Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie en prose
Lariviere : Fragment du crépuscule (Morceau 42)
 Publié le 27/09/08  -  7 commentaires  -  556 caractères  -  84 lectures    Autres textes du même auteur

Fragment.


Fragment du crépuscule (Morceau 42)



L’homme moderne, à savoir sa quintessence décomplexée, est désormais imputrescible comme le singe…

Épileptique de liane en liane, de concept en concept, de cou de sang en coup de sang… Comme lui, il se nourrit de sophismes, de fièvres jaunes et de cacahouètes… Survolant de ces onomatopées et de ces agissements incohérents le bois vert tendre repli les troncs pourris des civilisations…

Frénétique. Impulsif. Insaisissable… Fantômatiquement absent…

Superbement, l’homme a réussi la remontée à contre-courant Darwinienne.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   David   
27/9/2008
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Bonjour Larivière,

Il me semble qu'il manque quelque chose dans ce passage :

"le bois vert tendre repli les troncs pourris des civilisations… "

un peu comme à "l'homme moderne" tel que tu le décrit, mais là c'est peut-être juste un verbe, je pencherais pour :

- le bois vert(,) tendre repli (sont) les troncs pourris des civilisations… " ?

   Anonyme   
27/9/2008
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Ce fragment me semble plus inconsistant et moins pertinent dans sa structure et son sens. En clair la forme ne rend pas service au fond...

Mais je reste admiratif des associations et de l'assemblage des mots...

   Anonyme   
27/9/2008
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
Je n'avais juste ici pas eu le courage de lire un fragment du crépuscule, les trouvant trop longs.
Celui-ci étant plus court, j'ai essayé… et j'ai beaucoup aimé.
Tout cela est sombre, mais tristement réaliste.
Très bien écrit et poétique de plus.
Court et efficace, je ne ferai que regretter l'absence de verbe dans Survolant de ces onomatopées et de ces agissements incohérents le bois vert tendre repli les troncs pourris des civilisations… .

   marogne   
28/9/2008
 a aimé ce texte 
Un peu
Pourquoi "imputrescible" le singe? Parce que l'on y revient? A contre-courant?

L'idée du texte, critique, mais si politiquement correctement critique, me laisse un peu sur ma faim, un peu facile peut être? Mais il y a une belle image relative au singe dans "le tron pourri des civilisations"; mais cette phrase est un peu bizarre néanmoins...

Je n'avais pas encore lu de fragments du crépuscule, je vais y retourner.

   FredericBruls   
3/5/2009
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Marrant ! Je pense au commentaire que j'ai fait sur le dernier sonnet de David "Lassitude". Même thème, même cynisme désenchanté. Un peu plus sombre encore peut-être...
Superbement, l’homme a réussi la remontée à contre-courant Darwinienne.

Lari deviendrait-il ironique ?

Pas mal du tout, mais j'ai lu mieux de toi.

   Pat   
24/5/2009

   Anonyme   
2/7/2010
 a aimé ce texte 
Bien ↑
8/5/2009

Pense pas qu'il manque un verbe... un e à repli peut-être??


Personnellement j'aime beaucoup le passage de liane en liane...

J'aime fantomatiquement absent... comme une présence présumée, une présence improuvable, une présence plus métaphysique que physique...

La théorie de l'évolution à l'envers, par l'absurde... j'aime ... comme un saumon, à contre-sens...

Par contre, si j'ai un mini bémol, c'est un chouilla trop court à mon gout... et pourtant j'aime tes courts Lari, tu le sais...

Merci pour cette vision intéressante de l'homme moderne... intéressante et juste...
Es


Oniris Copyright © 2007-2023