il" de la première strophe, à contempler la Lune amoureuse. Le poète est celui qui sait décrypter dans la lune et l’espace l'essence de l'univers.

Bravo et merci pour cette belle promenade intiatique.

   Lulu   
16/7/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup
"Et peut-être les cieux viendront [nous] les offrir"... Oui, on peut le penser, pourquoi pas ? La Lune inspire et inspirera encore beaucoup d'êtres humains, que l'on soit poète ou non.
Cela dit, votre poème nous permet de voir déjà nombre de ces "Rêves" conjugués aux propres représentations que nous avons ou que nous avons appris sur le cosmos. Les images sont belles, superbes. J'aime particulièrement l'image des "mille soleils bleus".

Je salue le travail effectué sur ces quatrains. Si composer des quatrains n'est pas difficile, le faire en alexandrins est une autre affaire. Alors, bravo.

Je reprends, ici, le quatrain que je préfère :

"Suivant la course ailée de comètes d’argent,
Il plongea en plein cœur de vastes nébuleuses
Dont les flux opiacés qu’il buvait en nageant
Vinrent emplir son corps et son âme rêveuse."

Sublime...

   Miguel   
21/7/2014
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Ce poème a pour effet de nous faire trouver l'infini un peu grand. Certains vers n'y manquent pas de force, mais la promenade est longuette. Comme ce qui est décrit ici n'est familier pour personne, la part d'imagination qu'on y trouve aboutit parfois à de la confusion, à de l'abstraction peu convaincante. Le verbe "éclater" est intransitif, et ne peut être employé comme il l'est dans "jusqu'à les éclater". Un oeil ne saurait être borgne, et l'on se demande, puisque sans doute c'est ce qu'il faut comprendre, pourquoi le Divin le serait. Il y a du talent cependant, qui manque un peu de maîtrise, et ce talent se révèle, par exemple, dans ce "chaos parfait", vraie trouvaille.

   leni   
2/8/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
bonjour Cox
Je vais t'étonner mai ton texte pourrait être un tableau de Salvator Dali Dans le cosmos tu es à l'aise comme dans un parterre d'étoiles
Je n'ai pas ta culture donc je me suis accroché J'aurais bien vu ton texte finir comme il a commencé Ca ferait une boucle comme le cosmos Ceci pour le fond
Pour la forme c'est excellent avec de belles images Je ne peux tout citer

Ses veines bouillonnaient du parfum d’absolu
Et du feu rugissant de mille soleils bleus
Que charriait le chaos de son sang dissolu,
Chargé du souffle lourd des astres fabuleux.


Et surtout


Il arriva enfin au cœur noir palpitant,
Cimetière absolu où se tord la lumière,
Où l’Infini se meurt quand il a fait son temps,
Ô crevasse sans fond emplie d’obscurs mystères.



Un bel ouvrage Bravo Salut amical Leni

   Robot   
2/8/2014
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Un long voyage jusqu'à l'ultime frontière qui finalement nous ramène à la lune. Un message peut être pour nous dire: Pourquoi aller si loin quand vous avez votre bonheur prés de vous ? Voilà pour ce que m'inspire le texte.
Poème parsemé de belles images...
"À l’heure délicate où la Lune amoureuse
Caresse doucement des ombres improbables,"
...mais aussi de lieux communs inévitables sur un texte d'une telle longueur.
"Vers l’étroite mansarde et ses pauvres murs nus,"
Et de métaphores parfois obscures:
"...globes enchanteurs
Crépitant d’Infini, de mystère et d’Histoire."

Je relèverai ce vers désagréable à la prononciation:
"Assis à sa fenêtre sous les mille yeux de glace,"

Mais une promenade en boucle intéressante.

   Arielle   
2/8/2014
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Cette promenade cosmique ne pouvait pas mieux tomber qu'en ces "nuits des étoiles" qui devraient nous offrir leur pluie annuelle d'étoiles filantes ...
Le ciel de ce mois d'août "Crépitant d’Infini, de mystère et d’Histoire" m'incite à vous suivre dans ce long poème qui nous fait faire quelques pas dans l'immensité de l'univers

"D’Aldébaran la rouge à l’alme Bételgeuse
Il vogua doucement dans ces flots oniriques.
Il vit l’Aigle et Orion, constellations brumeuses,
Vibrant à l’unisson du grand rythme cosmique".

Moi, j'ai bien aimé, je ne saurais expliquer pourquoi "aller crever l’œil borgne du Divin." mais les mille yeux de glace m'ont un peu écorché la langue.

L'ensemble est grandiose mais reste cependant très humain, peut-être à cause de la présence si familière de la Lune à laquelle on retourne après s'être égaré dans l'infini.

   Anonyme   
2/8/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bonjour Cox,

L’appel à une promenade romantique sous la lune amoureuse tient ses promesses. Volupté et images superbes battent le tempo tout le long du chemin.

