Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie néo-classique
Jaja : Dernier
 Publié le 28/03/08  -  7 commentaires  -  472 caractères  -  23 lectures    Autres textes du même auteur

Pris sur le vif.


Dernier



Dernier
de la dernière,
de la der des der,
dans l’air printanier,
tu roules
avec dans ton sillage
la foule,
de l’ultime voyage.

Tant de morts plombés,
tombés
au champ funeste,
et toi seul qui reste.

Petit Italien,
tu es le lien
entre les fantômes
de ces hommes,
celui dont les Parques
ont tissé l’avenir :
reposer sous l’Arc
pour garder le souvenir.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Anonyme   
28/3/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Hommage au dernier poilu...

Emotions, pas de violoneries, évident.

Simple et concis, comme d'hab.

   clementine   
28/3/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Court et éloquent, j'aime.

   Scrib   
29/3/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Joli hommage pour celui qui n'en voulait pas ! J'aime beaucoup !

Allez, soldat !

   Anonyme   
30/3/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bel hommage effectivement

Et le ton est sobre
noble
sans fard

   nico84   
30/3/2008
 a aimé ce texte 
Bien
J'ai apprecié aussi, simple, le message est d'autant plus fort par le ton direct et sincére.

Bravo !

   mimich   
1/4/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Tu as eu raison de rendre un hommage au dernier poilu de la guerre de 14/18
Il faudrait évoquer les souffrances de toute une génération de soldats paysans habitués au travail des champs qui ont pu survivre dans des conditions épouvantables en couchant dans la boue des tranchées, dans le froid, sous la mitraille et les obus, sans hygiène, mal nourris, drogués sur décision du commandement... Enfin une horreur! 1500 000 morts et les démobilisés qui sont décédés plus tard après avoir inhalé des gaz asphyxiants( comme mon grand-père maternel) J'en pleurerais!

   Anonyme   
31/12/2016
Il y a eu tant et tant d'écrits, qu'il est bien difficile de se démarquer pour parler de ce qui devait être la "der des der".

J'aurais aimé des mots plus accentués, votre écrit est trop en retrait, il manque de profondeur, je lis mais le ressenti ne se déclenche pas.
Peut-être que le texte est trop court, le sujet ne semble que être effleuré, sans tonalité particulière. Même si le mot "souvenir" a sa raison d'être, il aurait fallu lui donner plus singularité. Vous l'enfermez dans la mémoire, il aurait fallu l'en libérer, aller plus loin vers "le souvenir, d'un avenir".


Oniris Copyright © 2007-2023