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Poésie néo-classique
Jaja : Il a neigé sur Tewksbury
 Publié le 31/10/08  -  5 commentaires  -  360 caractères  -  70 lectures    Autres textes du même auteur

Carnet de voyage.


Il a neigé sur Tewksbury



Il a neigé sur Tewksbury,
nos pas s’effacent
dans le blanc de la poudrerie,
plus une trace.


L’hiver sonne comme un départ
ou un arrêt
dans ces contrées de nulle part
et de forêts.


Rangs oubliés, feuilles flétries,
rive incertaine,
il a neigé sur Tewksbury.
Qu’il t’en souvienne !


 
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   Anonyme   
31/10/2008
 a aimé ce texte 
Bien
Une poésie sonnante et agréable. On voit le blanc de la neige, les traces qui s'effacent et les appels à la mémoire, on les entend. On reste même un peu sur sa faim, on en aimerait un peu plus.

   Anonyme   
2/11/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
Ou comment faire court, simple et réussi.
C'est beau.
Simple et efficace.
Ca tape dans les oreilles avec régularité, comme le craquement de ces feuilles flétries.
Vraiment beau, vraiment fort.
Bravo Jaja !

   Anonyme   
16/11/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Agréable à lire et à entendre.

Mais vraiment court, trop court. Je suis resté sur ma faim.

C'est dommage, j'aimais cette promenade qui se finissait.

   Pluriels1   
25/3/2009
 a aimé ce texte 
Bien
...comme une trace restée!

...des pas éperdus, des infinissables...

Mes Pluriels/soleil.

   Anonyme   
30/12/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Il y a une atmosphère mélancolique qui vous saisit au fil de la lecture, l'effet de la neige, de ce blanc à perte de vue.

C'est court mais cela ne manque pas de profondeur, peu de mots parfois dit beaucoup. Vous suggérez, vous avez ici réussi à donnez de l'ampleur, de l'ouverture à votre écrit.

J'aime particulièrement :

" L'hiver sonne comme un départ
ou un arrêt
dans ces contrées de nulle part
et de forêts "

Ici comme ailleurs, l'hiver nous inspire des impressions diverses.


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