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Poésie en prose
Lariviere : Fragment du crépuscule (morceau 26)
 Publié le 25/09/07  -  6 commentaires  -  342 caractères  -  103 lectures    Autres textes du même auteur

Fragment


Fragment du crépuscule (morceau 26)



Égypte ou Atlas. 2500 ans avant Jésus Christ. Sensation du futile. Le vent. À creuser…
Et trouver l’or du temps si cher à Breton.

L’or du temps, le désert en est rempli. Admettons que c’est du sable jaune et admettons que c’est brûlant, chauffé par le soleil…
Admettons que l’or du temps, c’est ça. Tout simplement.


 
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   Pat   
19/12/2007

   strega   
22/1/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Et si "l'or du temps" c'était l'hors du temps? Une "âme errante" bretoniène n'est-ce pas?

Larivière et son monde, une bulle... SON monde...? Le notre en fait. Ne cherchons pas bien loin s'il vous plais ce qui fait l'esseniel.

Les éléments, l'histoire, le désert immuable et loin d'être immobile. Le soleil chaud et loin d'être chaleureux.

J'aime cette suspension dans ce Fragment, cette manière de dire qu'il n'est en rien inconcevable de considérer la simplicité comme toute puissante. Bien entendu, simplicité, est dans son sens noble.

Comment ne pas ressentir la "Sensation du futile"...?

Il vient un point dans l'histoire de l'Homme où il n'a plus le besoin de chercher l'improbable.

Larivière je suis admiratrice par tant de sagesse. Je serai curieuse de connaître ton âge mais préfère imaginer que la sagesse n'attend pas le nombre des années. Qu'on me laisse ainsi de l'espoir...

   FredericBruls   
3/5/2009
 a aimé ce texte 
Bien
Un poème lapidaire, net, simple et beau.

   jaimme   
21/10/2009
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Lors, du temps, là, il y en a.

Et le rêve passe toujours par un "admettons". Oui.

   Anonyme   
2/7/2010
 a aimé ce texte 
Beaucoup
23/4/2009


oui...
difficile de commenter un texte aussi court et aussi concis.
Tout est dit, rien n'est dit, c'est évident et puis c'est impensable (consciemment dans notre société et gnagnagna ^^) ...
Par contre, on en parlait : ça c'est de l'engagement comme j'aime.
J'aime les références et ma petite correspondance personnelle à un sablier géant.
Oui, décidément je suis fan ^^
Es

   David   
12/2/2011
 a aimé ce texte 
Bien
Bonjour Larivière,

Un "or du temps" pour un "hors du temps", c'est ce que j'ai envie de lire, c'est ce que m'évoquerait le désert, d'après ce que j'ai pu lire à ce sujet-là, un paysage dénué de repère comme le sont les chiffres sur le cadran d'une horloge. Je relève les aspects élémentaire du poème aussi, le vent, puis le feu des rayons du soleil.

Il y a bien un repère en fait dans un désert, c'est bien sûr le rond brûlant, comme celui de "Or", le Râ d'Égypte, le soleil.

L'Égypte et admettre, c'était d'actualité ce soir, et ça n'a pas attendu 2500 ans...

Je rame pour comprendre l'allusion à Breton, cet auteur n'est pas assez mort pour être lu à la volée mais j'ai vu que "l'or du temps" est l'épitaphe de sa tombe, la dixième ligne de l'introduction au "discours sur le peu de réalité"...


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