J’ai succombé dès cette strophe : « Il contemplait le ciel et ses lueurs de sable », pour toutes les images qui se sont mises à vibrer tendrement.

J’admire le travail qui ne se laisse pas voir sous tes rimes enchanteresses.

« Assise sous ma fenêtre » je suis entrée de plain pied dans « le grand rêve d’azur » pour « glisser sur des gouffres sublimes ». J’ai humé « le parfum d’absolu » et beaucoup aimé la rencontre.

Merci de m’avoir conviée à cette belle balade. Le partage a été très agréable.

Cat
Voulant croire aux offrandes des cieux

   Anonyme   
3/8/2014
Bonjour Cox

Votre promenade cosmique, que j'ai faite à plusieurs reprises, me rappelle celle du "Bateau ivre" d'Arthur Rimbaud
Elle nous entraîne aussi sur des "flots fantasmatiques" même s'ils sont d'une autre dimension

On y retrouve la fascination des grands espaces

"Il glissait sans effort sur des gouffres sublimes
Bercé de vents astraux et d’extase mystique,
Perdu dans les splendeurs d’inaccessibles cimes,
Enivré des visions de secrets fantastiques."

Vous promenez le lecteur

"D’Aldébaran la rouge à l’alme Bételgeuse
Il vogua doucement dans ces flots oniriques."

Vous avez tous les ingrédients d'un poème de haut niveau. Mais aussi quelques passages de moindre intérêt qu'il convient d'élaguer.
La longueur de votre poème le permet largement.

Le dernier quatrain par exemple. Plus généralement tout ce qui ramène le lecteur sur terre et procède du commentaire au détriment du voyage.

Merci Cox pour cette balade cosmique qui laisse en espérer d'autres

   Purana   
4/8/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
J'ai beaucoup apprécié cette promenade cosmique, si bien décrite que je ne peux qu'être certaine que vous avez vraiment vécu ces moments magiques "assis à sa fenêtre" et que tout à coup vous avez éprouvé ce "soudain frémir de ce grand rêve d’azur".

Les vers nous prennent par la main pour nous conduire vers la destination sublime où une épreuve cosmique nous attend.
En vous lisant, je m'imagine allongée dans la nuit sur mon toit terrasse, regardant le ciel. Au-dessus, la Voie Lactée, à droite la lune et à gauche la Grande Ourse, les Sept Frères, comme les appelait ma grand-mère. Et le plus beau, mes planètes préférées : Jupiter et Mars…
... Et on y va… une "promenade cosmique" splendide !

J'ai particulièrement apprécié l'oxymore "lueurs de ténèbres".
Dans la strophe 10, j'ai été subjuguée par votre magnifique évocation du "trou noir" :

Il arriva enfin au cœur noir palpitant,
Cimetière absolu où se tord la lumière,
Où l’Infini se meurt quand il a fait son temps,
Ô crevasse sans fond emplie d’obscurs mystères.

Très beau texte qui se lit et se fait comprendre sans effort apparent.
C'est comme si les vers vous étaient tombés du ciel et que tout ce que vous auriez à faire, serait de les mettre par écrit.

Mille bravos pour ce poème qui chante si bien !

Purana

   Cox   
5/8/2014
J'avais oublié d'indiquer le lien vers les remerciements; erreur réparée :

http://www.oniris.be/forum/merci-pour-votre-promenade-dans-les-etoiles-t19311s0.html#forumpost252581

   Anonyme   
8/8/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Une belle promenade cosmique menée de main de maître avec une science évidente de la composition poétique et une utilisation intelligente des termes qui ouvrent des horizons immense à l'imagination, repose le questionnement de l'infiniment grand et proportionnellement de notre inanité. Le thème de la recherche de l'infiniment beau, de l'oméga inconcevable qui ne saurait être dévisagé que par l'épreuve initiatique du trépas prend une dimension mystique qui pose son empreinte sur tout le poème. Je ne regrette qu'une chose : le Il que aimé voir remplacé par un Je.
Merci pour ce très beau moment

   Anonyme   
12/8/2014
Ces vers démontrent une vrai facilité, un sens affirmé de la métaphore et de la formule tout cela dans un souffle que l'on serait tenté d'appeler épique. Cela dit, cette promenade cosmique me donne aussi une sensation de déjà vu ou plutôt de déjà dit. Ne prenez pas en mal ce que je vais vous dire, mais il me semble que d'une certaines manière vous avez choisi la facilité en évoquant le décor de cette randonnée cosmique propice à l'usage des épithètes à effet qui ne décrivent ni n'évoquent mais révèle non pas votre impossibilité à dire, mais votre renoncement à faire les frais d'une description fut-elle totalement imaginée. Je m'explique, car je vous entend grommeler et si ce n'est pas le cas vous devriez car il y a dans ce texte une vraie recherche et un beau travail... Je m'explique donc :

Première strophe, plutôt gracieuse, l'usage de l'adjectif "improbable" n'apporte rien à votre évocation. Le mot "improbable" est typique du faux vocable poétique destiné à produire un effet qu'il ne mérite manifestement pas. Très utile, quand on n'en pas d'autre à portée de clavier, c'est l'archétype des mots sans personnalité qui se donnent des airs.

