| 
	  
	 | 
|     Garance   
		    26/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             J'aimais tant le précédent poème ! 
          Je le reconnais ici et il me reste sympathique, mais comme il est regrettable de l'avoir modifié ! Il parle d'une rupture avec des intonations plus ordinaires. Visuellement, la ponctuation découpe les vers de façon plus convenue. Un poème qui reste bon, mais a perdu en élégance.  | 
        
|     kamel   
		    28/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Un peu ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour …… 
          Cette poésie traduit un passage de la vie ou tout se joue dans le silence. Des traits physiologiques se dressent souvent pour montrer une finalité sillonnée par des rides. Un fond fondé sur la découverte du sens est mis en place, un texte codé par des métaphores donne plus ou moins une opacité à son interprétation. Le charme se perd dans le titre qui manifeste l'instant d'une subjectivité partielle de son auteur. Bonne continuation  | 
        
|     shanne   
		    29/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour, 
          Au bord du Nous...ou la fin de du nous: un passage difficile où le verbal n'a plus sa place, les mots deviennent inutiles ou ne passent plus J'aime bien " l'épilogue de notre histoire, tracée de rides, Pourquoi cette faille dans tes yeux? " pas facile d'exprimer le mot Fin, il ne reste plus que le silence aux creux de nos restes Tes paumes ont oublié le silence- Ta main, une parure sur mon épaule: le toucher n'existe plus Une lecture agréable, merci à vous  | 
        
|     bulle   
		    29/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             J'aime beaucoup l'atmosphère pesante que délivrent ces mots-là, en douceur et délicatesse. 
          J'aime particulièrement ces deux images : "Tes paumes ont oublié les étreintes". "Ta main, une parure sur mon épaule." J'ai eu du mal par contre avec "des mots humains", que j'ai trouvé un peu lourd, mais inconsciemment je les ai détournés en "mots charitables". Le final est bien marqué et appuie l'ensemble De jolies sensations pour ce qui me concerne.  | 
        
|     LEVENARD   
		    29/3/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Un peu ↓ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Désolé, je n'arrive pas à participer à l'émotion de ce narrateur bien trop encombré de grands mots... et de tournures alambiquées... 
          Il manque une sincérité qui justifierait le poème ( auquel cas celui-ci, c'est à peu près certain reviendrait à une plus grande simplicité), on a vraiment le sentiment d'un prétexte à faire "de la phrase". (ex : les mirages d'argile qui hantent la cime de tes nuits... on comprend mieux du les "reflets d'ennui". Je crois qu'il faut reprendre ce texte en s'attachant au sens que les mots peuvent éventuellement avoir.  | 
        
|     ristretto   
		    2/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↓ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             le Nous si fragile  
          en deuxième lecture , je regrette toujours " les mots humains" .. il y en aurait il d'autres ? "tu souris aux mirages d’argile qui hantent la cime de tes nuits." ......;j'aime le silence final , aussi  | 
        
|     Leo   
		    5/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Très belle alternance entre une ponctuation symbolique bien placée et une ponctuation-respiration par l'espace utilisée avec beaucoup de discernement aux bons moments. Le souci de bien ponctuer vous a peut-être amenée à sur-ponctuer en un endroit (la fin du premier vers, cette virgule pouvait se dire en un souffle), mais tout le reste est parfait, et permet une "entrée" dans le poème fluide et entière. 
          Les mots restent superbes, l'intention poétique est claire, et la troisième strophe un oxymore très fort et symbolique entre l'ouverture sur l'âme que forment les yeux et le "mur" qu'ils montrent.  | 
        
|     belaid63   
		    11/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             j'aime ce poème et ce qui en transpire de "tendresse mélancolique". 
          ces deux vers me plaise particulièrement: "derrière le mur de tes yeux avant le pire des aveux !" merci pour cette poésie tendre belaid  | 
        
|     Damy   
		    11/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↓ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             "Le pire des aveux": je ne t'aime plus? ou je vais mourir? 
          Une séparation ou le bout de la vie, la veille de la mort? Ou tout simplement les états de l'âme à la vieillesse... J'ai beaucoup aimé les derniers vers: "Un silence tiède se blottit au creux de nos restes."...encore tiède...presque froid. J'ai apprécié la ponctuation qui se fait de plus en plus rare dans la poésie libre (et c'est dommage). J'ai apprécié aussi l'aération dans la disposition des strophes. Mais la nostalgie, le regret ne m'ont pas pénétré. L'angoisse n'y est pas et c'est tant mieux. L'acceptation stoïque de la fin, celle-là, je l'ai bien ressentie grâce aux deux derniers vers.  | 
        
|     Anonyme   
		    11/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Passionnément 
	
		          
		   | 
          
          
          
