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| Robot
14/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un flash sur ce chemin entre route et jardin. Ce jardin, un petit bout de paradis, un zeste de nature. trois lieux trop vite parcourus.
Les oiseaux qui "sentent", la rime n'est pas trés heureuse, même si je comprends qu'il fallait un son pour correspondre avec chantent. |
| papipoete
25/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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contemporain
Un poème tout mignon, malgré le prosaïsme de son écriture ( y passe à cent trente ), avec ce chemin aux deux bouts ; l'un qui bruit de la circulation automobile, et l'autre où chantent les branchages. NB il suffirait...de presque rien pour faire de ces lignes, une mini ode à la nature. la dernière strophe est ma préférée j'aime bien la musique de ce tableau bucolique ! papipoète |
| ANIMAL
27/11/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Court mais explicite. Chemin-jardin, jardin-chemin, deux perceptions du monde qui s'opposent, les chants de la nature contre la horde hurlante de la civilisation.
Un petit instantané, une brève réflexion qui dit en peu de mots ce qu'elle a à dire. Est-ce poétique ? Pour moi oui. |
| Donaldo75
28/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Autant je viens de lire précédemment un poème où l'espace remplit la page, autant ici c'est l'impression de densité qui conclut ma lecture. Et il y a du rythme.
"Au bout du chemin Qui mène au jardin" Je suis embarqué. La suite, au-delà du format court, se précipite voire se jette sous mes yeux, laissant mes neurones comme deux ronds de flanc. Jardin, chemin, jardin. Chemin, jardin, chemin. De belles sonorités avec une symbolique forte. "Les oiseaux qui sentent Qu’au bout du chemin Finit le jardin." Bravo ! |
| Ornicar
28/11/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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C'est un raccourci saisissant qu'offre ce poème avec ses "deux (petits) bouts" de strophes. L'écriture avec ses rimes serrées et ses vers de cinq pieds, très courts, concourt à la densité du propos. Cette miniature, d'apparence innocente et bucolique, dit beaucoup en peu de mots et peu de temps. Et ce résultat là - concision et impact - n'est pas, il me semble, si facile à atteindre de façon générale.
Ce petit "chemin", dont le terme revient trois fois dans le poème, est en réalité bien plus que cela : il est l'image métaphorique de celui qu'emprunte notre humanité déréglée. A la faveur de l'intuition prêtée aux oiseaux ("sentent") le texte change brusquement de registre, glissant de l'expérience sensible au champ de la réflexion. Juste une toute petite remarque concernant le vers "Les oiseaux qui sentent". Sur un format aussi court, je trouve que le relatif alourdit inutilement l'expression. Personnellement, je le verrai mieux rédigé comme ceci : "Mais les oiseaux sentent". Mais c'est tout à fait subjectif. En bref, j'ai beaucoup aimé. |
| Eskisse
14/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
La violence vs la sérénité La laideur vs la beauté qui s'écoute, j'aime la formule La sauvagerie ( horde hurlante) vs l'harmonie ( des branchages chantent) C'est d'une simplicité confondante mais ces contrastes disent tout de nos errements d'hommes dits civilisés : nous. Bravo ! |
| Provencao
14/12/2025
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Laurent-Paul,
J'ai aimé cette perception entre "Au bout du chemin" et ce chemin lui-même, où il n'y a aucune épaisseur de page. J'ai entendu en vos vers ce tactile de ces deux bouts; on sous-entend une réalité. Mais il y a surtout la mince épaisseur de poésie, en tant que poésie écrite. Penser le jardin ne remplace pas le jardin, cette évidence est seulement celle de ce que je lis. J'ai aimé cette pensée où nous n'avons pas d'autre évidence. Ecrire que "Les oiseaux qui sentent Qu’au bout du chemin Finit le jardin." c’est aussi dire que nous sommes peut-être dans le jardin. Au plaisir de vous lire, Cordialement |
| Cristale
14/12/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime beaucoup
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Bonjour Laurent-Paul
Lu au premier degré je contemple une miniature qui représente la réalité que l'on retrouve dans la plupart de nos communes : côté rue, côté cour. Et cette différence évidente d'ambiance bien rendue en quelques vers. Il aurait été facile d'éviter l'emploi de pronoms relatif dans ce format très court. Un joli petit poème. |
| Lebarde
14/12/2025
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Une version très simplifiée en vers de cinq syllabes , jonglant avec un vocabulaire minimaliste et répétitif, pour mettre en opposition la beauté calme et naturelle du "jardin" et la "laideur" "hurlante" "de la route"...
Bon...c'est une vision au premier degré de ma part sans doute. Un peu expéditif quand même, à défaut d'être poétique je trouve. Un ressenti et une appréciation mitigés...désolé. |




