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Poésie contemporaine
hichem : Jalousie
 Publié le 30/05/22  -  8 commentaires  -  360 caractères  -  202 lectures    Autres textes du même auteur

« Le soleil couchant est jaloux de la lune qui se lève. » (Victor Hugo)


Jalousie



Pourquoi tant de soleils
En se couchant le soir
Ont le limbe vermeil
Derrière ces remparts

Ont-ils vu à tes lèvres
Qui s'entrouvrent pour boire
S'effacer les ténèbres
Tous les astres déchoir

Ou encore, en tes yeux
Et paupières, en sommeil
Ciselé à leurs feux,
Dans les cieux, ton regard.


 
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   BlaseSaintLuc   
12/5/2022
 a aimé ce texte 
Bien
Quoi, c'est tout ? Oui, c'est beau, mais c'est flemmard.
Des poncifs, du cirage, c'est du facile, je t'envoie trois rimes qui claquent et hop. C'est s'endormir au clair de lune.
Bon, ça reste propre, mais je resterai dur, pour reprocher le manque.

   Vilmon   
17/5/2022
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Bonjour,
Désolé, je n'arrive pas à faire le lien entre la jalousie et le poème.
Les rimes sont perdues dans le troisième quatrain.
Je ne comprends le sens des vers. Quels remparts ? Lors que le soleil se couche, il n'avale pas les ténèbres, les ténèbres apparaissent avec la nuit. Voir un regard dans des paupières en sommeil (fermées) ?
Désolé, à retravailler pour les rimes et pour mieux organiser les idées ou les images proposées.
Vilmon

   Anonyme   
30/5/2022
Bonjour,

C'est très court et ça rime un peu comme dindon et chapeau de paille et je n'ai pas saisie la corrélation entre le titre et le poème. La première strophe est sympa, la dernière une cata.

Anna

   papipoete   
30/5/2022
 a aimé ce texte 
Pas
bonjour hichem
Une histoire de jalousie entre le soleil et le regard de... à deviner !
NB Le défit d'écrire " court " peut être gageure, pas gagnée d'avance, aussi faut-il être certain que le lecteur décryptera le message !
Ici, j'avoue me trouver devant la " pierre de rosette ", ne m'appelant pas Champolion...

   Miguel   
30/5/2022
On n'écrit pas : "Pourquoi tant de soleils ont le limbe ...", mais "Pourquoi tant de soleils ont-ils le limbe ..." La langue est un outil ; il faut l'utiliser correctement pour qu'elle remplisse sa fonction.
De soleil, je n'en connais qu'un, et je n'ai jamais vu de remparts devant lui. Des métaphores, d'accord ; mais des métaphores explicites. Les ténèbres s'effacent quand les astres déchoient ? Mais je croyais plutôt que les astres étaient des sources de lumière ; avec ce texte, je ne comprends plus rien au cosmos ; ni à la poésie, d'ailleurs.

   Vert-de-Gris   
30/5/2022
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Ah les vers coulent bien il faut l'admettre ! Mais ça me donne légèrement l'impression de me faire avoir :P

Il est vrai que le sens m'échappe. On a pas la fin peut-être ?
Sérieusement, deux trois strophes en plus, et le poème serait dingue je pense.

Au plaisir de te lire de nouveau, parce qu'il est clair qu'il y a une plume derrière tout ça ;)

   Polza   
31/5/2022
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
À la fin de ma lecture, j’ai eu l’impression que ce poème avait été tronqué de sa moitié voire des deux tiers ou trois quarts.

Le premier quatrain me laissait envisager un ensemble (si court soit-il) assez solennel, mais j’ai été quelque peu déçu par le deuxième et troisième. Une sorte de démarrage en fanfare pour qu’au final ça retombe comme un soufflé raté.

« ont-ils vu à tes lèvres Qui s’entrouvent pour boire ». Pour éviter le hiatus, la simplicité aurait parfaitement fonctionné en écrivant non pas « à tes » mais autre chose que je vous laisse le soin de deviner.
Je me suis également dit qu’il devait exister mille et une formules plus poétiques que des lèvres qui s’entrouvent pour boire assez banal je pense.

Dans le dernier quatrain, je n’ai peut-être pas saisi l’idée, mais j’ai eu du mal à m’imaginer avoir vu dans les cieux son regard alors que ses yeux et paupières étaient en sommeil, donc clos (à moins que la personne concernée ne dorme avec les yeux ouverts à la limite).

En retravaillant le texte, je pense qu’il y gagnerait et en sens et en force poétique, il y a matière à en tout cas.

   Anonyme   
31/5/2022
 a aimé ce texte 
Bien
L'auteur doit s'adresser à un barrage, c'est la seule explication pour justifier le texte.
La mélodie est plaisante.


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