             D'une beauté, d'une élégance, d'une vérité, d'une humilité rare. irisdenuit écrit avec une modernité discrète des failles, une usure, elle écrit la vie, sans larmoiement, sans épanchement, le sourire est discret, pas un mot fort, pas de vacarme et c'est ça qui est scandaleux, qui est exceptionnellement scandaleux. Et j'aime qu'un écrit soit scandaleux, qu'il dise "le creux de nos restes". Toutes proportions gardées, ça ressemble délicieusement à la poésie d'Eluard. 
           | 
        
|     Anonyme   
		    11/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             à part: tu cherches des mots humains à dire, qui ne me parle pas trop me renvoie à du non humain du coup (un alien? un chien?euh...) j'ai trouvé ce poème très triste... 
          Les mots sont bien choisis.. (bon y a cet humain, mais bon...) Bonne continuation et merci Iris  | 
        
|     pieralun   
		    11/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour Iris, 
          La fin d'un amour que l'on est incapable de dire....est-ce que c'est cela? Oui certainement! Mais je pense que tu décris un comportement masculin. Si j'étais incapable d'avouer ce qui pourrait faire souffrir, c'est exactement comme cela que je laisserai transpirer mon trouble: - une main en parure sur l'épaule - l'oubli des étreintes - un mur derrière les yeux - les mots dérisoires - et pour finir, le silence tiède Vois-tu, tu mets en évidence la lâcheté des hommes, notre lâcheté, et pour cette analyse aux mots on ne peux plus justes, j'apprécie ton texte.  | 
        
|     Anonyme   
		    11/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonsoir iris ! Un très beau poème sans effets de manche, avec des mots justes, sobres, douloureux et réalistes à la fois. Le regard sans concessions d'une femme face à la fin d'un amour... 
          Vieillesse, maladie, autre raison ? je crois qu'il s'agît ici tout simplement des outrages du temps que certains hommes n'admettent pas ! Peu importe... J'ai beaucoup aimé ces quelques vers que tu nous as offerts avec beaucoup de sensibilité. Merci. Alex  | 
        
|     Anonyme   
		    12/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Je vais retenir, "Ta main, une parure sur mon épaule". 
          Une poésie qui me plaît bien. Un poil de "rythme" en plus peut-être? Agréable.  | 
        
|     Anonyme   
		    12/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             rien que pour : 
          Un silence tiède se blottit au creux de nos restes. il mérite d'être sauvé.  | 
        
|     Lhirondelle   
		    14/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour Iris 
          La première strophe installe le malaise qui demeurera latent tout comme ce questionnement "Pourquoi cette faille dans ta voix ?" qui ne s'exprime pas. Pourtant il y a des questions, des réponses en attente mais rien ne se dit vraiment, tout restera aux rives séparées de ce Nous, juste "Ta main, en parure sur mon épaule"… un pont bien fragile qui mène à ce vers final "Un silence tiède se blottit au creux de nos restes" traduisant bien cet entre-deux qui jalonne tout le poème et laisse au bord du "Nous". Un poème qui ne m'a pas laissée indifférente car il exprime tout en finesse, pour moi, la pire définition d'une relation et tu as su, en quelques vers, définir ce que ce "tiède" pouvait amener de frustrations... "des mots humains" l'expression ne m'a pas choquée, exprimant ainsi le côté « secourable » qu’attendait ce « Nous » pour retrouver de vraies valeurs. Amicalement L’hirondelle  | 
        
|     jaimme   
		    14/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Cette "faille dans la voix". Il y a tant de pourquoi... 
          Comme pour la passion... le couvre-feu de l'amour n'a plus de "mots humains". La poésie offre d'autres langages. Une main sur une épaule en offre un autre. Le silence un autre... Touché. En plein passé. Irisdenuit. Merci de donner des mots.  | 
        
|     Chene   
		    16/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour Iris 
          Toute la déliquescence d'une relation qui s'étiole au fil des jours, des mois, des ans, est présente poétiquement dans ces vers libres. Il y a de la force dans tes mots qui disent la frustration, l'attente de ce qui ne vient plus, de ce qui ne sait plus se dire. Il y a de l'émotion à parler ainsi de la dégénérescence des sentiments qui s'effacent dans "cette faille dans ta voix" et dans l'expression "Un silence tiède se blottit au creux de nos restes". Belle lecture Chene  | 
        
|     wancyrs   
		    19/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             lorsque l'amour s'en va et qu'il faut rompre, on cherche des "mots humains" mais juste le silence nous répond... 
          Merci Iris d'évoquer cet instant transitionnel entre dernier soupir d'amoureux et rupture de relation amoureuse Pas longtemps que je vis au Québec et c'est un phénomène de société, ces couples qui rompent du jour au lendemain, au milieu de l'espoir, et des fois sans explications plausibles.  | 
        
|     Anonyme   
		    24/4/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
		   | 
          
          
          
             ce poème est réaliste et perdurant j'aime bien votre façon de faire valoir ces sentiment qui vous sont propre a vous deux!!! 
           | 
        


 
	