La deuxième strophe à connotation hugolienne.ne manque pas de classe, mais elle me semble un tantinet trop clinquante avec son "M" majuscule.

Dans la troisième strophe c'est le festival des épithètes ronflants : inconnu, furieux, fantasmatique, frénétique. C'est trop, au théâtre, on dirait que c'est surjoué, ce d'autant que chacun de ces épithètes est faussement signifiant. Fantasmatique, frénétique furieux, termes baudruche ! Je crois que de façon général trop d'épithètes tue la poésie ou en tous cas l'affaiblit.

La quatrième strophe, me paraît métaphoriquement impropre. Expliquez moi ce qu'est un étau de vapeur qui enveloppe de feux pourpres et noirs ! C'est quand même super complexe et glauque comme substance. Ensuite, voici les globes enchanteurs. Mais pourquoi donc sont ils enchanteurs. Le mot enchanteur est pour moi de la même espèce qu'improbables. Allez hop, poubelle... Enfin, pourquoi cette inflation de majuscules dans le dernier vers de cette strophe à l'exception du mot mystère qui mystérieusement en réchappe.

La cinquième strophe offre un concentré de mots et d'expressions convenus : Gouffres sublime, extase mystique, splendeurs d'inaccessibles cimes, secrets fantastiques. S'il vous plaît, pitié, n'en jetez plus! Reprenez chacune de ces expressions et interrogez-vous sincèrement sur leur pertinence poétique. Il n'est aucun des ces adjectifs qui ne soit générique, c'est à dire qui ne relève d'une appréciation générale et grossière de la réalité.

La sixième strophe n'échappe pas à la tendance énoncée dans la précédente : "Le cours ailé des comètes d'argent" s'inscrit dans le registre des expressions les plus classiques pour évoquer une comète dans un commentaire télévisuel. Quant à l'âme, bien sûr elle ne peut être que rêveuse. je soustrait à ma critique "le flux opiacé des vaste nébuleuses qu'il buvait en nageant ", belle formule.

Dans les strophes suivantes, nous n'éviterons pas des formules soeurs qui sont en fait des redits métaphoriques : Le "grondement furieux" de la huitième strophe répond au "cieux... furieux" de la deuxième. Les "gouffres sublimes" de la cinquième strophe sont devenus "gouffre insondable" dans la douzième. Quant au Mystère, il n'a toujours pas de majuscule, mais il a pros du galon en devenant... "obscur " (dixième strophe).

Oui, je sens que vous me maudissez. Me ferai-je pardonner en vous proclamant ma sincérité dévoué, tant il est vrai que je discerne dans votre travail, quelque part, comme l'on dit, une verve poétique qui s'exprimera véritablement quand vous aurez jeté aux ortie toute cette panoplie emphatique et ronflante qui contrairement à ce que vous croyez, loin de l'enrichir assèche votre poésie. Je vous y invite cordialement, bannissez tous ces épithètes superflus qui font semblant d'être beaux mais qui en réalité sont des escrocs et vous trahissent.

Bien cordialement à vous.

Ps je vous remercie de bien vouloir pardonner les erreurs orthographiques éventuelle, n'étant pas en mesure de relire en raisson d'un important handicap visuel.

   patro   
23/8/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Après avoir lu "l'ode à la médiocrité", j'ai accepté sans difficulté cette évasion cosmique ( malgré les épithètes génériques relevés par Hellian ) vers des mondes à inventer . Des quatrains qui s'enchainent nous entrainent hors de la réalité .
On y révise même son savoir astronomique , les notions sur le temps , les trous noirs et le lieu du big-bang . Assis près de ma mansarde , je suis à l'affût de ma prochaine observation : Orion ou Régulus ? J'espère "mille soleils bleus" pour le contraste avec les géantes rouges .
Je ne suis pas spécialiste de versification et j'ai buté sur quelques mots , mais cela n'atténue pas mon plaisir : mille yeux de glace , de son sang dissolu?(de qui?) , et - jusqu'à les éclater, comme on ouvre les yeux - lu comme ça , je ne comprends pas l'image .
Merci cependant pour ce rêve lunaire.

   Eki   
2/3/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
Le chaos parfait dans le gouffre insondable...pour reprendre vos mots.

Moi, j'aime bien faire ressurgir de l'ombre la lumière...et ça tombe bien car je suis parfaitement dans le thème...
Pas de blabla, j'ai tout emporté dans mon panier de poésie...J'ai pourtant une préférence pour la poésie libre...mais lorsque l'auteur donne la liberté à la poésie de s'envoler...C'est beau aussi !

Le voyage me paraissait un peu long mais je n'y ai vu que des étoiles...parfois, le temps étend ses largesses...


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