Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie contemporaine
farfadet : Motacillidés
 Publié le 31/07/07  -  4 commentaires  -  900 caractères  -  64 lectures    Autres textes du même auteur

Petit bestiaire.


Motacillidés



Le petit pipit farlouse
Au plumage jaune et brun
Est venu jusqu’à Mulhouse
Un beau jour au mois de juin

Et dès le petit matin
Il se mit à chantonner
Un doux et bien gai refrain
Laissant sa queue remuer.

La pipite spioncelle
Perchée sur un cerisier
Avait reposé ses ailes
Afin de se régaler

D’un tout petit rose ver
Qui avait sorti son nez
Et pour faire son dessert
La cerise en entier !

Le pipit de Mulhouse
Avait vu la demoiselle
Se mit à côté en douce
Pour chuchoter à la belle

J’ai un nid dans le fourré
En brindilles et de poils doux
Veux-tu venir t’installer
Je te ferai des bisous….

Et c’est ainsi qu’en Alsace
La cigogne en voyant ça
Un jour leur a mis en place
De p’tits œufs, et tout un tas !!!



 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Cyberalx   
4/8/2007
Tout aussi léger et amusant que "Un chameau au couvent."

   TITEFEE   
19/5/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
chantant, léger, et printanier.. j'aime ce style qui ne parait pas recherché et pourtant nous donne envie de regarder le petit pitpit farlouse et la pitpit pioncelle se faire des mamours

   Anonyme   
2/1/2010
 a aimé ce texte 
Un peu
Bon, je ne savais pas que les cigognes se prenaient parfois pour des coucous, mais c'est agréable et sympa à lire, bien que fort léger. Un poème pour l'école, à la Maurice Carême, pourquoi pas ?

   Anonyme   
26/5/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
C'est tout mignon, tout gentil, sympathique cette petite histoire.

Le fond est fluide, la forme joue avec les rimes féminines/masculines, puis essentiellement masculines, une strophe sur deux, cela donne une certaine musicalité. Je me mets à fredonner cette petite chansonnette qui doucement s'impose.

Une lecture bien agréable, charmante et reposante au milieu de tout ce tumulte de la vie quotidienne.


Oniris Copyright © 2007-2023