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Poésie contemporaine
krimat1abd : Paiement
 Publié le 06/02/08  -  3 commentaires  -  669 caractères  -  46 lectures    Autres textes du même auteur

La contrepartie est comme la partie en genre.


Paiement



Je n’achèterai ni le premier ni le deuxième
Je n’achèterai ni le second ni le troisième
Je n’achèterai ni l’exotique ni l’amer
Ni les luxes demeures ni les misères
Ces lieux teintent mon âme
Les actes de tous ces hommes et ces femmes
Engendrent un impact important
Essayer de résister c’est vainement
Aurai-je la force nécessaire ?
Pour ne pas se laisser faire
Je ne suis qu’un homme ignorant
Mais je juge ces actes rebutants
Je suis peu sans aucun savoir
Mais je connais les limites de l’obligation et du devoir
Chacun de nous géant ou nain
Payera l’achat de ses propres mains.


 
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   Anonyme   
6/2/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Société de consommation?
Tes textes sont toujours teintés de réalisme,
le message est souvent éloquent...
Pourtant une fois de plus je reste sur ma faim.
De quoi parles-tu dans tes 2 premiers vers?

La vie ne s'achète pas, pas plus que les sentiments...

Et c'est très bien ainsi.

Merci pour cette réflexion ( une fois de plus)

   clementine   
6/2/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Plus reflexion, message que poésie mais le discours accroche c'est sûr.
Quelques maladresses qui à mon avis sont expliquées par le besoin, la volonté de dire.
Oui, quel est le sens des 2 premiers vers?
Tel quel, j'ai apprécié.

   Anonyme   
11/5/2016
 a aimé ce texte 
Bien
Société de consommation, elle finira par nous avoir, si ce n'est pas déjà fait, mais je pense aussi que peu à peu, l'humain essaye de ralentir son envie de consommer, bien sûr il y a encore du chemin à faire étant trop souvent sollicité de partout, surtout avec Internet.

Curieuse entrée en matière avec vos deux premières phrases, elles tentent de vouloir affirmer votre volonté, votre assurance à ne pas être pris dans l'engrenage. Vous résistez .... temporairement.

J'ai un moment buté sur cette phrase "Ni les luxes demeures ni les misères", j'aurais écrit plutôt "Ni les luxueuses demeures ni les misères".
Autre phrase qui m'a posé problème "Je suis peu sans aucun savoir".

Texte valable, mais qui aurait besoin d'être un peu retravaillé pour en facilité la compréhension.


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