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Poésie en prose
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 23)
 Publié le 05/09/07  -  5 commentaires  -  489 caractères  -  90 lectures    Autres textes du même auteur

Fragment


Fragment du crépuscule (morceau 23)



Nous appréhendons la vie parce que nous avons peur du vertige...

Fascinés et aveuglés par les promesses brûlantes des oracles, nous essayons de réduire l'écart du terre à terre entre nous et le soleil...

Caresse.

Équerres de mots entre présage et impression...


Outre monde,

Le poète est un bâtard merveilleux qui a une seule mère : la vérité.
Et qui a plusieurs pères, au gré des ports d’attaches et des inspirations…


 
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   daphlanote   
9/9/2007
Du bon, joli.
J'ai aimé, pour les quelques secondes qu'il m'a fallut pour le lire.

Mais un goût de trop peu.

"Équerres de mots entre présage et impression".
Ca et les deux dernières lignes. A creuser.

   Pat   
19/12/2007

   strega   
28/4/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Oui, pour le coup, je suis assez d'accord avec daphlanote, c'est presque trop court, même si tu en dit énormément. C'est dommage, pour l'amour de qui tu voudras, ne sois pas hermétique...

En revanche, j'ai beaucoup pensé à la "Perte d'auréole" encore et encore. Ce besoin impérial que le poète a d'être dans le vrai, dans tous les sens du terme. LE vrai des sentiments, de la vie, des hommes, de ce qui l'entoure. Et non pas de s'enfermer dans cette tour d'ivoire qui le met bien à l'abri de tout.

En fait, c'est peut-être ça l'hermétisme finalement, se couper de tout...

"Fascinés et aveuglés par les promesses brûlantes des oracles, nous essayons de réduire l'écart du terre à terre entre nous et le soleil..." J'ai un faible pour le fond du fond de ces vers. Même si c'est indissociable du reste...

En ce qui concerne le premier vers, c'est bien révélateur, et tellement honnête aussi. Nous sommes tous dans la même galère, ou barque selon les cas, et toi Larivière, tu rame à notre place. Tout ça sans jamais juger ou commander, c'est vraiment très fort...

   jaimme   
10/10/2009
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Ou nous n'aimons pas la vie parce qu'elle n'offre pas assez de vertige... C'est selon.

J'aime la dernière phrase. Pas l'avant-dernière. Le mot "vérité" me révulse.

Là encore j'aime moins.

   Anonyme   
2/7/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup
12/4/2009


ici c'est dans le choix des mots que le poème est bien réussi.

Je note ce caresse qui se promène seul... et l'outre monde...
Equerres de mots entre présage et impression...

J'aime la première phrase. qui résume à elle seule toute l'essence de l'Homme avec un grand H.

étonnant comme c'est la première fois que je suis dérangée par le nous... j'aurais voulu un je peut-être? Oui. Pour que ça soit plus Icarien. Que tu... enfin non les fragments sont de nous pas de tu... alors je me tais.

Contrairement à Daph, j'aime moins les deux dernières phrases, un rien euh... comment l'exprimer... un rien facile dans l'ensemble, un rien plus détaché (enfin c'est mon ressenti) pas incongru mais déjà trop "généralisé" pour que ça me touche.
J'aurais aimé une autre métaphore... tant pis pour moi.
Mais j'aime beaucoup... malgré elles.
Es


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