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Poésie libre
Gabrielle : Soleil rouge
 Publié le 09/07/18  -  13 commentaires  -  380 caractères  -  323 lectures    Autres textes du même auteur

Face au massacre
Des sacrifiés
Au soleil levant
...


Soleil rouge



Soleil rouge

Fait de larmes

De cœurs sanglants

Rien ne bouge

Des corps gisant

Les yeux ouverts

Et ceux agonisant

La lune fuit

Ce spectacle glaçant

Face au massacre

Des sacrifiés

Au soleil levant

Crient leur misère

Horreur et guerre


 
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Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Anonyme   
25/6/2018
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Les vers sont un peu trop brefs, même si j'aime l'idée. Comme ils sont assez peu rythmés, ils manquent de puissance.
ce qui est dommage c'est que la force évocatrice est irrégulière: assez présente aux vers 1, 5, 7, elle est absente le reste du temps, avec parfois une approche un peu cliché (horreur et guerre, fait de larmes).
Il faudrait je pense travailler plus les images, chercher à aller au-delà des habituelles images propres à ce thème.
Bon courage.

   Curwwod   
29/6/2018
 a aimé ce texte 
Pas
Rien de bien enthousiasment dans ce court texte en vers libres. On ne sait pas de quoi il s'agit effectivement. L'écriture est plate sans veritable émotion, sans images vraiment évocatrices. C'est raté.

   Robot   
30/6/2018
 a aimé ce texte 
Bien ↑
De véritables images produites comme des instantanés m'ont rendu ce texte intéressant à lire. Une poésie à dire dont l'abstraction titille l'imagination.

Je regrette l'absence d'une ponctuation car, tous les vers commençant par une majuscule, on a tendance à les égrener un à un alors que certaines suites de vers ont une logique permettant de les regrouper en strophe.

Par exemple:

Soleil rouge
fait de larmes,
de coeurs sanglants.

Rien ne bouge.

Des corps gisants
les yeux ouverts;
et ceux agonisants.

   Anonyme   
9/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Un tableau récurrent des affres de la guerre.
Une représentation parmi d'autres, sans particularité. C'est ce que je reproche un peu à ce texte : son anonymat.

" La lune fuit

Ce spectacle glaçant " image intéressante.

   papipoete   
9/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
bonjour Gabrielle
Notre Terre et sa vie sur elle, de la verdure, de l'eau et la glace, et du sang qui glace !
On naît, on devient grand tranquillement et par endroit, on souffre, on crie, on saigne sur la verdure et l'on meurt aveuglément !
Ainsi va la vie depuis la nuit des temps, avec ses gentils et ses méchants ; cela ne changera pas, entre un " peintre raté " et un " blond peroxydé " ; quand ils pourront commander au ciel d'assécher ou d'inonder, votre poème trouvera des vers à rajouter, et la vie continuera !
NB bien que vos lignes n'obéissent à aucune contrainte poétique, il faut au lecteur la respiration, l'intonation, et un rythme à donner à votre cri de désolation ; or, sans un minimum ponctué, votre texte est difficile à lire !
J'aurais bien vu des virgules, des points de suspension et d'exclamation !

   Vanessa   
9/7/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour,
Ce texte m'a fait penser au génocide ethnique perpétré en Birmanie contre les Rohingias.
Le soleil levant m'a guidée géographiquement.
Alors, ce texte court, je l'ai reçu comme un cri pour ne pas oublier car aujourd'hui, on n'en parle plus dans les médias.
:-(
Je ne sais pas si votre sujet était ciblé ou non, mais personnellement il m'a touchée profondemment , il m'a un peu réveillée.
Alors pour cela merci.

   Anonyme   
10/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
Bonjour Gabrielle,

Si l'idée me semble très bonne, je trouve que le traitement n'est pas à la hauteur du projet.
La suite de vers courts sans rupture de rythme est assez monotone, quand le sujet est dramatiquement fort.

   LylianR   
12/7/2018
 a aimé ce texte 
Un peu
Le manque de ponctuation n'a pas facilité la compréhension du poème.
Je n'ai pas été réellement sensible au sujet car le massacre que le narrateur évoque, n'est identifié, ni dans le temps, ni dans le lieu.
J'ai apprécié néanmoins ces vers courts qui ajoutent une certaine intensité au drame relaté.
J'ai apprécié également les expressions "soleil rouge" et "la lune fuit". La nature, témoin du spectacle horrible.

   Ombhre   
15/7/2018
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Bonjour Gabrielle,

un poème sur un thème fort, les vers court et hachés renforcent la violence du sujet.
De "belles" images (mais elles sont terribles), comme:
"Soleil rouge
Fait de larmes"
ou
"Des corps gisant
Les yeux ouverts'"

Mais l'absence de strophes ou de ponctuation m'a dérangé, gêné dans ma lecture, et finalement pénalisé l'impact de cet écrit.

Merci pour le partage.
Ombhre

   lucilius   
15/7/2018
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
S'approprier le titre d'un film de Terence Young est déjà pour moi très maladroit. Ensuite ce texte très court, sans ponctuations, sans rythme, ne transmet rien qu'une énumération minimaliste qui ne fait partager ni l'horreur, ni les atrocités d'une guerre vaine.


Je n'attends pas de votre poésie une écriture diamantée mais la transmission, à minima, d'émotions non démonétisées. Or je ne ressens rien. Une prochaine fois, peut-être ! Ne vous découragez pas, mon opinion ne fait pas force de loi.

   Gabrielle   
20/7/2018
Modéré : commentaire de l'auteur sous son texte (si besoin, ouvrir un sujet dans "Discussions sur les récits".

   Provencao   
1/8/2018
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Ce rythme, cette fréquence, ces mots "clac", sans virgule, sans respiration, sans inspiration....c'est peut-être cette poésie simple, décortiquée et sans âme qui me rapproche étrangement à la nausée, mettant en acte l'injustifiable sentiment d'exister, en une indication "criant misère' qui conduit à la mort.

"Ce spectacle glaçant

Face au massacre

Des sacrifiés

Au soleil levant"

J'ai bien aimé cette dissolution dans vos mots, qui se tisse sur fond de risque et de néant.

Au plaisir de vous lire
Cordialement

   Donaldo75   
19/4/2019
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Bonjour Gabrielle,

Après la lecture de ton dernier opus, "tristes vestiges", j'ai eu envie de lire d'autres poèmes de ta plume, parce que ce dernier m'avait interpelé. Et je n'ai pas été déçu avec ce soleil rouge qui résonne encore fort dans mes petits neurones de lecteur assidu. Ce poème est sans concession, ne fait pas de chichis comme j'en lis trop souvent dans du libre par ailleurs, affiche la réalité crue. C'est fort, court mais dense, dérangeant, et courageux, parce que certains lecteurs ont probablement senti l'envie de se déchainer sur cette crudité.

Pas moi, bien au contraire. Il faut appeler un chat un chat, comme disait ma grand-mère, pourtant pas une poétesse moderne.

Bravo !

Donaldo


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