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|     Pat   
		    19/12/2007 
	
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|     strega   
		    22/1/2008 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup ↑ 
	
		          
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             Et si "l'or du temps" c'était l'hors du temps? Une "âme errante" bretoniène n'est-ce pas? 
          Larivière et son monde, une bulle... SON monde...? Le notre en fait. Ne cherchons pas bien loin s'il vous plais ce qui fait l'esseniel. Les éléments, l'histoire, le désert immuable et loin d'être immobile. Le soleil chaud et loin d'être chaleureux. J'aime cette suspension dans ce Fragment, cette manière de dire qu'il n'est en rien inconcevable de considérer la simplicité comme toute puissante. Bien entendu, simplicité, est dans son sens noble. Comment ne pas ressentir la "Sensation du futile"...? Il vient un point dans l'histoire de l'Homme où il n'a plus le besoin de chercher l'improbable. Larivière je suis admiratrice par tant de sagesse. Je serai curieuse de connaître ton âge mais préfère imaginer que la sagesse n'attend pas le nombre des années. Qu'on me laisse ainsi de l'espoir...  | 
        
|     FredericBruls   
		    3/5/2009 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
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             Un poème lapidaire, net, simple et beau. 
           | 
        
|     jaimme   
		    21/10/2009 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien ↑ 
	
		          
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             Lors, du temps, là, il y en a. 
          Et le rêve passe toujours par un "admettons". Oui.  | 
        
|     Anonyme   
		    2/7/2010 
		
		 a aimé ce texte  
	Beaucoup 
	
		          
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             23/4/2009 
          oui... difficile de commenter un texte aussi court et aussi concis. Tout est dit, rien n'est dit, c'est évident et puis c'est impensable (consciemment dans notre société et gnagnagna ^^) ... Par contre, on en parlait : ça c'est de l'engagement comme j'aime. J'aime les références et ma petite correspondance personnelle à un sablier géant. Oui, décidément je suis fan ^^ Es  | 
        
|     David   
		    12/2/2011 
		
		 a aimé ce texte  
	Bien 
	
		          
		   | 
          
          
          
             Bonjour Larivière, 
          Un "or du temps" pour un "hors du temps", c'est ce que j'ai envie de lire, c'est ce que m'évoquerait le désert, d'après ce que j'ai pu lire à ce sujet-là, un paysage dénué de repère comme le sont les chiffres sur le cadran d'une horloge. Je relève les aspects élémentaire du poème aussi, le vent, puis le feu des rayons du soleil. Il y a bien un repère en fait dans un désert, c'est bien sûr le rond brûlant, comme celui de "Or", le Râ d'Égypte, le soleil. L'Égypte et admettre, c'était d'actualité ce soir, et ça n'a pas attendu 2500 ans... Je rame pour comprendre l'allusion à Breton, cet auteur n'est pas assez mort pour être lu à la volée mais j'ai vu que "l'or du temps" est l'épitaphe de sa tombe, la dixième ligne de l'introduction au "discours sur le peu de réalité"...  | 
        


 


