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papipoete
13/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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contemporain,
Je lis ce poème comme dans la lune où me plongent vos images ( on m'appelle pierrot ) et suis subjugué par vos lignes que je ne comprends pas à la lettre ! Mais je me vois devant un " Dali " extraordinaire avec la mer tirant à elle la couverture marine, et je suis béat ! NB les 2 dernières strophes brillent particulièrement ! papipoète |
Vincent
6/8/2017
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pour moi et je m'en excuse
la dépression n'est pas un jeu de mots et d'images |
Pouet
4/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bjr,
Un poème qui semble écrit au fil de la plume, au fil de l'instant. Sur le fil. Le fil de la vie. Une grande liberté d'écriture où des choses sont dites, d'autres suggérées ou tues. Il y a beaucoup à lire mais ce n'est pas long. Je ne lis pas de pathos ni d'auto-apitoiement, j'apprécie cela. Un poème qui m'a bien parlé, que j'ai ressenti, sans ressentir le besoin de vous en dire plus ni de disséquer plus que cela votre écrit. Bravo à vous, au plaisir. |
Louison
4/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Pour moi on est complètement dans l'onirique avec ce texte. C'est comme un mauvais rêve où tout se mêle. J'aime moins: Mes sentiments limitrophes Confèrent à mon âme absurde Ce chant grégorien Entonné par un sphinx Mais j'ai quelquefois rêvé des choses étranges, alors pourquoi pas. J'aime beaucoup l'effet de l'écho: Dans cette histoire sans fin Dont tu es l’écho Seulement l’écho Simplement… l’écho… Merci pour ce texte. |
Anonyme
4/8/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Le titre "Arc-en-ciel" pour un damné, sous votre pluie incessante, torrentielle de mots, je l'ai cherché mais je ne l'ai nullement trouvé.
Ce qui m'a déplu dans votre phrasé, c'est que vous êtes dans l'excès, j'ai saturé très vite, et c'est sur la fin que là je vous ai senti un peu plus vrai, par ces mots " Où est le bien naître Où est le bien vivre Sans anicroche" Texte fastidieux à lire, je me suis perdu dans ce labyrinthe de situations exposées, les plus insensées les unes que les autres. Cela ne met en rien en évidence un vécu particulier, sauf quand vous redevez plus présent : " J’avoue… J’ai mal à cette âme dérobée Un soir sans lune J’avoue… J’ai mal à ces pensées mordorées Où la lune sonde et sonde encore L’assistance médusée Par mes actes sans consistance " Mais aussi, l'absurde repointe le bout de son nez, de manière dantesque : " Puis-je faire plus hermétique Qu’un vénéneux lombric Puis-je faire plus homérique Qu’un bien pulpeux aspic " Je n'ai pas eu de ressenti à proprement dit face à cet écrit, sauf par à coup, rien de bien concluant, j'ai été très déçu de ma lecture. Même si la dépression prend plusieurs formes, pour moi, ici elle n'est qu'en représentation, très théâtrale, non véridique. |
wancyrs
4/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel grand poète tu es, Léopold !
ça sent le vécu ! Il flotte toujours dans tes poèmes que j'ai lu cette mélancolie, cette complainte, cette envie de crier les choses sans vraiment s'apitoyer sur son sort, exposer le laid aux yeux du Monde afin que le monde le voit. J'ai aussi remarqué que tu peux être une encyclopédie vivante, une vraie bibliothèque lorsque tu cites de façon subtile tes références. Ce texte encore, comme les autres, est une vraie balade dans le temps, Merci ! J'aime te lire ! Pour la forme, peut-être est-ce par souci de rythme et de musicalité que ton texte est en vers, mais moi, en raison de sa densité, je l'aurais mis en prose, cela aurait eu encore plus de force, mais c'est juste ma façon de voir... J'aime beaucoup cette strophe : Le monde est flou et la frégate dérape Ave messieurs les politiciens Ceux que vous allez immoler Sur l’autel de vos finances En diagonale Vous saluent Celle-ci aussi : Dis-moi passant Avec quoi rament les pauvres ères Avec qui riment leurs assassins Dis-moi enfin passant Quel est désormais mon destin Dans cette histoire sans fin Dont tu es l’écho Seulement l’écho Simplement… l’écho… Merci pour ton partage ! Wan |
Marite
5/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quel meilleur moyen pour commencer la thérapie d'une dépression que d'évacuer les ressentis profonds avec force ... c'est le sentiment qui me reste après lecture de ce poème qui ne m'a pas lassée pas sa longueur. Tout ou plutôt, l'essentiel, le principal de ce qui était lourd à l'âme et à l'esprit a été dit :
" J’avoue… J’ai mal à cette âme dérobée Un soir sans lune J’avoue… J’ai mal à ces pensées mordorées Où la lune sonde et sonde encore L’assistance médusée Par mes actes sans consistance "... L'espoir cependant ne se déclare pas vaincu et, comme un arc-en-ciel après l'orage, se déploie dans cet appel : " Dis-moi enfin passant Quel est désormais mon destin Dans cette histoire sans fin Dont tu es l’écho Seulement l’écho Simplement… l’écho…" |
Robot
6/8/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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A la lecture de ce texte prenant, tu as réussi à communiquer ce qui apparaît comme l'expression d'un ressenti personnalisé. Cette peur de tout (des trains - des bisons) exposée avec le surréalisme mesuré, cette angoisse ressort par tout les vers emplis de doute et de questionnement.
Pourquoi faudrait-il que tout le monde vive son mal de la même manière. La dépression n'a pas une forme unique et la difficulté à la vivre n'est pas uniforme. C'est ainsi que la manière d'en parler peut diverger d'un individu à un autre. Ce que j'admire dans ce texte c'est que le narrateur n'en "tire pas gloire" ni propriété, qu'il ne reproche pas aux autres leur incompréhension. Il assume ce qui vient de lui et nous présente une vision intérieure. Et puis, j'aime le titre. L'arc en ciel, n'est-ce pas le pont de l'espoir. Juste une remarque au 3ème vers, j'aurais préféré confinent à confèrent. |
emilia
8/8/2017
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Un titre qui interpelle, chargé de rendre visible le spectre continu de la maladie par analogie au phénomène optique, et traduit symboliquement le parcours d’une personne dépressive soumis aux « opiacés » … et leur pouvoir psychotrope, quand la vie dérape et s’égare, autour d’un univers musical que le narrateur distille à travers des artistes référents : de Mahler (sa musique obscure mais profondément intense de douleur et de vérité), à Jim Morrison (qui entre autre a étudié la névrose) et Gram Parsons (leur côté volontairement excessif, lié à l’alcool et la drogue et leur œuvre d’un abord obscur également mais d’une grande force évocatrice) pour tenter de rendre sensible ce monde flou et dérangeant, étrange qui confère à l’absurde, avec ce personnage tragédien qui harangue la foule et les passants, conscient de n’être qu’une caisse de résonance dont le son percute l’obstacle pour s’en faire l’écho… ; donc, un texte percutant qui m’évoque un peu la manière de Léo Ferré…
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Sebrutus
28/8/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Au début de la lecture, j'étais vraiment pas convaincu.
"Le gaucho métamorphosé en toréro Vole dans l'éclat de sa lame Glissant par mégarde sur la corne d'abondance De Taureau assis" Je trouve vraiment pas ça poétique, juste lourd et d'un absurde maladroit, sans vertige. Pompeux. Mais les strophes suivantes m'ont plus d'avantage avec des successions de vers qui m'ont fait penser à ces histoires sans fin et sans lien d'Apollinaire. "Vison ou zibeline Telle est la question" ça m'a fait rire, je trouve ça spontané et déroutant. J'ai cru un instant que le tout ne voudrait rien dire d'autre que l'abîme de vos pensées, mais certains vers sont très explicites et laisse voir à travers l'hermétisme certaines de vos opinions, de vos révoltes ou de vos faiblesses. "Les ferveurs d'opiacées De mon âme". "Le monde est flou et la frégate dérape Ave messieurs les politiciens Ceux que vous allez immoler Sur l'autel de vos finances" Il me semble que ces mots disent des choses plutôt concrètes de qui vous pourriez être. "Je me rappelle aussi que Jim Morisson est enterré au Père Lachaise et non au confins du Joshua Tree." Cela veut-il dire que l'homme de gauche un peu rebelle que vous êtes peut-être est entrain de douter de ses idéaux? J'ai bien apprécié en fin de compte. |
Vasistas
30/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quelle lutte dans cette arène pleine de couleurs et d'émotions, une âme n'est pas absurde quand on lui laisse la parole mais l'ego est parfois très bavard dans sa survie, la force est là-dedans, riche et foisonnante, merveilleux et sauvage paysage.
En tant que passant il me suffit de m’arrêter devant le présent, regarder doucement et j'avance. Ici les mots s'accrochent entre eux comme des amis ou comme par hasard en des bouts de phrases flottantes celle-ci forment un magnifique vaisseau en dérive, on espère une ile ... Merci de partager ces méandres, au plaisir de te deviner au travers de ces mots. |
Provencao
4/9/2017
a aimé ce texte
Bien
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Un poème où je me suis perdue au fil des ferveurs opiacées, semblables, à ces vies, dont les histoires se chargent de troubles de plus en plus grands à mesure que l'on s'éloigne de la vérité...
Vécus forts, tristes dans les conflits de l'être avec lui-même. Mais, au fond, cela reste pur, malgré cet abondant désespoir que vos mots charrient. C'est ainsi que je l'ai ressenti. Ce qui m'a dérangée: "Je regarde un ami mourir Et une fugace pincée d’arsenic Me tente autant que l’alambic Mais la mort me terrifie Au-delà du possible Et le néant est un tourment tournant Que je ne veux pas encore négocier." |